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Discussion Page:JJ Moret - Louis Aubery, fondateur des Ecoles charitables de Moulins, 1682-1730, 1893.djvu/89

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Dernier commentaire : il y a 6 jours par F0x1 dans le sujet Transcriptions possibles

Transcriptions possibles

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  • Une première méthode consiste à utiliser des alinéas :
afin de n’en pas faire des amas ou petites montagnes.
10oDans chaque école, il y aura une armoire fermant à clef, pour serrer les livres, les chapelets, le robinet et choses semblables. Les chapelets doivent être dans un panier, pour chaque école, avec lequel on les porte à l’église, pour les distribuer aux enfants avant la messe, et pour les ramasser, après la messe, et les rapporter dans l’armoire de l’école.
11oDans chaque école, il y aura un grand catalogue sur lequel seront écrits les noms de tous les écoliers, vis-à-vis chacun desquels il y aura six trous, pour marquer, avec des chevilles, les absences des six jours de la semaine.
12oIl y aura dans la maison des écoles, une cloche suspendue du côté que les écoliers la pourront entendre plus facilement ; on la sonnera pour les avertir de l’entrée des classes, aux heures marquées dans l’art. 15me. Les maîtres s’en serviront pour sonner, aux heures de leur coucher, de leur lever, et du reste, qui marque une vie réglée et le bon ordre. Ils auront soin que l’horloge qu’on leur fournira pour une fois, comme le reste des meubles, aille suivant celui de la ville, et d’y régler tous leurs exercices.

Il y aura deux sortes de choses qui s’usent et se consomment, tous les jours, dans les écoles : 1o l’encre, 2o les balais. Pour l’encre, si les maîtres veulent s’en donner la peine et la faire eux-mêmes exprès, pour cinquante écoliers qui écrivent le matin, et les autres cinquante le soir, une pinte d’encre suffit par mois. Pour les balais, on en doit donner, dans chaque école, quatre neufs par mois ; pour les deux écoles, c’est un cent de balais par an, qui coûte cinquante sols.

  • Une deuxième méthode consiste à utiliser un tableau :
  afin de n’en pas faire des amas ou petites montagnes.
10o Dans chaque école, il y aura une armoire fermant à clef, pour serrer les livres, les chapelets, le robinet et choses semblables. Les chapelets doivent être dans un panier, pour chaque école, avec lequel on les porte à l’église, pour les distribuer aux enfants avant la messe, et pour les ramasser, après la messe, et les rapporter dans l’armoire de l’école.
11o Dans chaque école, il y aura un grand catalogue sur lequel seront écrits les noms de tous les écoliers, vis-à-vis chacun desquels il y aura six trous, pour marquer, avec des chevilles, les absences des six jours de la semaine.
12o Il y aura dans la maison des écoles, une cloche suspendue du côté que les écoliers la pourront entendre plus facilement ; on la sonnera pour les avertir de l’entrée des classes, aux heures marquées dans l’art. 15me. Les maîtres s’en serviront pour sonner, aux heures de leur coucher, de leur lever, et du reste, qui marque une vie réglée et le bon ordre. Ils auront soin que l’horloge qu’on leur fournira pour une fois, comme le reste des meubles, aille suivant celui de la ville, et d’y régler tous leurs exercices.

Il y aura deux sortes de choses qui s’usent et se consomment, tous les jours, dans les écoles : 1o l’encre, 2o les balais. Pour l’encre, si les maîtres veulent s’en donner la peine et la faire eux-mêmes exprès, pour cinquante écoliers qui écrivent le matin, et les autres cinquante le soir, une pinte d’encre suffit par mois. Pour les balais, on en doit donner, dans chaque école, quatre neufs par mois ; pour les deux écoles, c’est un cent de balais par an, qui coûte cinquante sols.

F0x1 (d) 12 juillet 2024 à 15:58 (UTC)Répondre