De la nature des choses (traduction Lefèvre)/Table

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Traduction par André Lefèvre.
Société d’éditions littéraires (p. TdM).


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 I — LXXI.


DE LA NATURE DES CHOSES



L’univers et les systèmes 
 I


SOMMAIRE. — Invocation à Vénus et dédicace à Memmius, v. 1-70. — Éloge d’Épicure, v. 70-90. — Crimes conseillés par les religions, sacrifice d’Iphigénie. v. 90-115. — Dangers des fictions ; incertitude de la vie future. La science, unique sauvegarde contre les terreurs superstitieuses, v. 1 16-167. — Rien ne naît de rien ; nul élément premier ne périt, v. 167-282. — Les éléments premiers sont hors de la portée de nos sens, v. 283-343. — Il existe de la matière et du vide, v. 343-424. — Le reste est combinaison, qualité, accident du vide et de la substance, v. 425-484. — Les atomes sont insécables, immuables, éternels, v. 485-636. — Réfutation des philosophes qui attribuent l’origine des choses à un, deux ou quatre éléments : Héraclite (feu), Xénophanes (feu et eau), Parménide (feu et terre), Empédocle (air, eau, terre et feu), v. 637-836. — Réfutation de l’Homœomérie d’Anaxagore, v. 837-928. — Noble ambition du poète, v. 929-959. — Démonstration de l’infinitude du monde, v. 960-1062. — Négation des antipodes, v. 1063-1118



Les atomes 
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SOMMAIRE — La sérénité épicurienne, v. 1-66. — Permanence, mobilité, combinaisons des atomes, v. 67-120. — Les atomes comparés à la poussière qui s’agite dans un rayon de soleil, v. 121-173. — L’imperfection de l’ordre universel exclut toute idée d’intervention divine, v. 174-191. — La chute et la déclinaison des atomes, v. 192-258. — La liberté humaine expliquée par la déclinaison des atomes, v. 259-301. — La somme de matière et de mouvement est toujours la même, v. 302-316. — L’immobilité apparente de certains corps est une illusion de notre jugement, v. 317-344. — Variété limitée des figures atomiques, v. 345-534. — Les atomes de chaque type sont innombrables, v. 535-582. — Tout corps résulte d’un concours d’atomes de figures diverses, v. 583-602. — La terre renferme tous les types atomiques des êtres qu’elle produit. 603-611. — Explication allégorique du mythe de Cybèle, v. 612-672. — Fixité des espèces, v. 673-745. — Les atomes ne sont point colorés, v. 746-808. La couleur n’existe que par la lumière, v. 809-847. — Les atomes ne possèdent aucune qualité sensible, v. 848-876. — Le sentiment et la vie sont la combinaison d’éléments insensibles et insensitifs. Génération spontanée, v. 877-944. — Si les atomes sentaient ou étaient accessibles à la sensation, ils ne seraient ni simples ni éternels ; il n’y aurait rien de permanent, v. 905-1036. — Pluralité des mondes habités. v. 1037-1104. — Toutes les combinaisons des éléments sont périssables, v. 1105-1145. — La terre et le monde que nous habitons, ayant commencé, doivent périr, v. 1146-1192.



L’âme et la mort 
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SOMMAIRE. — Éloge d’Épicure. Exposition : maux qu’entraînent l’ignorance de la nature de l’âme et la crainte de la mort, v. 1-99. — L’âme et l’esprit, ou raison, sont des parties du corps, de structure analogue. L’esprit siège dans la poitrine ; l’âme, qui lui obéit, est répandue dans le corps, v. 100-182. — L’âme et l’esprit sont faits d’atomes très subtils, très mobiles, v. 183-293. — Les tempéraments de l’âme, chez l’homme aussi bien que chez les animaux, sont déterminés par la proportion des éléments qui la constituent. v. 293-327. — L’âme, intimement unie au corps, est comme lui mortelle ; elle naît, croît, vieillit avec lui, en ressent les maux, en partage l’agonie, et s’en échappe avec le souffle, v. 328-556. — L’âme ne peut exister sans un corps qui la contienne et des organes qui l’impressionnent, v. 557-636. — Si elle était immortelle, il faudrait qu’elle conservât des sens après la mort, v. 637-684. — L’âme ne se souvient d’aucun fait antérieur à la vie, v. 685-694. — Autres raisons de la mortalité de l’âme, v. 695-796. — Ridicule des hypothèses sur l’entrée de l’âme dans le corps après la conception ou après la naissance, v. 797-860. — La certitude que l’âme est mortelle dissipe les terreurs de la mort, v. 861-956. — Prosopopée de la Nature à l’homme, v. 957-1004. — Il n’y a point d’enfers. Les châtiments sont sur la terre, dans la conscience, v. 1005-1049. — La mort est commune aux grands hommes et au vulgaire, v. 1050-1080. — Misère profonde de ceux qui la craignent, v. 1081-1104. — La mort est inévitable, et aussi longue pour les jeunes que pour les vieux, v. 1105-1124.



