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DU MAÎTRE.
Traduction de M. l’abbé RAULX.
Chapitre premier. Le langage est institué pour instruire ou rappeler les souvenirs.
II. La parole est nécessaire pour montrer la signification de la parole.
III. Est-il possible de rien montrer sans employer de signes ?
IV. Faut-il des signes pour indiquer les signes ?
V. Signes réciproques.
VI. Signes qui se désignent eux-mêmes.
VII. Résumé des chapitres précédents.
VIII. Utilité de cette discussion ; il faut, pour répondre, appliquer l’esprit à ce que rappelle le signe.
IX. Doit-on préférer la chose ou sa connaissance aux signes qui l’expriment ?
X. Peut-on enseigner sans signes ? — Les mots ne donnent pas la connaissance.
XI. Les paroles retentissent à l’oreille ; la vérité enseigne l’esprit.
XII. Le Christ est la vérité, il enseigne au dedans.
XIII. La parole ne manifeste même pas les sentiments intérieurs.
XIV. L’homme parle au dehors, le Christ enseigne au dedans.


DE L’ORDRE.
Traduction de M. l’abbé RAULX.
LIVRE PREMIER.
Chapitre premier. Avant-propos. Tout est régi par la divine Providence.
II. L’ouvrage dédié à Zénobius. — Personnages du dialogue.
III. Première discussion. — Ce qui y donna lieu.
IV. Rien absolument ne se fait sans cause.
V. Dieu gouverne tout avec ordre.
VI. L’ordre embrasse tout.
VII. Dieu n’aime pas le mal, et cependant le mal entre dans l’ordre.
VIII. Licentius enflammé d’ardeur pour la philosophie. — Monique le réprimande. — Utilité des sciences libérales.
IX. Deuxième discussion. — L’ordre conduit à Dieu.
X. Qu’est-ce que l’ordre ? Comment il faut comprimer les mouvements de rivalité et de vaine ostentation, dans les jeunes gens qui étudient les lettres.
XI. Monique ne doit point être éloignée d’une discussion philosophique.


LIVRE SECOND.
Chapitre premier. Première discussion. — Examen de la définition de l’ordre.
II. Qu’est-ce qu’être avec Dieu ? Comment le sage demeure immobile en Dieu.
III. La folie est-elle en Dieu ?
IV. L’homme fait-il avec ordre ce qu’il a tort de faire ? Le mal ramené à l’ordre concourt à la beauté de l’univers.
V. Comment remédier à l’erreur de ceux qui ne croient pas à l’ordre dans le monde.
VI. Deuxième discussion. — L’esprit du sage est immobile.
VII. Quel a pu être l’ordre quand le mal n’était pas ?
VIII. Règle de conduite pour les jeunes gens. — Ordre de leurs études.
IX. De l’autorité et de la raison dans les études.
X. Peu conforment leur vie aux préceptes divins.
XI. De la raison et de ses traces dans les choses sensibles. — Différence entre ce qui est rationnel et ce qui est raisonnable.
XII. La raison a inventé tous les arts. — Comment ont été découverts les mots, les lettres, les nombres. — Distinction des lettres, des syllabes et des mots. — Origine de l’histoire.
XIII. Origine de la dialectique et de la rhétorique.
XIV. Musique et poésie. — Le vers, le rhythme.
XV. Géométrie et astronomie.
XVI. Les sciences libérales élèvent l’esprit aux choses divines.