Les 120 Journées de Sodome/Seconde partie

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Seconde partie.


Les cent cinquante passions de la seconde classe ou doubles, composant 31 journées de décembre remplies par les narrations de la Chanville, auxquelles on a joint le journal exact des événements scandaleux du château pendant ce mois.

Plan.204)

Le 1er de décembre, la Chanville prend les récits et205) compte les 150 histoires suivantes.206) (Les [151 —
155]
chiffres précèdent les récits.) 1. Ne veut dépuceler que de trois ans jusqu’à sept, mais en con. C’est lui qui dépucelle la Chanville à l’âge de cinq ans. 2. Il fait attacher une fille de neuf ans en boule et la dépucelle en levrette. 3. Il veut violer une fille de douze à treize ans, et ne la dépucelle que le pistolet sur la gorge. 4. Il veut branler un homme sur le con de la pucelle, le foutre lui sert de pommade, il enconne après la pucelle, tenue par l’homme. 5. Il veut dépuceler trois filles de suite, une au berceau, une à cinq ans, [156 —
160]
l’autre à sept. La 2e journée, 6. Il ne veut dépuceler qu’une de neuf ans à treize, son vit est énorme, il faut que quatre femmes lui tiennent la pucelle, c’est le même de Martaine qui n’encule qu’à trois ans, le même de l’enfer. 7. Il fait dépuceler à dix ou douze ans devant lui par son valet et ne la touche pendant l’opération que sur son cul, il manie tantôt celui de la pucelle, tantôt celui du valet, il décharge sur le cul du valet. 8. Il veut dépuceler une fille, qui doit être mariée le lendemain. 9. Il veut que le mariage se fasse et dépuceler l’épouse entre la messe et l’heure du coucher. 10. Il veut que son valet, homme très adroit, aille épouser partout des filles, qu’il les lui amène, le maître les fout, il les trafique après à des maquerelles. [161 —
165]
La troisième journée. — 11. Il ne veut dépuceler que les deux sœurs. 12. Il épouse la fille, la dépucelle, mais il l’a trompée, et dès que l’affaire est faite il la plante là. 13. Il ne fout la pucelle qu’à l’instant d’après où un homme vient de la déflorer devant lui, il veut qu’elle ait le con tout barbouillé de sperme. 14. Il dépucelle avec un godmiché, et décharge sur l’ouverture qu’il vient de faire sans s’introduire. 15. Il ne veut que des pucelles de condition, et les paye au poids de l’or, ce sera le duc, qui avouera à avoir depuis trente ans dépucelé plus quinze cent. [166 —
170]
[4e journée.] 16. Il force un frère à foutre sa sœur devant lui, et il la fout après, il les fait chier tous deux avant. 17. Il force un père à foutre sa fille après que lui l’a dépucelée. 18. Il mène sa fille à neuf ans au bordel et l’y dépucelle tenue par la maquerelle, il a eu douze filles et il les a ainsi dépucelées toutes. 19. Il ne veut dépuceler que de trente à quarante ans. 20. Il ne veut dépuceler que des religieuses et dépense un argent immense pour en avoir : il en a. — Cela est le quatre au soir, et le même soir aux orgies, le duc dépucelle Fanni, tenue par les quatre vieilles et servi par la Duclos. Il la fout deux coups de suite, elle s’évanouit, il la fout le second coup sans connaissance. Le cinq. en conséquence de ces narrations, pour célébrer la fête de la cinquième semaine on marie ce jour-là Hyacinthe et Fanni et le mariage se consomme devant tout le monde.207) [171 —
175]
21. Il veut que la mère tienne la fille, il fout d’abord la mère et dépucelle ensuite l’enfant, tenue par la mère, c’est le même du vingt février de Desgranges. 22. Il n’aime que l’adultère, il faut lui trouver des femmes sages et publiquement dans leur ménage, il les dégoûte de leurs maris. 23. Il veut que le mari lui prostitue lui-même sa femme et la lui tienne quand il la fout. Les amis imiteront cela sur-le-champ. 24. Il place une femme mariée sur un lit, l’enconne pendant que la fille de cette femme en perspective au dessus lui fait baiser son con, l’instant d’après il enconne la fille, en baisant le trou du cul de la mère ; quand il a baisé le con de la fille, il la fait pisser, quand il baise le cul de la mère, il la fait chier. 25. Il a quatre filles légitimes et mariées, il veut les foutre toutes les quatre, il leur fait des enfants à toutes les quatre, afin d’avoir le plaisir de dépuceler un jour ces enfants, qu’il a faits à ses filles, et que le mari croit à lui, [le] duc raconte sur cela, — mais ça ne fait point nombre, parce qu’ils ne peuvent être renouvelés ; ça ne fait point passion ; il raconte, dis-je, qu’il a connu un homme qui a foutu trois enfants qu’il avait de sa mère, desquelles il y avait une fille qu’il avait fait épouser à son fils de façon qu’en foutant celle-là, il foutait sa sœur, sa fille et sa belle-fille, et qu’il contraignit son fils à foutre sa sœur et sa belle-mère. Curval raconte un autre : deux frères et deux sœurs qui firent projet de se livrer mutuellement leurs enfants. La sœur avait un garçon et une fille, et le frère de même, ils se mêlèrent de façon que tantôt ils foutaient avec leurs neveus et tantôt avec leurs enfants, et tantôt les cousins germains, ou les frères et sœurs se foutaient, pendant que les pères et mères c’est-à-dire, le frère et la sœur, se foutaient également. Le soir Fanni est livrée en con à l’assemblée, mais comme l’évêque et M. Durcet ne foutent pas en con, elle n’est foutue que par Curval et le duc, de ce moment elle porte un petit ruban en écharpe et après la perte de ses deux pucelages elle en portera un rosa tout large. Le six décembre. [176 —
