À madame Ernestine Panckoucke (O. C. Élisa Mercœur)
Apparence
À Mme ERNESTINE PANCKOUCKE.
1er Janvier 1834.
Le destin vous a faite heureuse autant qu’aimable. |
Élisa Mercœur. |
Puisque pour vous, et juste et favorable,
Le destin vous a faite heureuse autant qu’aimable,
Que de ses plus beaux dons il a su vous doter,
Que tous vos jours légers ressemblent à des fêtes,
Mon cœur cherche et ne voit rien à vous souhaiter,
Que de rester ce que vous êtes [1].
- ↑ Je ne sais pas si ces vers sont bien exacts, je ne les ai trouvés que dans ma mémoire, car Élisa pensait que les personnes auxquelles on adressait de tels à-propos ne devaient pas y attacher plus d’importance qu’à une carte de visite.