Correspondance (Diderot)/42
Apparence
XLII
À SUARD (?)[1].
Cela m’est bien doux, mon ami, de me donner du temps pour le morceau et de ne m’en point donner pour le portrait.
Voilà le portrait, belle épreuve ; la petite page viendra bien avant le temps que vous m’accordez.
Mon respect à madame. Ou m’a dit que vous aviez lu l’article Jésuite et qu’il ne vous avait pas déplu. Lisez encore, si vous n’avez rien de mieux à faire, Intolérance et Jouissance.
- ↑ Sans date ni signature. Inédite. Communiquée par M. Alfred Sensier.