180]
26. Il se fait branler pendant qu’on branle une femme sur le clitoris et veut décharger en même temps que la fille ; mais il décharge sur les fesses de l’homme que branle la femme. 27. Il baise le trou du cul, pendant qu’une seconde fille lui branle le cul, et une troisième le vit, elles changent afin que chacune pusse baiser le trou de son cul, que chacune branle le vit, et chacune le cul. Il faut péter. 28. Il lèche un con, pendant qu’il foute une seconde en bouche, et qu’une troisième lui lèche le cul, et il change de même que ci-dessus, il faut que les cons déchargent et il avale le foutre. 29. Il suce un cul merdeux, fait branler son cul merdeux avec la langue, et se branle sur un cul merdeux, puis les trois filles changent. 30. Il fait branler deux filles devant lui, et fout alternativement les branleuses en levrette, pendant qu’elles continuent de se sapphotiser ; on découvre ce jour-là que Zéphire et Cupidon se branlent, mais ils ne se sont pas encore enculés, ils sont punis. Fanni est très enconnée aux orgies. Le sept. [181 —
185]
31. Il veut qu’une grande fille en mette à mal une petite, qu’elle la branle qu’elle lui donne de mauvais conseils, et qu’elle finisse par la tenir pendant qu’il la fout vierge ou non. 32. Il veut quatre femmes, il en fout deux en con et deux en bouche en observant de ne mettre le vit dans la bouche de l’une, qu’au sortir du con de l’autre, pendant tout ce temps-là une cinquième le suit en lui branlant le cul avec un godmiché. 33. Il veut douze filles, six jeunes et six vieilles, et si cela se peut, six mères et six filles ; il leur gamahuche le con, la bouche, et le cul ; quand il en est au con, il veut de l’urine, quand il en est à la bouche il veut de la salive, et quand il en est au cul, il veut des pets. 34. Il employe huit femmes à le branler, toutes différemment postées, il faudra peindre cela. 35. Il veut voir trois hommes et trois filles se foutre dans différentes postures. — Le huit. [186 —
190]
36. Il forme douze groupes, de deux filles chaque, mais elles sont engeancées de ses cons, qu’elles ne montrent que leurs culs, tout le reste du corps est caché. Il se branle en voyant toutes ces fesses. 37. Il fait branler 5 couples à la fois dans une salle de glace, chaque couple est composé de deux filles se branlant dans des attitudes lubriques et variées, il est au milieu du salon, regarde et les couples et leur répétitions dans ses glaces, et décharge au milieu de cela, branlé par une vieille, il a baisé les fesses de ces couples. 38. Il fait soûler et battre quatre raccrocheuses devant lui, et veut que quand elles sont ainsi bien soûlées, elles vomissent dans sa bouche, il les prend les plus vieilles et les plus laides possibles. 39. Il fait chier une fille dans sa bouche, sans le manger, et pendant ce temps-là, une seconde fille lui suce le vit, et lui branle le cul, il chie en déchargeant dans la main de celle, qui le socratise, elles changent. 40. Il fait chier un homme dans sa bouche, et le mange, pendant qu’un petit garçon le branle, puis l’homme le branle et il fait chier le petit garçon. Ce soir-là, aux orgies, Curval dépucelle Michette, toujours dans la même coutume : tenue par les quatre vieilles et servie par Duclos, on ne le répétera plus. — Le neuf. [191 —
195]
41. Il fout une fille en bouche, en venant de lui chier avant dans la bouche, une seconde est au-dessus de celle-là, ayant la tête de celle-ci entre ses cuisses, et sur le visage de cette seconde une troisième pousse des scelles, et lui, en foutant ainsi, l’étron dans la bouche de la première, va manger la merde donnée par la troisième sur le visage de la seconde et puis elles changent, de manière à ce que chacune remplisse successivement les trois rôles. 42. Il passe trente femmes dans sa journée et les fait toutes chier dans sa bouche, il mange l’étron de trois ou quatre des plus jolies ; il renouvelle cette partie-là cinq fois de la semaine, ce qui fait qu’il voit sept mille huit cent filles par an, quand Chanville le voit, il a soixante et dix ans, et il y a cinquante ans qu’il fait ce métier. 43. Il en voit douze tous les matins et avale les douze étrons, il les voit toutes ensemble. 44. Il se met dans un bain, où trente femmes viennent remplir la baignoire en pissant et en chiant ; il décharge en recevant et nageant dans tout cela. 45. Il chie devant quatre femmes, exige qu’elles le regardent et l’aident à faire son étron, ensuite il veut qu’elles se le partagent et le mangent, puis elles en font chacune un, il les mêle et les avale tous quatre, mais il faut que ce soit des vieilles d’au moins soixante ans. Ce soir-là Michette est livrée en con à l’assemblée. De ce moment elle porte la petite écharpe. — Le dix. [196 —
200]
