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Page:Sophocle - Œdipe Roi, trad. Bécart, 1845.djvu/152

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Lisez :

p. 43, v. 16 : Que dis-tu ? tu sais tout, sans rien nous révéler ;

p. 44, v. 2 : Mais celle dont un roi flétrit sa dignité, v. 46. Fin: Ce discours imposteur
Viendrait-il ?

p. 47 : O toi seul de tes maux es l’auteur !

p. 50, v. 4 et 5 : Ces énigmes, jadis, tu sus les deviner !
Oui, par elles j’ai vu mon front se couronner.v. 10 et 11 : Je sors, mais je dirai, sans craindre ta puissance,
Tous les faits dont mon art m’a donné connaissance.

p. 51, v. 7 et 8 : Aveugle et vagabond, un bâton à la main,
Du pauvre, en son exil, il mendîra le pain.v. 12 : Éclaircis bien ces mots ; si je suis dans l’erreur,

p. 53, v. 8 et 9 : Mais, parle, au nom des Dieux, dis-moi, jamais personne
De me croire en démence eut-il quelques sujets

p. 57, v. 2 : Attends, tu sauras tout, et verras mon malheur.

p. 58, v. 11 et 12 : Et quelle négligence
Du meurtre de Laïus a trahi la vengeance ?

p. 60, v. 2 : Et par toi, par ma sœur

p. 61, v. 14 : De se tromper un roi surtout doit avoir peur.v. 21 : Le crime obscur devient tôt ou tard évident, v. 21 : O prince, ce discours de Créon est prudent ;

p. 63, à la fin : Oui, car c’est là le prix
De nos bienfaits, je l’ai dans un complot surpris :

p. 64, en haut : Au lieu de : LE CHOEUR, lisez : CRÉON.v. 11 : Sous un sujet faut-il abaisser mon regard ?

p. 66, v. 2 : Au lieu de languir, lisez : souffrir.

p. 67, v. 1 : Je veux auparavant apprendre sans délais,
D‘où viennent ces débats et cette violence ?

p. 69, v. 1 : Laïus l’a fait jeter, craignant l’arrêt divin,
Les pieds percés d’un fer, dans un profond ravin.
Cet oracle cruel en vain te désespère,
Put-il être accompli ?

p. 70, v. 9 : Ton port, ton air, tes traits lui sont fort ressemblants,
Mais les cheveux du roi déjà devenaient blancs.

p. 72, v. 2 : Mais, dis-moi, d’où tes maux peuvent-il provenir ?v. 24 : Doit le faire enfanter une race exécrable,
Dit-il, ton père doit succomber de ta main,
Puis ta mère à son fils se joindre par l’hymen !v. 29 : Je me mets à l’instant en marche et par les cieux