Discussion Livre:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 7.djvu
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- ↑ Lettre 838. — 1. « À faire de grandes lettres. » (Édition de 1754.)
- ↑ 2. « Et que la réponse. » (Ibidem.)
- ↑ 3. « Ni que les chasseurs règlent la vie des dames sur leur appétit. » (Édition de 1754.)
- ↑ 4. Croustille, qui signifie proprement, comme dit Furetière, « petite croûte qu’on s’amuse à ronger en buvottant, » veut dire, par extension, petit repas. Croustiller, c’est rester à table en buvottant.
- ↑ 5. Cette phrase manque dans le texte de 1737.
- ↑ 6. « M. Ménage appelle escrocs des écornifleurs, des parasites, des gens qui vont chercher à dîner chez les autres. » (Dictionnaire de Trévoux.)
- ↑ 7. « Notre commerce ne sera point du tout dérangé de ce petit voyage ; vous savez si cela m’est nécessaire. » (Édition de 1754.)
- ↑ 8. Voyez la lettre du 14 juillet précédent, tome VI, p. 527 et 528.
- ↑ 9. « Il ne verroit point. » (Édition de 1754.)
- ↑ 10. Voyez la lettre du 12 juin précédent, tome VI, p. 449. — Dans le texte de 1754 : de la grâce.
- ↑ 11. À Dieu seul honneur et gloire. — Voyez la 1re Épître de saint Paul à Timothée, chapitre Ier, verset 17.
- ↑ 12. Mme de Tarente étoit de la religion protestante, qui n’admet point le culte des saints. (Note de Perrin.) — Voyez la lettre du 21 juin précédent, tome VI, p. 478, et sur les sentiments religieux de Mme de Sévigné, la Notice, p. 169 et suivantes, et particulièrement p. 175.
- ↑ 13. La forêt de Livry.
- ↑ 14. « …au bon père ; je suis persuadée qu’il se moque de nous. » (Édition de 1737.)
- ↑ 15. « La dernière fois. (Édition de 1754.) Voyez tome VI, p. 558.
- ↑ 16. Tout ce qui suit, jusqu’à « Votre comparaison, etc., » est donné pour la première fois par Perrin dans son édition de 1754.
- ↑ 17. Voyez la scène seconde de l’acte premier du Médecin malgré lui de Molière. (Note de Perrin.)
- ↑ 18. « Qu’il me batte. » (Édition de 1754.)
- ↑ 19. « Cette comparaison. » (Ibidem.)
- ↑ 20. « Combien j’avois été ravie… sur un autre ton qu’au sujet de cette lettre. (Ibidem.) — Voyez tome VI, p. 558 et 559, et la note 12.
- ↑ 21. « À peu près comme vous l’avez senti vous-même. » (Édition de 1754.)
- ↑ 22. Les décimes ordinaires étaient un subside annuel que le Roi levait sur le clergé et que le clergé accordait par un consentement renouvelé tous les dix ans. Dans le principe, c’était une subvention qui ne se devait qu’en cas de nécessité. Les décimes extraordinaires étaient une autre taxe prise sur les bénéfices tous les cinq ans.
- ↑ 23. « Le nom de ce premier n’est plus trop chaud. » (Édition de 1754.)
- ↑ 24. L’abbé de Valbelle avait succédé à Nicolas Pavillon, l’un des prélats de France qui s’étaient prononcés avec le plus de force contre le formulaire et contre l’extension de la régale ; la régularité austère de Pavillon formait un grand contraste avec le caractère léger de son successeur, que Mme de Sévigné appelle un petit freluquet. (Note de l’édition de 1818.) Voyez tome VI, p. 535, et ci-après, la fin de la lettre suivante, p. 14, et le quatrième paragraphe de la lettre du 11 septembre 1680. — C’est sur la proposition de l’archevêque de Paris, président de l’assemblée du clergé, que l’archevêque de Reims (le Tellier), dans la séance du 3 juillet, fut déchargé des décimes, en sa qualité de fils du chancelier ; en 1625 et en 1675, des exemptions semblables avaient été accordées pour la même raison. Quant à l’archevêque de Paris (Harlay de Champvallon), c’est à cause des services qu’il avait rendus à l’Église comme président de l’assemblée de 1680 et de plusieurs des précédentes, que l’assemblée, après un discours de l’évêque d’Aleth, résolut de lui donner annuellement, pour équivaloir à la décharge des décimes, une gratification de six mille livres, comme aux cardinaux. L’archevêque de Paris n’accepta qu’après qu’une députation, à la tête de laquelle était le coadjuteur d’Arles, fut allée demander l’agrément du Roi. Voyez les Procès-verbaux de l’assemblée du clergé de 1680, p. 150 et 176.
- ↑ 25. Voyez tome VI, p. 526, et la note 40.
- ↑ 26. Ce membre de phrase n’est pas dans le texte de 1754.
- ↑ 27. Voyez tome VI, p. 506, et la note 33.
- ↑ 28. « Quelque extraordinaire. » (Édition de 1754.)
- ↑ 29. Voyez sur tout ce passage, tome VI, p. 560.
- ↑ 30. Mme de Sévigné craignait que les opinions qu’elle avait adoptées ne devinssent nuisibles à la fortune des prélat de la maison de Grignan. (Note de l’édition de 1818.) Voyez la lettre du 15 juin précédent, tome VI, p. 459, et la note 19. — Ce membre de phrase n’est pas dans l’impression de 1754, qui donne, au membre suivant « que vous le cachassiez. »
- ↑ 31. « Incurables. » (Édition de 1737.) Voyez les lettres du 4 et du 20 octobre 1679, tome VI, p. 33, et p. 56 et 57.
- ↑ 32. « Et vous répond de toute sûreté, l’année qui vient, dans la forêt de sa jolie abbaye. » (Édition de 1754.) — Voyez tome VI, p. 514 et 553.
- ↑ 33. « Une extrême joie. » (Édition de 1754.)
- ↑ Lettre 839 (revue sur une ancienne copie). — 1. « Oui, j’ai tort, c’est moi qui suis hérétique ; j’offense vos amis les J… » (Édition de 1754.) — Dans l’édition de 1737, cette lettre commence un peu plus loin : « Vraiment, ma fille, j’ai bien d’autres choses, etc. »
- ↑ 2. Voyez tome VI, p. 531.
- ↑ 3. Ce n’est pas du Festin de pierre, mais de Scaramouche ermite qu’il fut question entre le Roi et le grand Condé, comme Molière lui-même le raconte à la fin de sa préface du Tartuffe. « Finissons, dit-il, par un mot d’un grand prince sur la comédie du Tartuffe. Huit jours après qu’elle eut été défendue, on représenta devant la cour une pièce intitulée Scaramouche ermite ; et le Roi en sortant dit au grand prince que je veux dire : « Je voudrois bien savoir pourquoi les gens qui se scandalisent si fort de la comédie de Molière ne disent mot de celle de Scaramouche. » À quoi le prince répondit : « La raison de cela, c’est que la comédie de Scaramouche joue le ciel et la religion, dont ces Messieurs-là ne se soucient point ; mais celle de Molière les joue eux-mêmes : c’est ce qu’ils ne peuvent souffrir. » — Ce passage est ainsi arrangé et abrégé dans l’impression de 1754 : « Vous souvient-il du Tartuffe et de Scaramouche ermite, dont l’un fut défendu, et l’autre joué sans aucune difficulté ? et vous souvient-il de la réponse de Monsieur le Prince au Roi ? A l’applicazione, Signora. »
- ↑ 4. « Faites l’application, appliquez, Madame. »
- ↑ 5. « C’étoit à une grande lieue d’ici. » (Éditions de 1737 et de 1754.)
- ↑ 6. Dans notre manuscrit, par suite de l’omission de plusieurs mots : « Un peu après, Mme la princesse de Tarente, etc. » Les mots de Tarente ne sont pas dans les éditions de Perrin.
- ↑ 7. Le nom de Beaucé revient à la fin de la lettre suivante. — Quant à Kercado, voyez tome II, p. 338, note 2. — Le nom de Kenpart ne se lit pas ailleurs que dans notre manuscrit.
- ↑ 8. « Une troupe choisie. » Voyez tome III, p. 290, note 1. — Dans l’édition de 1754 : « Uno drapello eletto. »