46. Il fait chier une fille „a“ et une autre „b“. Puis il force „b“ à manger l’étron de „a“ et „a“ à manger l’étron de „b“. Ensuite elles chient toutes deux et elles208) mangent leurs deux étrons. 47. Il veut une mère et trois filles, et il mange la merde des filles sur le cul de la mère, et la merde de la mère sur le cul d’une de ses filles. 48. Il oblige une fille de chier dans la bouche de sa mère, et de se torcher le cul avec les tetons de sa mère, ensuite il va manger l’étron dans la bouche de cette mère, et fait exprès chier la mère dans la bouche de sa fille, où il va de même manger l’étron. Il vaut mieux mettre un fils et sa mère pour varier avec la précédante. 49. Il veut qu’un père mange l’étron de son fils et lui mange l’étron de son père. — 50. Il veut que le frère chie dans le con de sa sœur, et il mange l’étron, puis il faut que la sœur vienne chier dans la bouche du frère, et il y mange l’étron. — Le onze. [201 —
205]
51. Elle prévient qu’elle va parler d’impiétés209) et parler d’un homme qui veut, que la putain en le branlant profère des blasphèmes épouvantables, il en dit à son tour d’effroyables, son amusement pendant ce temps-là consiste à baiser le cul, il ne fait que cela. 52. Il veut que la fille vienne le branler au soir dans une église dans le temps surtout où le St. sacrement est exposé. Il se place le plus près qu’il peut de l’autel et manie le cul pendant ce temps-là. 53. Il va à confesse uniquement pour faire bander son confesseur, il lui dit des infamies et se branle dans le confessionnal tout en parlant. 54. Il veut que la fille aille à confesse, il l’attend au moment où elle en sort, pour la foutre en bouche. 55. Il fout une putain pendant une messe dite dans une chapelle à lui et décharge à l’élévation. Ce soir le duc dépucelle Sophie en con et blasphème beaucoup. — Le douze. [206 —
209]
56. Il gagne un confesseur, qui lui cède sa place pour confesser de jeunes pensionnaires, il surprend ainsi leur confession, et leur donne en les confessant tous les plus mauvais conseils qu’il puisse. 57. Il veut que sa fille aille à confesse à un moine qu’il a gagné, et on le place de façon qu’il peut tout entendre, mais le moine exige que sa pénitente ait les jupes relevées pendant la confession, et le cul est porté de manière que le père peut le voir, ainsi il entend la confession de sa fille et il voit son cul à la fois. 58. Il fait célébrer la messe à des putains toutes nues, et il se branle en voyant cela sur les fesses d’une autre fille. 59. Il fait aller sa femme à confesse à un moine gagné, qui séduit sa femme et la fout devant le mari, qui est caché, si la femme refuse, il sort et va aider le confesseur. — Ce jour-là on célèbre la fête de la sixième semaine par le mariage de Céladon et de Sophie, qui se consomme, et le soir, Sophie est livrée en con, et elle porte l’écharpe — c’est cet évènement qui fait qu’on ne compte que quatre passions. — Le treize. [210 —
214]
60. Il fout des putains sur l’autel au moment où l’on va dire la messe, elles ont le cul nu sur la pierre sacrée. 61. Il fait mettre une fille nue à cheval sur un grand crucifixe, il la fout en con en levrette dans cette attitude, et de façon à ce que la tête du Christ branle le clitoris de la putain. 62. Il pète et fait péter dans le calice, il y pisse et fait pisser, il y chie et y fait chier, et finit par y décharger. 63. Il fait chier un jeune garçon sur la patène et il le mange, pendant que l’enfant le suce. 64. Il fait chier deux filles sur un crucifix, il y chie après elles, et on le branle sur les trois étrons qui couvrent la face de l’idole. — Le quatorze. [215 —
220]
65. Il brise des crucifix, des images de vierge et du père éternel, chie sur les débris et brûle le tout. [65b] Le même homme a la manie de mener une putain au sermon, et se faire branler pendant la parole de Dieu. 66. Il va communier et revient se faire chier dans la bouche par quatre putains. 67. Il la fait aller communier et la fout en bouche au retour. 68. Il interrompt un prêtre dans une messe, dite chez lui, il l’interrompt, dis-je, pour se branler dans son calice, oblige la fille à y faire décharger le prêtre, et force celui-ci à avaler le tout.210) 70. Il l’interrompt, quand l’hostie est consacrée, et force le prêtre à foutre la putain avec son hostie. — On découvre ce jour-là qu’Augustine et Zelmire se branlent ensemble, elles sont toutes deux rigoureusement punies. Le quinze. [221 —
225]
71. Il fait péter la fille sur l’hostie, y pète lui-même et avale après l’hostie, en foutant la putain. 72. Le même homme qui se fait clouer dans une bierre, et dont a parlé Duclos, force la putain à chier sur l’hostie, il y chie aussi et jette le tout dans les lieux. 73. Il branle avec l’hostie le clitoris de la putain, la fait décharger dessus, puis il l’enfonce et fout avec l’hostie en déchargeant à son tour dessus. 74. Il la perce à coups de couteau et s’en fait enfoncer les morceaux dans le cul. 75. Il se fait branler sur l’hostie, y décharge et fait ensuite de sens froid, et quand le foutre a coulé, manger le tout à un chien. — Le même soir l’évêque consacre une hostie et Curval dépucelle Hébé avec, il la lui enfonce dans le con et décharge dessus. On en consacre plusieurs autres et les sultanes déjà dépucelées sont toutes foutues avec des hosties. — Le seize. Chanville annonce, que la profanation qui tout à l’heure formait la chose principale dans ses récits, ne sera plus qu’accessoire, et ce qu’on appelle au bordel „les petites cérémonies en passions doubles“211) va faire l’objet principal, elle prie qu’on se souvienne que tout ce qui sera lié à cela ne sera qu’accessoire, mais que la différence qu’il y aura pourtant entre ses récits et ceux de la Duclos sur ce même objet, est que Duclos n’a jamais parlé que d’un homme avec une femme, et qu’elle y mêlera toujours plusieurs femmes avec l’homme. [226 —
