Livre:De Witt - Thomas Jefferson, étude historique sur la démocratie américaine, 1861.djvu
Apparence
Titre | Thomas Jefferson |
---|---|
Sous-titre | Étude historique sur la démocratie américaine - Troisième édition |
Auteur | Cornelis de Witt |
Maison d’édition | Librairie académique Didier et Cie |
Année d’édition | 1861 |
Bibliothèque | |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Pages
- - - - - - 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 211 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 234 235 236 237 238 239 240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253 254 255 256 257 258 259 260 261 262 263 264 265 266 267 268 269 270 271 272 273 274 275 276 277 278 279 280 281 282 283 284 285 286 287 288 289 290 291 292 293 294 295 296 297 298 299 300 301 302 303 304 305 306 307 308 309 310 311 312 313 314 315 316 317 318 319 320 321 322 323 324 325 326 327 328 329 330 331 332 333 334 335 336 337 338 339 340 341 342 343 344 345 346 347 348 349 350 351 352 353 354 355 356 357 358 359 360 361 362 363 364 365 366 367 368 369 370 371 372 373 374 375 376 377 378 379 380 381 382 383 384 385 386 387 388 389 390 391 392 393 394 395 396 397 398 399 400 401 402 403 404 405 406 407 408 409 410 411 412 413 414 415 416 417 418 419 420 421 422 423 424 425 426 427 428 429 430 431 432 433 434 435 436 437 438 439 440 441 442 443 444 445 446 447 448 449 450 451 452 453 454 455 456 457 458 459 460 461 462 463 464 465 466 467 468 469 470 471 472 473 474 475 476 477 478 479 480 481 482 483 484 485 486 487 488 489 490 491 492 493 494 495 496 497 498 499 500 501 502 503 504 505 506 507 508 509 510 511 512 513 514 515 516 517 518 519 520 521 522 523 524 525 526 527 528 529 530 531 532 533 534 535 536 537 538 539 540 541 542 543 544 545 546 547 548 549 550 551 552 553 554 555 556 557 558 559 560 561 562 563 564 565 566 567 568 569 570 571 572 573 574 TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM - - - -
TABLE DES MATIÈRES
Ce que les radicaux américains pensent de Jefferson. – Ce qu’il fut. – Sa naissance. – Son éducation. – Mademoiselle Αδνιλεβ. – Jefferson éconduit et satisfait. – Son optimisme systématique. – Ses goûts encyclopédiques. – Le xviiie siècle en Amérique
Les premières émotions politiques de John Adams et de Jefferson. – Discours de James Otis sur les Writs of assistance. – Discours de Patrick Henry sur l’acte du timbre. – Débuts oratoires de Jefferson. – Création des comités de correspondance entre les colonies. – La Virginie propose la réunion d’un Congrès général. – Jefferson n’est pas un orateur. – Pourquoi les orateurs n’ont pas joué le premier rôle dans la révolution américaine
(1750-1776)
L’indépendance des colonies anglaises de l’Amérique du Nord prévue en Europe dès le milieu du xviiie siècle. – le duc de Choiseul croit au démembrement de l’empire britannique et l’appelle de ses vœux. – Au moment de la chute du duc de Choiseul, Franklin répugne encore à l’idée d’une intervention étrangère, Washington à celle d’une résistance armée : Samuel Adams seul aspire à l’indépendance (1770). – Doctrines diverses des Américains sur leurs droits. – Vue sommaire des droits de l’Amérique anglaise. – États des esprits en Amérique au moment où se réunit le congrès de 1774. – Patrick Henry seul s’y pose en révolutionnaire systématique. – Caractère des actes du congrès. – Franklin prend son parti d’une rupture et ne négocie plus que pour mettre l’opinion de côté des colonies. – Le combat de Lexington et l’effet qu’il produit sur les esprits. – Le congrès de 1775, ses actes et la part qu’y prend Jefferson. – Dernière répétition du congrès au roi. – La majorité du pays souhaite encore une réconciliation et attend le résultat de la pétition. – Le roi refuse de la recevoir et déclare les Américains rebelles. – Washington cesse de songer à un accommodement. – Le congrès recherche des alliances en Europe. – Publication du Sens Commun. – L’idée de l’indépendance se répand dans le pays. – Résistance qu’elle rencontre encore dans le sein du congrès. – Dispositions du gouvernement français. – Le congrès ouvre les ports des colonies à toutes les nations. – Il recommande aux diverses colonies d’organiser des gouvernements locaux. – La convention de la Virginie donne pour instruction à ses délégués au sein du congrès de proposer la déclaration de l’indépendance. – Débats sur cette proposition. – Le congrès charge un comité de lui présenter un projet de déclaration de l’indépendance. – Jefferson est nommé membre du comité.
(1776)
Pourquoi Jefferson fut chargé de rédiger la déclaration de l’indépendance et comment son projet fut accueilli par le congrès. – Récit de John Adams. – Récit de Jefferson. – Histoire de Jean Thompson, chapelier et de sa nouvelle enseigne. – Signature de la déclaration de l’indépendance.
(1776-1784)
Jefferson quitte le congrès pour aller combattre et détruire dans la Virginie les substitutions, le droit d’aînesse et les taxes ecclésiastiques. – Il est moins heureux dans ses efforts contre l’esclavage. – Il devient gouverneur de la Virginie. – Il se fait peu d’honneur pendant l’invasion de cet État en 1781. – Il se dégoûte de la vie publique. – Mort de sa femme. – Il rentre dans le congrès. – Il est nommé ministre à Paris.
(1784-1790)
Le séjour de Jefferson à Paris. – Mauvais renom des États-Unis en Europe au moment où Jefferson arrive en France. – Amour-propre national de Jefferson. – Il défend le climat de l’Amérique contre Buffon. – Il compare avec orgueil les mœurs françaises aux mœurs américaines. – Il prend prétexte de la corruption dont il est témoin pour mettre ses amis américains en garde contre les vices de la monarchie. – Il engage ses amis français à prendre pour modèle la constitution anglaise. – Sentiments de Jefferson à l’égard de l’Angleterre et à l’égard de la France. — Il est séduit par les attraits de la société française, et il se laisse emporter par l’esprit du temps. — Conseils religieux qu’il donne à un collégien. — Les gouvernés sont des agneaux et les gouvernants sont des loups. — Apologie d’une insurrection socialiste dans le Massachusetts. — La sympathie de Jefferson pour le mouvement de 89 est d’abord mêlée d’inquiétude. — Son optimisme prend le dessus, bien que ses conseils ne soient pas suivis par les patriotes. — Sa théorie sur le droit de faire banqueroute et de remanier la société tous les dix-neufs ans. — Jefferson retourne en Amérique plus ami de la France, plus radical et plus indévot qu’à son arrivée en Europe.
(1790-1794)
Jefferson secrétaire d’État de Washington. — Heureuse révolution qui s’est opérée aux États-Unis pendant l’absence de Jefferson. — Il est resté en harmonie avec les tendances sociales de ses compatriotes. — Le secrétaire du trésor Hamilton et ses plans financiers. — Madison les attaque dans le congrès. — Jefferson accommode le différend entre Hamilton et l’opposition. — Il se fait le représentant de l’opposition dans le cabinet. — Il organise le parti républicain. — Rivalité sourde entre Jefferson et Hamilton. — Jefferson est tenté de se retirer. — Ses conversations avec Washington sur leur commune passion pour la retraite. — Rupture ouverte entre Jefferson et Hamilton. — Jefferson se décide à rester dans le cabinet. — Progrès du parti républicain. — Explosion de la guerre entre la France et l’Europe. — Malveillance de Hamilton et des fédéralistes pour la France révolutionnaire. — Sympathie de Jefferson et des républicains pour la cause de la Révolution française. — Mission de M. Genet en Amérique. — Situation embarrassante dans laquelle les violences et les extravagances de cet agent français placent Jefferson. — Habileté et hardiesse avec lesquelles Jefferson triomphe de ces embarras. — Il sort momentanément des affaires.