Les sens et l’amour 
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SOMMAIRE — Des simulacres, décalques fidèles échappés du contour des corps, pareils à de minces pellicules, voltigent dans l’air comme la fumée, comme la couleur diffuse des voiles de théâtre, et viennent frapper les sens, v. 27-131. — Il existe aussi des simulacres nés spontanément, des images répandues dans l’atmosphère et qui se combinent diversement, v. 132-146. — Ténuité extrême des simulacres : ils passent à travers certaines substances, et sont arrêtés par d’autres, notamment par les miroirs, v. 147-186. — Mouvement rapide des simulacres, comparés aux odeurs et aux saveurs, v. 187-236. — La concordance du tact et de la vue prouve que les simulacres émanent réellement des choses elles-mêmes, v. 237-275. — Théorie des miroirs, v. 276-330. — Phénomènes de la vue. Pourquoi, d’un lieu obscur, nous voyons les objets éclairés ; et pourquoi, d’un endroit éclairé, nous ne voyons pas les objets plongés dans l’obscurité, v. 331-359. — Effets du lointain sur les perceptions de la vue, v. 360-370. — De l’ombre qui suit les corps éclairés, v. 371-386. — Exemples des prétendues erreurs de la vue, v. 387-480. — Certitude des sens, v. 481-538. — L’ouïe et la voix, l’écho, v. 539-636. — La saveur et le goût, l’odeur et l’odorat, v. 637-745. — Comment les simulacres atteignent la substance de l’esprit, v. 746-756. — Visions et fantasmagories de la veille et du sommeil : les monstres, les dieux, v. 757-842. — L’organe est antérieur à sa fonction, v. 843-862. —Au contraire les inventions de l’homme sont nées du besoin et de la réflexion ; seules elles ont des causes finales, v. 863-877. — Comment les animaux sont amenés à choisir leurs aliments, v. 878-896. — Comment il se fait que le corps obéit à la volonté de l’âme, v. 897-926. — Le sommeil et les songes, v. 927-1054. — L’amour, ses caractères, ses tourments, ses illusions, v. 1065-1245. — De la stérilité et de la fécondité, v. 1255-1336.



Le monde, la terre et l’homme 
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SOMMAIRE — Hymne à Épicure, v. 1-80. — Le monde a commencé, il doit finir, v. 81-120. — Le monde n’est ni l’œuvre ni le séjour des dieux; les imperfections des choses, les souffrances de l’homme écartent l’hypothèse d’une intervention divine, v. 121-255. — La déperdition constante des diverses combinaisons élémentaires, compensée à grand-peine par des réparations constantes, mais qui peuvent manquer quelque jour, prouve la nature mortelle de l’univers, v. 256-442. —La naissance de l’univers et la coordination progressive de ses parties, v. 443-507. — Comment la terre demeure suspendue dans l’espace, v. 508-597. — De la nature et de la marche du soleil, de la lune et des astres, v. 598-799. — Apparition de la végétation et de la vie sur la terre, v. 800-871. — Élimination des formes mal douées : la concurrence et la loi de sélection, v. 872-912. — Il n’y eut jamais de Centaures, de Scyllas, ni de Chimère, v. 913-960. — Tableau de la vie humaine en ses rudes commencements, v. 961-1052. — La famille adoucit les mœurs, v. 1053-1073. — Le langage chez l’homme et chez les animaux, v. 1074-1140. — Le feu, v. 1141-1157. — Fondation des villes. La richesse et ses dangers. Éloge de la médiocrité. Naissance de la royauté, règne de la force et de la beauté physique. Révolte des peuples. Anarchie. L’intérêt commun crée les contrats, les lois, la justice, l’ordre républicain. La conscience punit la violence et le crime, v. 1158-1213. — L’invention et le culte des dieux. Erreur des religions, fondées sur la crainte des phénomènes dont la cause est ignorée, v. 1214-1299. — Découverte et usage des métaux, v. 1300-1356. — Conquête du cheval et des autres animaux. Les guerres primitives, v. 1357-1412. — Le tissage, les vêtements, v. 1413-1424. —L’agriculture, la greffe, 1425-1442. — La musique et les délassements joyeux, v. 1443-1478. — Progrès de la civilisation, v. 1479-1508. — Fortification des villes. Navigation. Traités. La poésie, l’écriture, les arts, v. 1509-1528.



Les météores et les maladies 
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SOMMAIRE — Éloge de la morale d’Épicure. Exposition. Influence superstitieuse des météores, v. 1-101. — Description et explication des orages, de la foudre et des trombes. Ce ne sont pas les dieux qui tonnent, 102-464. — Formation des nuages, v. 465-507. — Cause des pluies, v. 508-536. — Les tremblements de terre, v. 537-620. — Stabilité du niveau des mers, v. 621-652. — Les volcans, v. 653-726. — Les crues du Nil, v. 726-752. — Les Avernes et les marécages, v. 753-854. — Les puits; sources singulières, v. 855-920. — L’aimant et son action sur le fer, v. 921-1100. — Les miasmes et les contagions, v. 1101-1148. — La Peste d’Athènes, v. 1149-1304.


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FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES