Les vies des plus excellents peintres, sculpteurs, et architectes/Taddeo GADDI

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Traduction par Weiss, Charles (18...-19...; commandant).
DORBON-AINÉ (1p. 203-210).
Taddeo GADDI
Peintre florentin, né vers 1300, mort vers 1366 ;

Taddeo, fils de Gaddo Gaddi, Florentin, après la mort de Giotto, qui l’avait tenu sur les fonts baptismaux et qui fut son maître pendant vingt-quatre ans, après la mort de Gaddo, son père, se trouva être, grâce à son jugement et à la force de son esprit, l’un des premiers peintres de son temps et le meilleur disciple de Giotto. Ses premières œuvres, remarquables par une grande facilité due plutôt à la nature qu’à ses études, sont dans l’église de Santa Croce, à Florence, dans la chapelle de la sacristie [1]. De concert avec quelques-uns de ses condisciples, et après la mort de Giotto, il peignit quelques sujets de la vie de sainte Marie-Madeleine[2], où l’on remarque de belles figures et des costumes du temps aussi beaux qu’étranges. Dans la chapelle des Baroncelli et Bandini, où Giotto avait déjà laissé un tableau en détrempe, il fit tout seul sur le mur des fresques admirables tirées de la vie de la Vierge [3]. Au-dessus de la porte de la sacristie, il représenta le Christ discutant avec les docteurs dans le temple ; cette fresque fut ensuite à demi ruinée, quand Cosme l’Ancien de Médicis construisit le noviciat, la chapelle et le corridor allant à la sacristie, pour mettre une corniche de pierre au-dessus de la porte [4] ; il peignit également à fresque la chapelle des Bellacci et celle de Saint-André, à côté d’une des trois peintes par Giotto, et y représenta le Christ faisant abandonner leurs filets à André et à Pierre, ainsi que la Crucifixion de cet apôtre. Sur la porte latérale, à côté du tombeau de Carlo Marsuppini d’Arezzo, il y a de lui un Christ mort avec les Maries, peint à fresque, qui fut très estimé. Au delà de la cloison qui divise l’église, à main gauche, au-dessus du Crucifix de Donatello, il peignit à fresque saint François apparaissant dans les airs et ressuscitant un enfant qui s’était tué en tombant du haut d’un balcon. Dans cette histoire, il mit les portraits de Giotto, son maître, de Dante, de Guido Cavalcanti, et de lui-même, suivant quelques-uns. Il fit encore quantité de figures dans cette église, que les peintres reconnaissent comme étant de lui, à la manière [5]. Pour la Compagnie del Tempio, il peignit le tabernacle qui est au coin de la Via del Crocifisso et qui renferme une Déposition de Croix très belle [6]. Dans le cloître de Santo Spirito, il peignit deux arcades, à côté du chapitre [7] ; l’une représente la Trahison de Judas, et l’autre, la Cène. Dans le même couvent, au-dessus de la porte du réfectoire, il peignit un Christ en croix et d’autres saints, qui font bien connaître qu’entre tous ceux qui y travaillèrent, il fut vraiment imitateur de la manière de Giotto, qu’il tint toujours en grande estime.

À Santo Stefano del Ponte Vecchio, il peignit le tableau et la prédelle du maître-autel [8], et, dans l’oratoire de San Michele in Orto, un beau tableau représentant le Christ mort, pleuré par les saintes Maries et déposé pieusement par Nicodème au tombeau [9]. Dans l’église des Servi, il peignit, dans la chapelle de San Niccolo, quelques sujets tirés de la vie de ce saint [10], et y montra, par les mouvements que fait un bateau, qu’il savait représenter la fureur des tempêtes et de la mer agitée ; les mariniers jettent les marchandises à la mer, tandis que San Niccolo apparaît dans les airs et les préserve du naufrage. Cette œuvre fut cause qu’on lui fit peindre la chapelle du maître-autel de cette église, dans laquelle il fit à fresque quelques traits de la vie de la Vierge, ainsi qu’un tableau en détrempe représentant la Vierge, avec plusieurs saints vigoureusement traités[11]. La prédelle de ce tableau renferme également quelques petits sujets relatifs à la Vierge, dont il n’y a pas lieu de faire mention. Toutes ces peintures furent détruites en 1467, quand Lodovico, marquis de Mantoue, fit élever la tribune actuelle, sur le dessin de Léon Battista Alberti, et le chœur des Frères, et fit porter le tableau dans le chapitre du couvent. Dans le réfectoire, Taddeo peignit, au-dessus des stalles de bois, la Cène, et au-dessus, un Christ en croix avec plusieurs saints[12]. Ces travaux terminés, il fut appelé à Pise et, dans l’église de San Francesco, sur la demande de Gherardo et de Buonaccorso Gambacorti, il peignit dans la chapelle principale des fresques d’une belle couleur, tirées de la vie de saint François, de saint André et de san Niccolo [13]. Sur la voûte et sur la grande paroi, on voit le pape Honorius confirmant la règle de saint François ; Taddeo s’est représenté dans cette scène de profil, la tête couverte d’un capuchon, et au-dessous il y a cette inscription : Magister Taddeus Gaddus de Florentia pinxit hanc historiam Sancti Francisci et Sancti Andreae et Sancti Nicolai, anno Domini MCCCXLII de mense augusti. Il fit encore à fresque, dans le cloître de ce couvent, une Vierge tenant son fils [14] qui est très bien peinte, et dans le milieu de l’église, à main gauche en entrant, un saint Louis, évêque, assis, auquel Fra Gherardo da Villamagna, frère de l’ordre, recommande un certain Fra Bartolommeo, gardien de ce couvent [15].

De retour à Florence, il continua pour la commune la construction d’Or San Michele [16]. Sans altérer le dessin laissé par Arnolfo, il refit en pierres à coquilles bien appareillées les pilastres de la loggia qui étaient auparavant en briques, en prévoyant au-dessus un magasin à deux voûtes, pour conserver les provisions de grain que faisaient le peuple et la commune de Florence. Pour assurer l’achèvement de l’édifice, l’Art de la Porte Santa Maria[17], qui en avait la charge, décida qu’on lui payerait la gabelle de la place et du marché au grain, ainsi que plusieurs autres taxes de peu d’importance. Mais, ce qui fut plus utile, on ordonna, par suite d’une excellente résolution, que chacun des arts de Florence aurait à élever à ses frais un pilastre orné d’une niche, dans laquelle serait placée la statue de son patron[18]. Tous les ans, le jour de la fête du saint les consuls de chaque art devaient s’y tenir avec leur bannière toute la journée et ouvrir une quête au profit des pauvres nécessiteux. L’an 1333[19], comme une grande inondation avait enlevé le tablier du Ponte Rubaconte, renversé le Castello Altafronte, détruit le Ponte Vecchio en ne laissant debout que les deux piles du milieu, ruiné entièrement le Ponte a Santa Trinità dont il ne resta qu’une pile toute branlante, et à moitié le Ponte alla Carraia, en enlevant l’écluse d’Ognissanti, les magistrats de la ville ne voulurent plus que les habitants d’Oltr’Arno eussent la difficulté de traverser la rivière avec des barques pour rentrer chez eux, et demandèrent à Taddeo Gaddi [20], pendant l’absence de Giotto qui s’était rendu à Milan, un plan et un modèle nouveaux pour le Ponte Vecchio[21], à charge de le faire aussi beau et aussi solide que possible. Il n’épargna donc ni temps ni argent, et le construisit avec cette ampleur de piles et cette hardiesse de voûtes, tout en pierres appareillées et équarries au ciseau, comme on le voit maintenant. La largeur du pont est de trente-deux brasses, seize brasses pour la voie du milieu, huit brasses à droite et à gauche pour les boutiques qui sont aujourd’hui au nombre de quarante-quatre, vingt-deux de chaque côté, et rapportent à la ville huit cents florins de location par an. Non seulement cet ouvrage, qui coûta 60.000 florins d’or, valut à Taddeo des louanges infinies pendant sa vie, mais encore maintenant nous devons lui en être reconnaissants, car le Ponte Vecchio, malgré son étroitesse, résista à toutes les inondations ultérieures, entre autres à celle du 13 septembre 1557, qui causa aux autres ponts de graves dommages, et c’est merveille, étant donné l’afflux impétueux des eaux, les bois et les débris de tout genre qui vinrent l’assaillir. Dans le même temps, Taddeo jeta les fondations du Ponte a Santa Trinità [22], qui fut achevé moins heureusement que le premier, l’an 1346, avec une dépense totale de 20.000 florins d’or. Je dis moins heureusement, parce qu’il fut renversé de fond en comble par l’inondation de 1557 [23], n’ayant pas été construit de la même façon que le Ponte Vecchio. À la même époque encore, on éleva, sous la direction de Taddeo, le mur à côté de San Giorgio, en le fondant sur des pilotis et en supprimant deux piles du pont, pour donner à la ville plus de terrain du côté de la place de Mozzi, et pour y établir dans la suite les moulins qui y sont maintenant. Pendant que toutes ces œuvres s’élevaient sous la direction et sur le dessin de Taddeo [24], il ne cessait pas de peindre ; ainsi il représenta, dans la Mercanzia Vecchia, le Tribunal des Six qui sont les chefs de cette magistrature, devant lesquels la Vérité, couverte d’un voile léger, arrache la langue au Mensonge vêtu de noir. Au-dessous il y a ces vers :

La pura Verità per ubbidire
Alla santa Giustipa, che non tarda,
Cava la lingua alla falsa Bugiarda.

Et plus bas, on lit :

Taddeo dipinse questo bel rigestro,
Discepol fu di Giotto il buen maestro [25].

À Arezzo [26], on lui donna à faire plusieurs fresques qu’il conduisit à la dernière perfection, avec l’aide de Giovanni da Milano, son élève ; nous avons encore une de celles-ci, dans la Compania dello Spirito Santo, sur la paroi du maître-autel, qui représente la Passion du Christ. On y voit des chevaux, des larrons en croix, quelques figures exprimant vivement la rage des juifs, dont les uns tirent les jambes du Christ avec une corde, d’autres lui présentent l’éponge, tandis que Longin lui perce le flanc et que les trois soldats tirent au sort ses vêtements. Il y a également sur les parois de l’église quelques sujets tirés de la vie de saint Jean, évangéliste, et d’autres peintures par la ville, qui se reconnaissent aisément comme étant de sa main, pour peu qu’on s’y entende. Dans l’évêché, derrière le maître-autel, quelques peintures relatives à saint Jean-Baptiste sont exécutées avec un style et un dessin merveilleux. À Sant’Agostino, dans la chapelle de saint Sébastien, qui est à côté de la sacristie, il peignit le martyre de ce saint, et le Christ discutant avec les docteurs. Cette dernière fresque est si bien terminée que c’est merveille de voir la beauté des changements de teinte et la grâce du coloris.

Dans le Casentin, il peignit la chapelle del Sasso della Vernia [27], où saint François reçut l’impression des stigmates, et pour les parties les moins importantes, il se fit aider par Jacopo di Casentino, qui devint ainsi son élève.

Ensuite, il retourna, avec Giovanni da Milano, à Florence, où ils firent beaucoup de tableaux et de peintures dans la ville et les pays environnants. Peu à peu il accumula de grandes richesses, origine de la fortune et de la noblesse de sa famille.

