Correspondance de Voltaire/1767/Lettre 6972
6972. — À M. HENNIN.
9 auguste ; aoust est bien welche.
Ma foi, monsieur, je crois que vous faites une bonne acquisition. Vous formerez ce jeune homme, il sera ad nu tus promptus heriles[1]. Je vais écrire à M. le maréchal de Richelieu. Je suis d’ailleurs à vos ordres comme Galien, et comme toute notre maison, et comme tout le pays ; c’est-à-dire que vous avez mon cœur.
- ↑ Horace dit, livre II, épître ii, vers 6 :
Ad nutus aptus heriles.