Discussion Page:Gaboriau - L’Affaire Lerouge.djvu/239

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
La bibliothèque libre.

Correction[modifier]

L’original dit « Ils nous tiennent, par nos femmes et nos filles, otages de notre alliance. » Avant ma relecture, le texte issue d’une édition plus récente avait supprimé la première virgule. Je l’ai rétablie car cette suppression change le sens. En effet avec les deux virgules, celles-ci introduisent une incise :

Ils nous tiennent — par nos femmes et nos filles — otages de notre alliance.

Autrement les « otages » sont « nous. »

Alors qu’avec une seule virgule, celle-ci introduit une apposition. « Otages de… » se rapportent alors à « nos femmes et nos filles. » Les deux sens me semblent possibles, aussi j’ai gardé la forme la plus ancienne faite du vivant de l’auteur et non la correction, plus récente, faite par un éditeur.

--LeBret (d) 3 février 2011 à 11:07 (UTC)[répondre]