La Vérité sur l’Algérie/05
Apparence
Librairie Universelle, (p. 69-TdM).
LIVRE CINQUIÈME
CHERCHONS CE QU’IL Y A DE VRAI DANS LA COMMUNE CROYANCE QUE NOUS AVONS CONQUIS L’ALGÉRIE AUX FINS DES INTÉRÊTS SUPÉRIEURS DE LA CIVILISATION.
Chapitre III. — L’affaire Bacri-Deval… et compagnie
75
Chapitre IV. — Précisons l’affaire Bacri
78
Chapitre V. — Le fait « business », « fourbi », « affaire » à bénéfices particuliers fut, est, sera toujours le fait déterminant de toute entreprise nationale quelconque dans les sociétés individualistes à régime capitaliste. À l’époque de la conquête d’Alger cela choquait moins qu’aujourd’hui. D’abord impopulaire, la conquête devint populaire aussitôt qu’on y vit la bonne affaire pour tous
90
Chapitre VI. — L’humanité et notre action militaire dans l’Afrique du Nord
96
106
Chapitre VIII. — La division des affaires en trois catégories
111
Chapitre XI. — Sur les affaires de chemins de fer. Les transsahariens
117
Chapitre XII. — Les affaires basées sur l’exploitation du sol et des habitants
118
Chapitre XIII. — Les mines sahariennes et la Mauritanie
occidentale
122
Chapitre XIV. — Les mines sahariennes et l’empereur du Sahara
125
Chapitre XV. — Le mirage minier et la conquête du Touat
126
Chapitre XVI. — Les affaires d’Algérie et celles du Maroc
129
Chapitre XVII. — La libération des juifs et l’action française au Maroc
136
Chapitre XVIII. — Le nouvel esprit militaire et l’action belliqueuse en Algérie-Maroc
139
Chapitre XIX. — Le soldat sous la direction politique des gens d’affaires joue un rôle de dupe. Quand le verra-t-il ?
145
Chapitre XX. — Les économistes coloniaux actuels avouent que le droit n’a rien à voir dans les conquêtes coloniales. Quelques notions du droit de conquête
146