Il peignit encore le chapitre de Santa Maria Novella [28], dont il fut chargé par le prieur du couvent, qui lui donna le sujet à traiter. De fait, comme le travail était considérable et comme, au moment où l’on construisait les échafaudages, on venait de découvrir les peintures du chapitre de Santo Spirito, pour la plus grande gloire de Simone Martini qui les avait faites, le prieur désira confier la moitié du travail à Simone. Il en parla à Taddeo, qu’il trouva être d’accord avec lui, d’autant plus que Taddeo chérissait tendrement Simone, son ancien condisciple à l’école de Giotto et son très cher ami. Oh ! cœurs vraiment nobles ! sans émulation, sans ambition, ni jalousie, vous vous aimiez fraternellement et vous jouissiez de la gloire de votre ami, comme de la vôtre même !

Le travail fut donc réparti entre eux deux ; Simone eut trois parois pour sa part, comme nous l’avons déjà dit dans sa vie, et Taddeo eut la paroi de gauche, ainsi que toute la voûte, qu’il divisa en quatre compartiments séparés par les nervures des quatre arcs. Dans le premier, il figura la Résurrection du Christ, et il semble qu’il tenta de faire sortir de la splendeur du corps glorifié une lumière dont les rayons s’étendent sur une ville et sur quelques pointes de montagnes ; mais il renonça à en faire autant sur les figures et sur le reste du tableau, craignant peut-être de ne pouvoir réussir, à cause de la difficulté qu’il y reconnaissait. Dans le deuxième compartiment, Jésus-Christ préserve saint Pierre du naufrage ; les apôtres qui dirigent la barque sont certainement très beaux, surtout celui qui se tient sur la rive et pêche à la ligne, sujet déjà représenté par Giotto dans la mosaïque de la Navicella, et qui est ici rendu avec un grand naturel. Le troisième compartiment représente l’Ascension du Christ, et le dernier la Descente du Saint-Esprit sur les apôtres ; dans le groupe des Juifs, qui cherchent à franchir la porte, il y a plusieurs figures dans de belles attitudes.

Sur la paroi de gauche se trouvent les sept sciences, avec leurs noms, et sous chacune d’elles des figures d’hommes célèbres s’y rapportant. La Grammaire, sous la figure d’une femme intruisant un enfant devant une porte, surmonte l’image de Donato l’écrivain. Vient ensuite la Rhétorique ; à ses pieds, un personnage a les deux mains appuyées sur des livres, tandis que de son manteau il tire une troisième main et l’approche de la bouche. La logique tient en main un serpent caché sous un voile, et est accompagnée de Zénon d’Élée qui lit un livre. L’Arithmétique tient les tables de l’abaque, et sous elle est assis Abraham, l’inventeur de cette science. Sous la Musique, entourée de divers instruments, est assis Tubalcaïn, qui frappe avec deux marteaux sur une enclume et paraît se complaire au bruit qui en sort. La Géométrie, reconnaissable à son équerre et à ses compas, est au-dessus d’Euclide, et l’Astrologie, tenant une sphère céleste au-dessus d’Atlante.

De l’autre côté sont assises les sept sciences théologiques, et chacune est accompagnée de l’état ou de la condition qui lui est le plus en rapport, pape, empereur, rois, cardinaux, ducs, évêques, marquis et autres ; le pape n’est autre que Clément V. Au milieu et sur le point le plus élevé, entre ces deux groupes de sciences, est saint Thomas d’Aquin, qui les posséda toutes ; il foule aux pieds quelques hérétiques, Arius, Sabellius, Averrhoès, et il est entouré par Moïse, saint Paul, saint Jean l’évangéliste et d’autres saints surmontés par les quatre vertus cardinales et les trois théologales. Cette fresque renferme encore d’autres considérations exprimées par Taddeo avec autant de grâce que de dessin ; aussi peut-on la regarder comme son œuvre la mieux comprise, et celle qui s’est le mieux conservée.

Sur la cloison transverse de la même église, il peignit encore un saint Jérôme sous les habits d’un cardinal [29] ; il portait une grande dévotion à ce saint qu’il avait choisi comme protecteur de sa maison. Après sa mort, son fils Agnolo fit élever sous cette peinture un tombeau de famille, couvert d’une plaque en marbre aux armes des Gaddi.

