Les Pères de l’Église/Tome 3

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Tome troisième
Texte établi par M. de GenoudeSapia.
DU TROISIÈME VOLUME.


LIVRE PREMIER. — Avant-propos. — Hypothèses de Valentin et de ses disciples. — Doctrines licencieuses des hérétiques. — Blasphèmes contre l’incarnation du Christ. — Ils altèrent les Écritures. — Réfutations. — Unité de la foi catholique. — Disciples de Valentin. — Disciples de Ptolémée et Corbasus. — Marcus. — Ses fourberies. — Généalogie de Jésus. — Unité et dualité. — Demiurgos. — Décade et duodécade de Marcus. — Il altère les Écritures. — Jésus et le Christ. — Simon le magicien père de toutes les hérésies. — Saturnin et Basilide. — Carpocrate. — Cerdon et Marcion. — Tatien. — Les Borbéliotes. — Les Ophites et les Séthiens. — Les Caïnites.
7 et suiv.


LIVRE II. — Unité de Dieu, réfutation du Bythus et du Plerum des Valentiniens, etc. — Que la création ne peut provenir du vide ou du péché. — Nécessité d’un seul Créateur. — Les anges ont connu le Dieu suprême. — Créatures images de Æons ou l’ombre du Plerum. — Croyance générale en l’unité de Dieu. Mauvaise foi des hérétiques dans l’interprétation des Écritures. — De la triacontade des hérétiques. — Absurdité de l’hypothèse des premières créations. — D’où proviennent les doctrines de Valentin. — Création des Æons. — Le Créateur a trouvé en lui le type de toutes les créations. — Du Nus et du Père suprême. — De Sophia. — Demiurgos dépositaire de la semence divine. — Le Christ ou douzième Æon. — Les apôtres ne sont pas la figure des Æons. — Absurdité du système des inductions des nombres. — On doit, en matière religieuse, s’abstenir des questions oiseuses. — Tout est clair dans les saintes Écritures. — On doit y avoir une foi entière. — Erreurs des hérétiques sur l’état des âmes après la mort. — Résumé du deuxième livre. — Que les actions ne sont pas indifférentes en elles-mêmes ; réfutation. — Réfutation du système de la transmigration des âmes. — Erreur des gnostiques sur la nature des prophéties.
95 et suiv.


LIVRE III. — Avant-propos. — Les apôtres, fortifiés par les dons de l’Esprit saint, ont prêché un Dieu unique. — Les hérétiques ne veulent reconnaître ni les Écritures ni la tradition. — Comment s’est conservée la tradition. — Elle n’est que dans le sein de l’Église catholique. — Les apôtres et le Christ ont professé un Dieu unique. — Il est enseigné par toute l’Écriture. — Réfutation d’une objection tirée d’une épître de saint Paul, et des paroles du Christ. — Les prophètes et les évangélistes ont proclamé le même Dieu. Preuves de cette concordance. — Doctrines prêchées par les apôtres sur la nature de Dieu. — Réfutation de ceux qui prétendent que parmi les apôtres il n’y a que saint Paul à qui la vérité a été révélée. — Continuation de cette réfutation. — Réfutation des Ébionites au sujet des écrits de saint Paul. — Les apôtres ont prêché le Fils unique de Dieu, en même temps Dieu et homme. — Continuation du même sujet. — Bonté de Dieu à l’égard de l’homme déchu. — Rétablissement d’un passage d’Isaïe altéré par les hérétiques. — Sur l’humanité du Christ. — Sur le salut d’Adam. — Résumé de ce qui précède. — Gouvernement de Dieu, sa justice.
215 et suiv.


LIVRE IV. — Avant-propos. — Que Jésus-Christ a constamment prêché un Dieu unique. — Preuves tirées de Moïse et des prophètes. — Réponse à quelques railleries des gnostiques. L’auteur revient sur son sujet. — La preuve d’un Dieu unique. — Explication de quelques paroles du Christ. — Qu’Abraham a eu la révélation de l’avénement du Christ sur la terre. — Réfutation d’une assertion de Marcion. — Concordance des deux testaments sur la nature de Dieu. — La mission du fils de Dieu sur la terre par les Écritures. — Preuves tirées des paroles du Christ, que l’ancienne et la nouvelle loi n’ont qu’un seul et même auteur. — Dieu n’avait pas besoin de l’homme ; l’homme a besoin de Dieu. — Conduite de Dieu à l’égard des Hébreux, et sur les préceptes qui leur furent donnés. — Les sacrifices anciens étaient la figure du nouveau sacrifice du corps et du sang du Christ. — Que les choses terrestres sont pour nous des images ou des types des choses célestes. — Grandeur de Dieu, sa puissance créatrice à l’aide du Verbe. — Unité de la foi sous l’ancien et le nouveau Testament. — Le Christ est venu pour le salut de tous les justes qui auront vécu soit avant, soit après sa venue. — De la conversion des Juifs et des gentils. — Figures de l’ancien et du nouveau Testament. — Le Christ était un trésor caché dans les Écritures. — Le nouveau Testament étant la source de plus de grâces exige de l’homme plus de perfection. — Réfutation d’une erreur des marcionites sur la bonté de Dieu. — Qu’il ne faut pas blâmer les anciens inconsidérément. — Ce que c’est qu’un vrai disciple de la religion du Christ. — Réfutation des marcionites qui ne veulent pas reconnaître que les deux Testaments ont été inspirés par un seul et même Dieu. — Erreurs des hérétiques en général sur ce sujet. — Sur le libre arbitre de l’homme. — Suite du même sujet. — Résumé du quatrième livre.
331 et suiv.


LIVRE V. — Avant-propos. — Nécessité de l’incarnation pour le salut de l’homme. — L’amour du Verbe pour l’humanité. — Résurrection et glorification des corps. — Erreurs des gnostiques à ce sujet. — Que Dieu a le pouvoir de donner aux corps une éternelle durée. — Ce que sera l’homme dans le séjour de l’immortalité. — Nécessité de la résurrection de la chair. — Les grâces de l’esprit nécessaires pour acquérir l’incorruptibilité. — Explication d’un passage de saint Paul au sujet de la résurrection de la chair. — Suite du même sujet. — Preuves tirées d’Isaïe et d’Ézéchiel. — L’humanité du Verbe prouve l’unité de Dieu. — Ève et Marie. — Qu’il faut éviter la société des hérétiques. La venue du Christ était l’objet principal des prophéties. — Suite. — Règne de l’Antechrist. — Suite. — Les millénaires. — Suite. — Résumé du cinquième livre.
493 et suiv.