Correspondance de Voltaire/1764/Lettre 5795
Apparence
5795. — À M. COLINI.
19 octobre.
Mon cher ami, si le zèle peut donner des forces, je viendrai assurément vous embrasser avant de mourir. Je vous adresse cette lettre[1] pour votre adorable maître. Avez-vous encore Fréron chez vous ? Nous ne devons pas paraître, lui et moi, sur le même hémisphère. Addio, mio caro !
- ↑ Elle manque.