La Cité de Dieu (Augustin)/Livre VI
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Chapitre premier. De ceux qui prétendent adorer les dieux, non en vue de la vie présente, mais en vue de la vie éternelle.
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— II. Sentiment de Varron touchant les dieux du paganisme, qu’il nous apprend à si bien connaître, qu’il leur eût mieux marqué son respect en n’en disant absolument rien.
120
— III. Plan des antiquités de Varron.
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— IV. Il résulte des dissertations de Varron que les adorateurs des faux dieux regardaient les choses humaines comme plus anciennes que les choses divines.
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— V. Des trois espèces de théologies distinguées par Varron, l’une mythique, l’autre naturelle, et l’autre civile.
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— VI. De la théologie mythique ou fabuleuse et de la théologie civile, contre Varron.
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— VII. Il y a ressemblance et accord entre la théologie mythique et la théologie civile.
125
— VIII. Des interprétations empruntées à la science de la nature par les docteurs du paganisme, pour justifier la croyance aux faux dieux.
126
— IX. Des attributions particulières de chaque dieu.
127
— X. De la liberté d’esprit de Sénèque, qui s’est élevé avec plus de force contre la théologie civile que Varron contre la théologie fabuleuse.
129
— XI. Sentiment de Sénèque sur les Juifs.
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— XII. Il résulte évidemment de l’impuissance des dieux des Gentils en ce qui touche la vie temporelle, qu’ils sont incapables de donner la vie éternelle.
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