Correspondance inédite du marquis de Sade/1784

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Texte établi par Paul BourdinLibrairie de France (p. 199-206).
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1784


Madame de Sade a la permission de voir son mari plus souvent et on lui fait, mais un peu en l’air, espérer mieux encore. Ce sont les gens qui étaient les plus animés contre le marquis qui lui prodiguent maintenant les meilleures paroles.

Madame de Montreuil envisage toujours sans faveur la libération de son gendre. Il a mangé, sans compter du sien, cent soixante mille livres sur la dot de sa femme et ce qui reste suivrait le même chemin s’il reprenait la direction de ses affaires. La présidente affecte bien de croire, en écrivant à Gaufridy, que la plus grande partie des dettes est éteinte, mais la pénurie d’argent est toujours la même. Madame de Sade attend la paye des herbes du mas de Cabanes « comme les Juifs attendent le Messie » et le commandeur, loin de chercher à sauver pour son neveu la dépouille de l’abbé, ne remue ni pied ni pouce.

Mademoiselle de Rousset est au plus mal. La présidente en paraît affectée, car elle juge cette fille avec plus d’indulgence depuis le dernier entretien qu’elles ont eu ensemble avant son départ de Paris. Rousset était revenue de son aveuglement sur le marquis au point d’en disputer avec madame de Sade et, par cela même qu’elle lui tenait tête, madame de Montreuil la croit fort attachée à sa fille. Malgré sa perspicacité coutumière, elle paraît à mille lieues de soupçonner la raison intime de ce revirement. Quant à la marquise, elle exprime décemment le chagrin qu’elle éprouve, mais ses regrets font un écho insuffisant aux sentiments qu’elle témoignait naguère à son amie. C’est que la mort est un changement qui se consomme par degrés avant de s’imposer à la conscience. La marquise s’était attachée à Rousset parce qu’elle partageait sa passion avec une ardeur qui trompait son impuissance, mais, depuis plusieurs mois, elle n’est plus qu’une ombre détachée des réalités auxquelles son souvenir se superpose encore. On ne peut se défendre d’un sentiment de gêne lorsqu’on voit madame de Sade s’enquérir, peu de jours après le décès, des dispositions de la défunte et s’étonner que ses deux testaments ne soient pas ce qu’elle lui avait fait entendre, donner des ordres pour faire reprendre un peu de bois qu’elle n’avait pas payé, prier Gaufridy d’inventorier, avec la famille, les objets dont elle avait fait usage, honnêtement et sans vilenie il est vrai, mais aussi en prenant bien garde de ne pas être dupe des friponneries qu’on voudrait lui faire. La demoiselle était si pauvre que la marquise ne peut être poussée par la cupidité, pas plus que sa mère ne l’est, dans l’expression de ses regrets, par un intérêt véritable, mais leurs façons de voir, jusque-là opposées, font une sorte de chassé-croisé au-dessus de la tombe.

Gaufridy a bientôt repris tous les avantages dont il avait été dépouillé. Rousset respire encore que madame de Sade assure l’avocat qu’elle n’était point un obstacle à l’exercice de ses pouvoirs et qu’aucun ordre secret n’a été donné pour les restreindre. Les clefs de la Coste lui sont remises et madame reconnaît avec lui qu’il aura fort à faire pour mener à bien la tâche qui lui échoit : l’ordre n’est point parfait, la dépense a été trop forte et il y a certains détails où la marquise ne reconnaît pas la propreté de son amie. En somme elle a changé de ton, mais non pas de manière : elle continue à répondre à ce qu’on lui mande, mais le tour de l’avocat est venu de mettre sous ses yeux ce qu’il veut qu’elle voie d’abord. Celui-ci est d’ailleurs trop fin pour user de la permission d’entrer partout et de tout voir : il représente à madame de Sade qu’il vaut mieux ne pas ouvrir le cabinet du marquis pour ôter aux Costains tout prétexte à inventer des histoires. Mais il a mis la main sur les lettres que la marquise a écrites à mademoiselle de Rousset et lui exprime, à l’occasion d’un compliment qu’il en reçoit touchant la reddition de son compte, sa peine d’avoir été mal jugé après toutes les preuves d’attachement et de droiture qu’il a données aux seigneurs. Par un détour assez venimeux, l’avocat met ce qu’il sait sur le compte d’une confidence de la défunte.