230]
76. Il se fait fouetter pendant la messe par une fille, il en fout une seconde en bouche et décharge à l’élévation. 77. Il se fait fouetter légèrement sur le cul par deux femmes avec un martinet, elles donnent dix coups chacune et lui branlent le trou du cul entre chaque reprise. 78. Il se fait fouetter par quatre filles différentes, pendant qu’on lui pète dans la bouche, elles changent afin que toutes, chacune à son tour, fouettent et pètent. 79. Il se fait fouetter par sa femme en foutant sa fille, ensuite par sa fille en foutant sa femme, c’est le même dont Duclos a parlé et qui prostitue sa fille et sa femme au bordel. 80. Il se fait fouetter par deux filles à la fois, l’une frappe par devant et l’autre par derrière et quand il est bien en train, il en fout une, pendant que l’autre fouette, puis la seconde pendant que la 1e fouette. — Le même soir on livre Hébé pour le con et elle porte le petit cordon, ne pouvant avoir le grand que quand elle aura perdu ses deux pucelages. — Le dix-sept. [231 —
235]
81. Il se fait fouetter en baisant le cul d’un garçon, pendant qu’il fout une fille en bouche, ensuite il fout le garçon en bouche en baisant le cul de la fille et recevant toujours le fouet par une autre fille, puis il se fait fouetter par le garçon, fout en bouche la putain, qui le fouettait, et se fait fouetter par celle dont il baisait le cul. 82. Il se fait fouetter par une vieille femme, fout un vieux homme en bouche, et se fait chier dans la bouche par la fille de cet homme ou cette femme, puis change afin que chacune remplisse les trois rôles. 83. Il se fait fouetter en se branlant et déchargeant sur un crucifix appuyé sur les fesses d’une fille. 84. Il se fait fouetter en foutant en levrette une putain avec l’hostie. 85. Il passe tout un bordel en revue, il reçoit le fouet de toutes les putains en baisant le trou du cul de la maquerelle qui lui pète et lui chie dans la bouche. — Le dix-huit. [236 —
240]
86. Il se fait fouetter par des cochers de fiacre et de garçons maréchaux, les passant deux à deux, et faisant toujours péter dans sa bouche à celui qui ne fouette pas, il en passe 10 ou 16 dans sa matinée. 87. Il se fait tenir par trois filles, la quatrième l’étrille à quatre pattes, étant montée sur lui, toutes les quatre changent et lui montent sur le corps tour à tour. 88. Il arrive au milieu de six filles nu, il demande pardon, il se jette à genoux, chaque fille ordonne une pénitence, et il a cent coups de fouet par chaque pénitence refusée. C’est la fille refusée, qui le fouette. Or ces pénitences sont toutes fort sales, l’une voudra lui chier dans la bouche, l’autre lui faire lécher ses crachats à terre, celle-ci se fait lécher le con avec sa règle, cette autre l’entre deux des doigts des pieds, celle-là sa morve etc. 89. Quinze filles passent trois par trois, une fouette, une le suce, l’autre chie, puis celle qui a chié fouette, celle qui a sucé chie et celle qui a fouetté suce, il les passe ainsi toutes quinze, il ne voit rien, il n’entend rien, il est dans l’ivresse, c’est une maquerelle, qui dirige tout. Il recommence cette partie six foix de la semaine. Celle-là est charmante à faire et je vous la recommande, il faut que ça aille fort vite, chaque fille doit donner vingt-cinq coups de fouet et c’est dans l’intervalle de ces vingt-cinq coups que la première suce et que la troisième chie, s’il veut que chaque fille donne cinquante coups, il aura reçu sept cent cinquante, ce qui n’est pas trop. 90. Vingt-cinq putains lui molestent le cul à force de le claquer et de le manier, on ne le laisse que quand son derrière est tout à fait insensible.  — Ce soir on fouette le duc, pendant qu’il dépucelle Zelmire en con. — [241 —
244]
Le dix-neuf. 91. Il se fait faire son procès par six filles, chacune a son rôle, on le condamne à être pendu, on le pend effectivement, mais, le corde casse, c’est l’instant de sa décharge ; liez celle-là avec une de celles de Duclos, qui lui ressemble. 92. Il fait mettre six vieilles en demi-cercle, trois jeunes filles l’étrillent devant le demi-cercle de duègnes, qui toutes lui crachent au visage. 93. Une fille lui branle le trou du cul avec le manche des verges, une seconde le fouette sur les cuisses et le vit par devant, c’est ainsi qu’il décharge sur les tetons de la fouetteuse de devant. 94. Deux femmes le rossent à coups de nerfs-de-bœuf pendant qu’une troisième à genoux devant lui le fait décharger sur ses tetons. — Elle n’en dit que quatre ce soir-là à cause du mariage de Zelmire et d’Adonis, qui célèbre la septième semaine et qui se consomme, attendu que Zelmire est dépucelée en con de la veille, —Le vingt. [245 —
249]
