Discussion:Les Beaux-Arts réduits à un même principe

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Informations sur l’édition de Les Beaux-Arts réduits à un même principe

Édition : Reproduction éd. Durand, 1746 (Paris, INALF, 1961)


Source : Gallica : notice, texte.


Contributeur(s) : irønie


Niveau d’avancement : En cours de traitement


Remarques : Version modernisée ici
Les nombreuses notes de bas de page de l'auteur, concernant des éclaircissements ou plus généralement des citations grecques ou latines sont absentes du texte importé de Gallica.


Relu et corrigé par :


Problèmes du texte :

  • une espace après chaque apostrophe.
  • "&" remplacé par "et" dans l'OCR de Gallica.
  • Retours à la ligne difficiles à détecter.
  • Sauts de page (que je reproduis pas.)
  • 4 occurences de texte en grec, remplacées par "(...)"

Attention ! : Français un peu classique. La modernisation (orthographe, conjugaisons) est réalisée sur une autre version : Les beaux-arts réduits à un même principe (moderne)

--irønie 29 octobre 2007 à 17:15 (UTC)[répondre]

Expressions en grec manquantes (...)[modifier]

PARTIE 1 CHAPITRE 2 Fait ajouté

Page:Les beaux-arts réduits à un même principe.djvu/20

Les termes mêmes dont les anciens se sont servis en parlant de par poësie, prouvent qu' ils la regardoient comme une imitation : les grecs disoient (...). Les latins traduisoient le premier terme par facere ;

ποιὲιν & μἰμὲιοθαγ


PARTIE 1 CHAPITRE 2 Fait ajouté

Page:Les beaux-arts réduits à un même principe.djvu/21

Par imitation , on a entendu non une copie artificielle de la nature, qui consiste précisément à la réprésenter, à la contre-faire, (...) ; mais toutes sortes d' imitations en général.


ὺποχξὶνειν


Partie 3 Section 1 chap 4

Page:Les beaux-arts réduits à un même principe.djvu/192

le terme d'Épopée pris dans sa plus grande étendue convient à tout récit poëtique : & par conséquent à la plus petite Fable d' Esope, (...) signifie récit , et (...), faire, feindre, créer .


έπος ποιὲω


PARTIE 3 SECTION 1 CHAPITRE 6

Page:Les beaux-arts réduits à un même principe.djvu/219

par la compassion, et nous retient par la crainte, (...) : la Comédie nous ôte


Φόζος `γ`έλέος (ou bien Φόζος ϰγ`έλέος)


Les expressions retrouvées dans l'édition originale. Mais faudrait vérifier, notamment les accents (difficiles à déchiffrer dans le livre, et je ne connais pas le grec). --irønie 31 octobre 2007 à 18:57 (UTC)[répondre]

il existe ce modèle Template:grec pour signaler le grec à corriger. ilplace les pages dans la catégorie Category:Mots manquants en grec ancien ThomasV 2 novembre 2007 à 16:55 (UTC)[répondre]

Introduction (pour approbation et privilège du roi)[modifier]

A MONSEIGNEUR LE DAUPHIN
MONSEIGNEUR,
C’est sous les auspices des beaux Arts que cet Ouvrage ose paroitre devant vous. Cette recommandation ne peut être indifférente auprès des Grands Princes, qui doivent aux Arts les premieres leçons de vertu, le goût de la vraie gloire, & l’espérance de vivre dans la Postérité. Ce qui dedouble ma confiance, MONSEIGNEUR, c’est que l’Ouvrage, en lui-même, contient des principes que vous aime par préférence, Tout s’y réduit au goût du vrai, du simple, au goût de la Nature parée de ses graces, sans la moindre affectation. Ce goût qui contient le germe de toutes les vertus, vous fit ami des Arts, dès que vous pûtes les connoître. Vous les avez cultivées avec le plus grand succès, & vous continuez de les regarder avec une bonté, qui prouve que l’amour que vous avez pour eux, est dans votre caractère. Ainsi MONSEIGNEUR, tandis qu’un Pere auguste va se couvrir d’une nouvelle gloire, pour forcer l’Europe à recevoir la paix ; vous vous faites un plaisir d’animer tous les Arts à célébrer ses exploits, & à les retracer dans des monumens durables. Bien-tôt, si pour satisfaire votre ardeur héroïque, il vous est libre de le suivre au milieu de ses victoires, vous irez profiter encore de ses grands exemples ; & faire voir aux Nations, que vous êtes digne Fils d’un Roi, qui sçait en même-tems vaincre ses Ennemis, & se faire adorer de ses Sujets.
Je suis avec le plus profond respect,
MONSEIGNEUR,
Voir très-humble & très-obéissant serviteur, Batteux,
Professeur de Rhetorique,
au College Royal de Navarre.

(édition 1747)