La marquise a senti la pointe, mais elle n’est point femme à s’appesantir sur une situation fausse et court aux nouvelles réalités qui la pressent. De ce nombre est l’affaire des bois que l’on veut couper pour la marine, bien que la guerre soit terminée. La marquise fait, à cette occasion, un tableau instructif, si toutefois il est exact, de la façon dont se comportent les fermiers des adjudications royales. La succession au greffe de la justice cantonale et au notariat de Saumane soulève par ailleurs bien des compétitions : elle va mettre la famille en conflit avec le vice-légat et amènera bientôt l’entrée en scène de la terrible tante de Villeneuve.

Le marquis fait si peu parler de lui qu’on est tenté de l’oublier, mais il ramène l’attention sur sa personne par une manifestation pompeuse. Il a appris, dit-il, la mort d’une de ses tantes religieuses (qui, en fait, remonte à quatre ans) et vient donner des ordres pour que sa pension soit reversée sur la tête des deux autres. Le geste serait beau (et, de toutes façons, il est honnête) s’il était aussi spontané qu’il veut le paraître. Mais, peu de jours après, une seconde tante religieuse, la bernardine de Cavaillon vient à mourir et l’abbesse réclame pour sa maison l’avantage de cette réversibilité, notamment les quatre ans de pension acquis à ce titre depuis la mort de l’abbesse de Saint-Laurent. On apprend ainsi que le report de tête à tête n’a pas été octroyé par le marquis, mais bien par le feu comte, dans un article de son testament qui d’ailleurs ne se retrouve pas. La prétention des filles de Saint-Bernard est repoussée et c’est finalement la troisième nonne, madame de la Coste, qui bénéficie de l’accroissement. Le plus plaisant est que la survivante soit justement celle des tantes de M. de Sade qu’il croyait morte. Faute de pouvoir la convaincre qu’elle a cessé de vivre, on tâche de lui faire entendre qu’elle sera désormais trop riche et qu’il convient de consacrer une partie des revenus accumulés sur sa tête à payer les dettes de feu l’abbé son frère. Pour mieux ménager l’avenir, Ripert reçoit l’ordre de ne servir la rente que tous les six mois et de tenir à l’œil l’entourage de la vieille fille. Mais on n’en tire rien, sinon une assurance vague qu’elle ne dépensera pas plus qu’il ne lui faut pour subsister, et le marquis se plaint, quelques années plus tard, qu’elle ait été mal conseillée et qu’elle ait fait d’impardonnables sottises.

Les lettres donnent encore de nombreux détails sur l’administration des biens, les affaires de feu l’abbé, l’insouciance peu honnête du commandeur qui court la poste malgré son âge et roule son corps du côté de Lyon et de Genève, l’argenterie en gage, les compétitions autour des places vacantes, divers envois d’huile et de vin à madame de Montreuil, à la marquise et à sa sœur que l’on a mariée à un seigneur de Béthune. Les baux à faire ou à renouveler mettent un instant Gaufridy en relation avec le comte de Rantzau, représentant de l’illustre famille danoise de ce nom, qui s’est retiré à Ménerbes, où l’on voit encore son tombeau dans le plus bel asile du monde, sur une haute terrasse de ce village en forme de nef.

Le chevalier a eu son bref qui lui permet d’obtenir une pension sur une des commanderies de la langue de Provence, bien qu’il appartienne à celle de France. Mais son oncle vient de laisser la commanderie de Béziers pour prendre celle de Reneville dont il ne touche pas encore les revenus : il ne peut constituer de pension ni sur le bénéfice qui n’est plus à son nom ni sur celui dont il ne retire pas les rentes. Du reste il n’y songe guère : cette histoire de pension est une invention de madame de Villeneuve qui a disposé du bien de son frère avec la même désinvolture qu’elle eût mise à le prendre.

Madame de Sade change une fois de plus de logement sans quitter Sainte-Aure. Elle n’a désormais qu’un trou dans un grenier, mais la maison lui plaît. Elle reçoit au parloir ; c’est une incommodité, mais elle en supporterait dix mille de ce genre pour obtenir justice ou simplement, peut-être, pour avoir désormais la paix.




La marquise espère beaucoup du nouveau ministre et du revirement d’opinion qui s’est fait sur la détention de son mari. (13 janvier 1784).

……Ceci est pour vous seul : je vous dirai que j’espère beaucoup du nouveau ministre[1] parce que j’ai permission d’aller voir M. de Sade souvent et l’on m’a fait entrevoir autre chose, sans me donner de parole positive, et, ce qu’il y a de singulier, c’est que ce langage vient de ceux qui étaient le plus contre……


La marquise croit être en droit de s’opposer à ce que les fournisseurs du roi pour la marine coupent les bois de la Coste. (20 janvier 1784).

Je reçois, monsieur l’avocat, votre lettre de bonne année. Je vous réponds tout de suite, à l’article des bois que l’on doit venir couper, que les personnes qui viendront pour marquer les arbres pour être coupés, tant sur le bien de M. de Sade que celui de leur communauté, il faut s’y opposer fortement et leur dire qu’ils aient à montrer le titre par lequel le gouvernement les autorise à cela. Ils seront si embarrassés qu’ils s’en iront sans oser couper.

Et voilà la raison. C’est que ce titre ne les autorise que de traiter de gré à gré avec l’habitant, c’est-à-dire que l’on ne peut pas forcer l’habitant à vendre son arbre parce que, s’il[2] demande cent écus, il faut que l’acheteur les lui donne ou qu’il laisse l’arbre en place.

Par les droits du comté de Provence, les propriétaires sont libres de[3] vendre ou ne pas vendre leurs arbres au roi qui ne peut les y forcer. En le prenant sur ce ton-là, ils ne couperont aucun arbre. Ces gens-là ont fait un marché à Toulon par lequel le roi leur paie les arbres sept à huit livres le pied cube et ils les achètent de nos côté six à douze sols, de sorte que, ôté l’achat et le transport, il leur reste encore six livres au moins par pied cube de profit. De plus, au lieu de fournir les arbres pour le roi, la plus grande partie est vendue pour les vaisseaux marchands et l’arbre le plus beau du pays, après qu’ils l’ont coupé, par la manière dont ils l’arrangent, le propriétaire n’en retire tout au plus [que] six livres. Dites de ma part à la communauté que, par intérêt pour eux et pour moi, je leur conseille très fort de ne vendre aucun arbre et que certainement, pour ceux de M. de Sade, ils n’en couperont aucun……


M. de Sade veut que la pension payée à une de ses tantes religieuses, dont il a appris la mort, soit reversée sur la tête des deux autres avec droit d’accroissement pour la survivante. (3 février 1784).

Je viens d’apprendre par madame de Sade, monsieur, que j’avais eu le malheur de perdre une de mes tantes[4].

Mon intention est que la pension dont jouissait cette tante soit partagée entre les deux qui me restent (j’entends les deux religieuses)[5]. Vous voudrez bien leur en tenir compte, je vous en prie, monsieur, à compter du jour du décès de celle qui est morte, en telle sorte que le petit revenu n’ait jamais eu un instant de vacance, et que, du moment où il a cessé d’être mis aux mains de madame de la Coste, il passe en parties égales entre celles des deux dames de Saint-Benoît et de Saint-Bernard. Vous voudrez bien, en exécutant mes ordres ponctuellement sur cet objet, leur en faire part aussitôt, en leur faisant mille excuses de ma part de ce que mes malheurs et la médiocrité de ma fortune ne me permettent pas de leur témoigner mon attachement et mon respect d’une manière plus honnête et plus analogue à mon cœur.

Si je venais à éprouver une seconde perte semblable à celle-ci, vous agiriez, pour celle de mes tantes qui me resterait, de la même manière que je vous indique ici, en sorte que la dernière vivante se trouve toujours héritière des pensions de ses sœurs. Dès que cela sera fait, vous aurez la bonté, je vous prie, d’en instruire madame de Sade afin qu’elle me le dise. Vous direz à mes tantes que ce devoir de ma part aurait été rempli beaucoup plus tôt si l’on m’avait plus tôt instruit.

J’ai l’honneur d’être bien parfaitement, monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur.

Le comte de Sade.

La marquise apprend que mademoiselle de Rousset est à l’agonie et rend immédiatement à l’avocat tous ses pouvoirs en l’assurant qu’il n’en a jamais été dépossédé. (7 février 1784).

……Je reçois votre lettre où vous me marquez que l’on fait à cette pauvre mademoiselle de Rousset la recommandation de l’âme. Cette nouvelle m’afflige on ne peut pas davantage. Je ne conçois pas votre embarras ; et comment avec de l’esprit pouvez-vous croire les propos ? Quand on vous dit que l’on a des ordres, vous êtes en droit d’exiger que l’on vous les montre et de les lire vous-même et je vais même plus loin : c’est que, s’il en existait qui fussent contraires aux intérêts de M. de Sade et de la terre, avant que d’y acquiescer, vous seriez en droit de m’en écrire pour avoir explication et me faire les représentations nécessaires. Mais pour parler plus clair, personne n’a d’ordre que vous… En cas de mort et même sans cela, vous êtes en droit de vérifier l’inventaire que vous avez, toutes les fois que bon vous semble, et mademoiselle de Rousset de son vivant ne pouvait même être un obstacle à tout cela et je vous en donnerai des preuves certaines……


La marquise trouve les testaments de mademoiselle de Rousset singuliers et ordonne de reprendre le bois qui n’a pas été brûlé par la défunte.

……Je pense comme vous que mademoiselle de Rousset n’a jamais cru mourir et ces testaments me paraissent singuliers, d’après la façon de penser qu’elle m’avait confiée. Pour la boîte qu’elle vous a confiée, ne me l’envoyez que par occasion sûre et très sûre.

Si les froids que vous avez éprouvés ont approché de celui que nous avons eu cet hiver, je vous plains……

À l’égard du bois, ceux qui ont vendu leurs chênes ont eu bien tort, mais il faudrait en faire planter, de même que des oliviers, et que le garde mette à l’amende ceux dont les bestiaux viendraient les manger, et les garantir autant qu’il est possible parce qu’enfin il viendra un temps où il n’y aura pas un arbre dans le pays[6] et ceux que l’on aura élevés deviendront précieux. Ce n’est pas pour moi, car je suis trop vieille, mais je pense en mère de famille. Dites au viguier que j’ai reçu sa lettre, que je lui répondrai, ……en attendant, s’il y a quelque démarche à faire, soit pour le bois de Lavelan chez mademoiselle de Rousset, qui, en conscience, m’appartient puisqu’elle ne l’a pas payé, soit sur ce qu’il n’y a plus de catholiques dans les charges, chose qui est contre les règles à ce que je crois, faites avec lui ce qu’il faut pour cela……


La marquise défend que l’on touche aux papiers placés sous le sceau de M. de Sade. (4 mai 1784).

……Vraiment, monsieur l’avocat, vous me faites rire en me demandant permission d’ouvrir une armoire dont vous avez la clef……

Paulet dit avoir remis dans le cabinet de monsieur un sac de papier cacheté. Comme il est du cachet de M. de Sade, j’impose la loi de n’y pas toucher et j’approuve votre raison actuellement de ne vouloir pas y entrer, chose dont je ne pouvais deviner le motif. Je connais l’esprit costain. Ils diraient cinquante propos et, pour y couper court, du moment qu’ils disent y être entrés, il faut n’y mettre pas le pied et y mettre le scellé, afin de voir si l’on y voulait fouiller, et que, s’il s’y trouve quelque chose de manque, ils ne puissent pas, ces messieurs, dire que c’est vous ou moi qui les avons fait distraire.

Monsieur de Sade et ses enfants se portent assez bien. Cependant il se plaint toujours de son œil……


Gaufridy se plaint à la marquise des lettres qu’elle a écrites sur lui à mademoiselle de Rousset.[7].

En parlant de mon compte, votre honnêteté et celle de M. le marquis sont bien propres à me rassurer. Malgré cela, des confidences faites par mademoiselle Rousset sur des lettres écrites de votre part m’ont beaucoup affligé. Je croyais avoir fait mes preuves de sérieux attachement et de droiture.


La marquise ne peut tirer aucune instruction ferme de M. de Sade. (17 août 1784).

……Je ne vous marque rien encore pour les créanciers de M. l’abbé parce que je suis bien dans l’embarras pour décider ce fait, M. de Sade continuant à ne vouloir pas répondre aux affaires. Ce que je vous mande de sa part, ce sont des phrases qu’il me dit de temps à autre et sur le champ je les écris. Cependant, sous quinze jours, si je ne puis rien tirer de lui, je prendrai mon parti et je vous donnerai une décision……


M. de Rantzau se propose de louer l’ancienne habitation de l’abbé de Sade à Saumane. (Ménerbes, 22 août 1784).

Je vous redois, monsieur, bien des grâces de votre ponctualité à me faire réponse. Ce ne sera que la semaine prochaine que je pourrai envoyer voir la Vignherme, c’est-à-dire les deux maisons qui, outre celle du jardinier, doivent, à ce qu’on m’a dit, composer l’habitation de feu M. l’abbé de Sade. Quoique je n’aie point eu le château de Saumane en vue, je profiterai pourtant de l’occasion pour en faire voir le local. Quand cela sera fait, j’aurai, monsieur, l’honneur de vous écrire et, au cas que cet établissement me convienne, de vous prier de venir dîner ici un jour pour arranger les conditions, espérant que vous n’en proposerez que d’acceptables. Quoi qu’il en soit, j’aurai eu l’avantage de faire votre connaissance et de vous assurer que je suis très parfaitement, monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur. Comte de Rantzau.


La marquise change, une fois de plus, de logement sans quitter Sainte-Aure.

……J’ai bien de l’humeur parce que je suis obligée de changer d’appartement parce que l’on prend le mien pour faire des cellules. Changer, cela coûte encore ; aussi je reste dans la maison et prend ce que l’on me donne. C’est un trou dans un grenier [alors] que nous avons trois châteaux qui dépérissent faute d’être habités. Quel bien revient-il de tout cela ?

Il n’y a que vous qui saurez mon changement de logement, parce que ma mère voudrait que j’en prisse un plus cher. Dehors de l’économie, cette maison me plaît parce que je suis seule. Je suis loin de tous les propos qui me déplaisent et n’avancent de rien. Je reçois mon monde au parloir ; ainsi personne [ne] voit mon appartement. C’est une contrariété, mais j’en supporterais dix mille de cette nature si [on] m’accordait justice pour mon mari.

Ce 12 septembre 1784.





  1. Vraisemblablement Breteuil, qui remplaça Amelot et adoucit le régime des prisons.
  2. « Si il », dans le texte ; la marquise ne fait jamais l’élision.
  3. « D’en », dans le texte.
  4. La tante qui est morte est madame Saint-Laurent, la bénédictine.
  5. La quatrième tante du marquis, madame de Villeneuve, reste étrangère à cette disposition.
  6. La marquise a prévu le mal auquel on essaie aujourd’hui de porter remède.
  7. Brouillon, conservé par l’avocat, d’une lettre du seize août.