Finalement, Taddeo, étant parvenu à l’âge de 50 ans, succomba à une fièvre violente, l’an 1350 [30]. En mourant, il chargea Jacopo di Casentino de veiller sur l’éducation de ses deux fils. Agnolo et Giovanni, qui durent apprendre la peinture sous la direction de Giovanni da Milano.

Taddeo suivit continuellement la manière de Giotto, mais il ne la perfectionna pas, sauf pour le coloris qu’il rendit plus frais et plus brillant. Il fut enseveli par ses deux fils, sous le premier cloître de Santa Croce, dans le tombeau qu’il avait fait construire pour son père Gaddo[31]. Les poètes de son temps le célébrèrent dans leurs vers, comme un homme digne d’être honoré, à cause de ses vertus, et pour tant de constructions utiles élevées dans sa patrie, outre ses peintures ; enfin pour avoir surveillé avec soin l’achèvement du campanile de Santa Maria del Fiore, sur le dessin laissé par Giotto, son maître [32].


  1. Dans le réfectoire, il y a une Cène bien conservée qu’on lui attribue.
  2. Chapelle Rinuccini ; fresques restituées à Giovanni da Milano, commencées en 1365 ; existent encore.
  3. Ibid. Peintes de 1332 à 1338.
  4. N’existe plus.
  5. De toutes les peintures faites par Taddeo Gaddi à Santa Croce, il ne reste que les fresques de la chapelle Baroncelli, et la Cène du réfectoire qu’on lui attribue. Le Crucifix de Donatello est actuellement dans la grande chapelle Bardi.
  6. N’existe plus.
  7. Les peintures de Taddeo à Santa Spirito n’existent plus.
  8. Œuvres perdues.
  9. Actuellement à l’Académie des Beaux-Arts. — L’oratoire de San Michele in Orto s’appelle actuellement San Carlo, via di Calzaiuoli.
  10. Peintures détruites.
  11. Ce tableau a disparu.
  12. Entièrement repeint par des peintres modernes.
  13. Les peintures de la voûte subsistent seules et représentent les quatre fondateurs des grands ordres religieux.
  14. On suppose que la tête de Vierge conservée dans la chapelle Ammanati du Campo Santo, à Pise, est un fragment de cette fresque.
  15. Peinture détruite.
  16. Attribution douteuse.
  17. Les consuls de l’Arte della Seta adressent une pétition dans ce sens aux Prieur et au Gonfalonier de Florence, le 12 avril 1339.
  18. D’après le décret de la Seigneurie, en date du 20 avril 1406, chacune des corporations, représentées à Or San Michele, était tenue, dans un délai de dix ans, d’enrichir une des niches extérieures de « une statue grande et honorable » de son patron, faute de quoi elle serait déchue de ses droits.
  19. Voir Villani, liv. XI, chap. I.
  20. Attribution douteuse.
  21. Il fut commencé en 1339, et Villani le dit terminé en 1345. (Liv. XII, chap. XXXXVI.)
  22. Attribution douteuse.
  23. Reconstruit plus tard par Ammanati. Voir une vue du vieux pont dans une fresque de Domenico Ghirlandaio à Santa Trinità, chapelle Sassetti.
  24. Aucun document ne les attribue à Taddeo, pas plus que sa participation à la construction du campanile.
  25. Cette peinture n’existe plus.
  26. Des peintures de Taddeo Gaddi à Arezzo, il ne reste plus que celles de l’Évêché, derrière l’autel, qui sont en très mauvais état.
  27. Ces peintures n’existent plus.
  28. Chapelle des Espagnols ; ces fresques existent encore ; attribution généralement contestée.
  29. Cette peinture n’existe plus, de même que le tombeau des Gaddi.
  30. L’an 1366. Cette année-là, il est fait mention de lui pour la dernière fois le 29 août ; et à la fin de l’année sa femme, Francesca d’Albizzo Ormanni est appelée veuve, dans un acte public. Il avait 66 ans environ.
  31. Ce tombeau n’existe plus.
  32. Attribution douteuse.