95. Il se bat avec six femmes dont il fait semblant de vouloir éviter le fouet, il veut leur arracher les verges des mains, mais celles-ci sont plus fortes et elles le fustigent malgré lui, il est nu. 96. Il passe par les verges entre deux rangs de douze filles chacune, il est fouetté sur tout le corps et il décharge après neuf tours. 97. Il se fait fouetter sur les plantes des pieds, sur le vit, les cuisses, pendant qu’étendu sur un canapé trois femmes montent à cheval sur lui et lui chient dans la bouche. 98. Trois filles le fouettent alternativement l’une à coups de martinet, l’autre à coups de nerfs-de-bœufs, la troisième à coups de verges. Une quatrième à genoux devant lui et dont le laquais du paillard branle le trou du cul, lui suce le vit et lui branle le vit du laquais, qu’il fait décharger sur les fesses de sa suceuse. 99. Il est entre six filles, l’une le pique, l’autre le pince, la troisième le branle, la quatrième le mord, la cinquième l’égratigne et la sixième le fouette. Tout cela indistinctement partout. Il décharge au milieu de tout cela. Ce soir-là Zelmire dépucelée de la veille est livrée en con à l’assemblée, c’est-à-dire toujours uniquement à Curval et au duc, puisqu’ils sont les seuls du quadrille, qui foutent en con. Dès que Curval a foutu Zelmire, sa haine pour Constance et pour Adélaïde se redouble, il veut que Constance serve Zelmire. — Le vingt et un. [250 —
254]
100. Il se fait branler par son laquais, pendant que la fille est sur un piédestal nue, il ne faut ni qu’elle bouge, ni qu’elle perde l’équilibre de tout le temps qu’on le branle. 101. Il se fait branler par la maquerelle, en lui maniant les fesses, pendant que la fille tient dans ses doigts un bout de bougie très court qu’il ne faut pas qu’elle lâche, que le paillard n’ait déchargé et il a bien soin de ne le faire que quand elle se brûle. 102. Il fait coucher six filles à plat ventre sur sa table à manger, chacune un bout de bougie dans le cul pendant qu’il soupe. 103. Il fait tenir une fille à genoux sur des cailloux aigus pendant qu’il soupe et si elle bouge de tout le repas, elle n’est pas payée, au dessus d’elle sont deux bougies renversées et dont la cire lui coule toute chaude sur le dos et les tetons. Au moindre mouvement qu’elle fait, elle est renvoyée sans être payée. 104. Il la contraint d’être dans une cage de fer très à l’étroit pendant quatre jours, elle ne peut ni s’asseoir, ni se coucher, il lui donne à manger à travers les barreaux. C’est celui dont Desgranges parlera au ballet des dindons. Ce même soir Curval dépucelle Colombe en con.212) — Le vint-deux. [255 —
259]
105. Il fait danser une fille nue dans une couverture avec un chat qui la pince, la mord et l’égratigne en retombant, il faut qu’elle saute quelque chose qui en arrive, jusqu’à la décharge de l’homme. 106. Il frotte une femme avec une certaine drogue, qui cause des démangeaisons si violentes que cette femme se met en sang elle-même, il la regarde faire en se branlant. 107. Il arrête la règle d’une femme par une boisson et risque ainsi de lui donner de fortes maladies. 108. Il lui donne une médecine de cheval, qui lui cause des tranchées horribles, il la regarde chier, et souffrir tout le jour. 109. Il frotte une fille de miel, puis l’attache nue contre une colonne et lâche sur elle une essence de grosses mouches. Le même soir Colombe est livrée par le con. — Le vingt-trois. [260 —
264]
110. Il place la fille sur un pivot qui tourne avec une prodigieuse rapidité. Elle est liée nue et tourne jusqu’à décharge. 111. Il pend une fille, la tête en bas, jusqu’à décharge. 112. Il lui fait avaler une forte dose d’émétique, lui persuade, qu’elle est empoisonnée et se branle en la voyant vomir. 113. Il paîtrit la gorge, jusqu’à ce qu’elle soit toute bleue. 114. Il paîtrit le cul neuf jours, de suite, pendant trois heures chaque jour. — Le vingt-quatre. [265 —
270]
115. Il fait monter une fille sur une échelle jusqu’à vingt pieds de haut, là une échelle casse et la fille tombe, mais c’est sur des matelas préparés, il vient lui décharger sur le corps au moment de sa chute et quelquefois il la fout en ce moment-là. 116. Il donne des soufflets à tour de bras et décharge en les donnant, il est dans un fauteuil et la fille est à genoux devant lui. 117. Il lui donne des ferrules sur les mains. 118. De fortes claques sur les fesses, jusqu’à ce que le derrière soit tout en feu. 119. Il la gonfle avec un soufflet de forge par le trou du cul. 120. Il lui donne un lavement d’eau presque bouillante, il s’amuse de ses contorsions et lui décharge sur le cul. Ce soir-là, Aline reçoit des claques sur le cul des quatre amis, jusqu’à ce que son cul soit comme de l’escarlate, une vieille la tient, sur ses épaules. On en donne aussi quelqu’unes à Augustine. — Le vingt-cinq. [271 —
275]
121. Il cherche des dévotes, et les fouette avec des crucifix et des chapelets, puis les pose en statue de vierge sur un autel dans une posture gênante et dont elles ne peuvent bouger, il faut qu’elles soient là tout le temps d’une fort longue messe à l’élévation de laquelle elle doit lâcher son étron sur l’hostie. 122. Il la fait courir nue dans une nuit glacée d’hiver au milieu d’un jardin, et il y a des cordes tendues d’intervalles à intervalles pour la faire tomber. 123. Il la jette comme par mégarde dès qu’elle est nue dans une cuve d’eau presque bouillante, et l’empêche de sortir jusqu’à ce qu’il lui ait déchargé sur le corps. 124. Il la fait tenir nue sur une colonne au milieu d’un jardin au cœur de l’hiver, jusqu’à ce qu’elle ait dit cinq ,patres’ et cinq ,avé’ ou jusqu’à ce qu’il ait perdu son foutre, qu’une autre fille excite en face de ce spectacle. 125. Il fait coller de glue la lunette d’une garderobe préparée, il l’y envoye chier, dès qu’elle est assise, son cul se prend, pendant ce temps-là de l’autre côté on pose un réchaud de feu sous son derrière, elle fuit et s’écorche, en laissant toute la peau prise au cercle. — Ce soir-là on fait faire des profanations à Adélaïde, et à Sophie, les deux dévotes, et le duc dépucelle Augustine, dont il est amoureux depuis long temps, il lui décharge trois fois de suite dans le con. — Et dès le même soir il propose de la faire courir nue dans la cour par le froid affreux, qu’il fait, il le propose vivement, on ne veut pas parce qu’elle est très jolie, et qu’on veut la conserver, que d’ailleurs elle n’est pas encore dépucelée par derrière. Il offre deux cent louis à la société pour la faire descendre au caveau dès le même soir ; on refuse, il veut au moins qu’elle ait le cul claqué, elle reçoit vingt-cinq claques de chaque ami. Mais le duc donne les siennes à tour de bras et décharge une quatrième fois en les donnant, il couche avec elle, et l’enconne encore trois pendant la nuit. — Le vingt-six. [276 —
279]
126. Il fait soûler la fille, elle se couche, dès qu’elle dort on enlève son lit, elle se penche pour prendre son pot de chambre, vers le milieu de la nuit, ne le trouvant pas elle tombe, parce que le lit est en air et la culbute ; dès qu’elle se penche, elle tombe sur des matelas préparés. L’homme l’attend là et la fout dès qu’elle tombe. 127. Il la fait courir nue dans un jardin en la poursuivant avec un fouet de poste, dont elle est seulement menacée. Il faut qu’elle court jusqu’à ce qu’elle tombe de lassitude, c’est l’instant où il se jette sur elle et où il la fout. 128. Il fouette la fille par reprises de 10 coups jusqu’à cent, avec un martinet de soie noire, il baise beaucoup les fesses à chaque reprise. 129. Il fouette avec des verges trempées dans de l’esprit de vin, et ne décharge sur les fesses de la fille que lorsqu’il les voit en sang. Chanville ne conte que quatre passions ce jour-là parce que c’est la fête de la huitième semaine, on la célèbre par le mariage de Zéphire et d’Augustine, qui tous deux appartiennent au duc et qui couchent dans sa chambre, mais avant la célébration le duc veut que Curval fouette le garçon pendant qu’il fouette la fille, cela a lieu ; ils reçoivent chacun cent coups de fouet, mais le duc plus animé que jamais contre Zelmire parce qu’elle l’a beaucoup fait décharger la fouette jusqu’au sang. Il faudra ce soir-là expliquer ce que c’est que les pénitences, comment on y procède et quel nombre de coups de fouet on y reçoit, vous pourrez faire un tableau des fautes, avec à côté le nombre des coups. — Le vingt-sept. [280 —
284]
130. Il ne veut fouetter que des petites filles de cinq à sept ans, et toujours cherche un prétexte afin d’avoir mieux l’air de punir. 131. La femme vient à confesse à lui, il est prêtre, elle dit tous ses péchés et pour pénitence, il lui donne cinq cent coups de fouet. 132. Il passe quatre femmes, et leur donne six cent coups de fouet à chacune. 133. Il fait faire la même cérémonie devant lui par deux valets, qui se relayent, on passe vingt femmes à six cent coups chacune, elles ne sont point attachées, il se branle en voyant opérer. 134. Il ne fouette que de petits garçons de quatorze à seize ans, et il les fait décharger dans sa bouche après. Il leur en donne cent coups chacun, il en voit toujours deux à la fois. — Ce soir-là Augustine est livrée pour le con, Curval l’enconne deux fois de suite et veut comme le duc la fouetter après. Tous deux s’acharnent contre cette fille charmante, ils proposent quatre cent louis à la société pour en être maître tous deux dès ce même soir, on leur refuse. — Le vingt-huit. [285 —
290]
135. Il fait entrer une fille nue dans un appartement, alors deux hommes lui tombent sur le corps et la fouettent chacune sur une fesse, jusqu’au sang, elle est liée. Quand c’est fini, il branle les hommes sur le derrière en sang de pieds et mains au mur, devant elle également attachée au mur est une plage d’acier tranchante qu’on relève contre son ventre, si elle veut échapper le coup, il faut qu’elle se jette en avant, alors elle se coupe, si elle veut échapper la machine ; il faut, qu’elle se jette sur les coups. 137. Il fouette une fille neuf jours de suite à 1 cent coups le premier jour, toujours doublant jusqu’au neuvième inclu. 138. Il fait mettre la putain à quatre pattes, monte à cheval sur elle, le visage tourné vers ses fesses et les serrant fortement entre ses cuisses, là il l’étrille sur les fesses, et sur le con à l’envers et dans l’intérieur du vagin, et c’est ce qu’il fait. 139. Il veut une femme grosse, il la fait courber en arrière sur un cylindre qui lui soutient le dos, sa tête au delà du cylindre, va poser en arrière sur une chaise et est fixée là, les cheveux épais, ses jambes se trouvent dans le plus grand écartement possible et son gros ventre extraordinairement tendu. Là le con baissé de toute sa force, c’est là et sur le ventre qu’il dirige ses coups et quand il a vu le sang, il passe de l’autre côté du cylindre et vient décharger sur le visage.[1]

Le duc ce soir-là répudie Constance qui tombe dans le plus grand discrédit. Cependant on la ménage, à cause de sa grossesse, sur laquelle on a des projets. Augustine passe pour femme du duc, et ne fait plus que les fonctions d’épouse aux sophas et aux garderobes. Constance n’a plus rang qu’après les vieilles. — Le vingt-neuf. [291 —
293]
140. Il ne veut que des filles de quinze ans et il les fouette jusqu’au sang avec des houx et des orties, il est très difficile sur le choix des culs. 141. Il ne fouette qu’avec un nerf-de-bœuf jusqu’à ce que les fesses soient tout à fait meurtries, il voit quatre femme de suite. 142. Il ne fouette qu’avec des martinets à pointe de fer, et ne décharge que quand le sang découle de partout. 143. Le même homme dont Desgranges parlera le vingt février, veut des femmes grosses, il les fouette avec un fouet de poste, dont il enlève de gros morceaux de chair sur les fesses et lèche de temps en temps quelques cinglons sur le ventre ; on fouette Rosette ce soir-là, et Curval la dépucelle en con. — On découvre ce jour-là l’intrigue d’Hercule et de Julie, elle s’était fait foutre ; quand on l’en gronde, elle répond libertinement, on la fouette extraordinairement, puis, comme elle est aimée, ainsi qu’Hercule qui s’est toujours bien conduit, on leur pardonne et s’en amuse. — Le trente. [294 —
297]
144. Il place une bougie à une certaine hauteur, la fille a au doigt de milieu de sa main droite un bout de pain de bougie attaché, lequel est fort court et la brûlera, si elle ne se dépêche ; il faut qu’avec ce bout de pain de bougie elle allume la bougie élevée, mais comme elle est placée haut, il faut qu’elle cabriole pour l’atteindre et le paillard, armé d’un fouet de lanière de cuir, la frappe à tour de bras, pour la faire sauter plus haut, ou allume plus vite ; si elle réussit tout est dit, si non, elle est fouettée à tour de bras. 145. Il fouette alternativement sa femme et sa fille et les prostitue au bordel pour y être fouettées sous ses yeux, mais ce n’est pas le même, dont il a été déjà question. 146. Il fouette avec des verges depuis la nuque jusqu’aux gras de jambes, la fille est liée, il lui met en sang tout le train de son derrière. 147. Il ne fouette que sur les tetons, il veut qu’elle les ait très gros, et paye double quand les femmes sont grosses. — Ce soir-là Rosette est livrée pour le con, quand Curval et le duc l’ont bien foutue, ils la fouettent, eux et leurs amis, sur le con. Elle est à quatres pattes et on dirige les coups dans l’intérieur avec un martinet. — Le trente et un. [298 —
300]
148. Il ne fouette que sur le visage avec des verges, il lui faut des figures charmantes, c’est celui dont Desgranges parlera le sept de février. 149. Il fouette indifféremment avec des verges toutes les parties du corps, rien n’est épargné, visage, con et sein compris. 150. Il donne deux cent coups de nerfs-de-bœuf sur tout le train du derrière à de jeunes garçons de seize à vingt ans. — 151. Il est dans une chambre, quatre filles réchauffent et le fouettent, quand il est bien en feu, il se jette sur la cinquième fille, nue dans une chambre vis-à-vis et l’assaillit indifféremment sur tout le corps à grands coups de nerfs-de-bœuf jusqu’à ce qu’il décharge, mais pour que cela soit plutôt fait et que la patiente souffre moins, on ne le lâche que quand il est tout près de sa décharge.[2]

