Discussion Page:Dickens - La Petite Dorrit - Tome 1.djvu/60

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« Dans ces foyers aussi glacés que la mort, rien n’annonçait qu’un feu les eût jamais réchauffés, qui s’élevaient en petits tourbillons bruns dans la chambre, dès qu’on ouvrait une porte. » Cette phrase figure bien telle quelle dans l'original mais elle paraît déformée. Devrions-nous suggérer une correction, et laquelle ? --Zephyrus 6 juin 2007 à 18:56 (UTC)[répondre]

que faut-il corriger? ThomasV 6 juin 2007 à 19:01 (UTC)[répondre]

L'édition de la Pléiade (traduction de Jeanne Métifeu-Béjeau) : « les foyers froids comme la mort ne portaient d'autres traces d'avoir jamais été allumés que les petits tas de suie tombés des cheminées et qui s'élevaient en sombres petits tourbillons dès qu'on ouvrait une porte ». J'aurais mis quelque chose comme : « Dans ces foyers aussi glacés que la mort, rien n’annonçait qu’un feu les eût jamais réchauffés, si ce n'est les flocons de suie tombés des cheminées et qui s’élevaient en petits tourbillons bruns dans la chambre, dès qu’on ouvrait une porte. » --Zephyrus 6 juin 2007 à 19:51 (UTC)[répondre]