Chanville est applaudie, on lui fait le même honneur qu’à Duclos, et ce soir-là elles soupent toutes deux avec les amis. — Ce soir-là aux orgies, Adélaïde, Aline, Augustine, et Zelmire, sont condamnées à être fouettées avec des verges sur tout le corps, excepté le sein, mais comme on veut encore en jouir au moins deux mois, elles sont très ménagées.



Notes de l’éditeur :

quelles perversions sexuelles et de quels actes il devait y être question.

205) Rayé : „Debute“.

206) Suivent les cas de manie de la défloration ; le libertin n’éprouve une jouissance sexuelle que s’il a affaire à une femme vierge ou à un enfant.

207) À partir du cas 27 il est question de différentes combinaisons du „sadisme symbolique“, qui s’extasie à l’idée seule de l’inceste, de la prostitution de la mère et la fille, de l’époux et de l’épouse etc. Puis viennent les „spinthries“, c’est-à-dire des actes sexuels d’un homme avec plusieurs femmes ou plusieurs personnes ; les actes homosexuels rentrent dans cette catégorie. Cf. No. 190.

208) Dans le texte faussement : „ils“.

209) Les „impiétés“, qui commencent dès le cas 201 sont identiques avec le „satanisme“ de la Psychopathia sexualis moderne et dont on peut déjà observer quelques pratiques chez certaines sectes du moyen-âge ; il consiste dans la parodie blasphématoire de cérémonies religieuses, où l’acteur éprouve une jouissance sexuelle.

210) Le cas 219 manque ; le No. 220 suit après 218.

211) Les „petites cérémonies en passions doubles“ sont des actes sexuels commis avec un plus grand appareil, par plusieurs couples à la fois, pour la satisfaction du libertin.

212) À partir du No. 250 suit la description d’une étrange combinaison de sadisme symbolique avec le sadisme réel, de l’idée du rapprochement avec le rapprochement sexuel effectif.

213) Cette remarque caractérise la manière de travailler rapide et superficielle du m. de Sade ainsi que ses manques fréquents de mémoire. Une fois il lui est arrivé de ne rapporter que 4 cas, une autre fois 6 cas, ce qui finit par troubler tout le plan de l’arrangement, ce dont il s’étonne encore ici !

  1. [Les] brouillons marquent les adoptions seulement après la défloration et en conséquence disent que le duc adopte ici Augustine. Vérifiez, si ce n’est pas faux et si l’adoption des quatre sultanes n’est pas fait dès le commencement, et dès ce moment-là, s’il n’est pas dit qu’elles couchent dans la chambre de ceux qui les ont adoptées. —
  2. Vérifier pourquoi il y a un de plus.213)