(1794-1801)
Jefferson se dit et se croit dégoûté de la politique. — Il reste cependant un spectateur passionné des événements et un fauteur violent d’opposition. — Son secret langage sur Washington et sa politique. — Publication de sa lettre à M. Mazzei. — Jefferson perd l’estime de Washington. — John Adams est nommé président et Jefferson vice-président. — Ils cherchent à s’entendre, mais en vain. — Violence et grossièreté des mœurs politiques à cette époque. — Manœuvres indignes dirigées par les républicains contre Hamilton. — Vengeance des fédéralistes. — Jefferson touché au vif par leurs représailles. — Il exprime la crainte que la brutalité des journaux ne dégoûte de la vie publique les âmes susceptibles et fières. — Voies de fait au sein du congrès. — Les progrès du parti républicain sont moins rapides que Jefferson ne l’avait espéré. — La querelle entre les États-Unis et le Directoire amène une réaction violence en faveur des fédéralistes. — Ils en abusent. — L’alien act et le sédition act. — Fermeté et sang-froid de Jefferson. — Il prépare les résolutions par lesquelles la Virginie et le Kentucky prononcent l’annulation de l’aliéna act et du sédition act. — L’opinion est ébranlée. — John Adams renoue brusquement des relations pacifiques avec le Directoire. — La discorde dans le camp fédéralistes. — Élection de 1801 pour la présidence. — Défait du parti fédéraliste. —Ses intrigues avec le colonel Burr. — Jefferson est nommé président.
(1801-1805.)
Première présidence de Jefferson. — Il se propose d’être très-conciliant. — Destitutions en masse. — Impuissance de l’opposition. — Suppression des taxes intérieures ; réduction de l’armée et de la flotte. — Acquisition de la Louisiane. — Progrès du radicalisme aux États-Unis — Haine de Jefferson pour le clergé et la magistrature. — Procès de M. Chase. — Divers procès de presse. — Hamilton est tué en duel par le colonel Burr. — Jefferson est réélu à une immense majorité. — Une marine sans marins renfermée dans des ports sans eau.
(1805-1809.)
Seconde présidence de Jefferson. — La division et la corruption dans le parti républicain. — Abaissement du niveau intellectuel au sein de la représentation nationale. — Conjuration de Burr. — Rapports de Jefferson avec son cabinet. — Démélés des États-Unis avec l’Angleterre et avec la France sur les droits des neutres. — Sage et ferme attitude qu’avait prise Washington à l’égard des belligérants. — Le système quaker de Jefferson. — La querelle entre l’Angleterre et les États-Unis s’envenime. — Le blocus continental et les ordonnances du conseil. — L’embargo. — Violente agitation dans les États de la Nouvelle-Angleterre. — Le congrès lève l’embargo et établit le non intercourse. Jefferson rentre dans la vie privée et laisse à son successeur le soin de recueillir les fruits de sa propre politique.
(1809-1826.)
Jefferson dans sa retraite. — Monticello. — Jefferson agronome. — Son hospitalité. — Il aime la conversation et il évite la discussion. — Importance qu’il attache à la douceur des relations dans la vie privée. — Ses filles et la tendresse de ses soins pour elles. — La pureté de ses mœurs et celle de sa foi mises en question dans les journaux. — Ses instincts religieux et philosophiques. — Ses Ana. — Ses conseils à son parti. — La guerre de 1812. — Horreur que le despotisme de Napoléon inspire à Jefferson. — Sa confiance dans le succès définitif des institutions libres en Europe. — Ses inquiétudes sur l’avenir des États-Unis. — Il reste profondément radical. — Ses efforts pour le développement de l’instruction publique et des institutions municipales dans son État. — Il fonde l’université de la Virginie. — Jefferson essaye l’application des idées radicales à l’éducation de la jeunesse. — Ses espérances et ses mécomptes. — Mauvais état de ses affaires privées. — Vente de sa bibliothèque. — Mise en loterie de ses biens. — Insuccès de la souscription nationale organisée en sa faveur. — Sa dernière maladie. — Jefferson et John Adams meurent tous deux, le 4 juillet 1826, jours anniversaire de la déclaration de l’indépendance. — Conclusion.
DOCUMENTS HISTORIQUES
No 1.
Plan d’union entre les colonies, proposé par Franklin et par les commissaires réunis à Albany, en 1754.
Lettre i de Franklin au gouverneur Shirley. Sur le concours du peuple dans la nomination des gouvernants chargés d’établir des impôts (17 décembre 1754).
Lettre ii. Sur l’établissement des impôts directs sans le consentement des colonies (18 décembre 1754).
Lettre iii. Sur le moyen de rendre plus intime l’union des colonies avec la Grande-Bretagne, en donnant aux colonies des représentants dans le parlement (22 décembre 1754).
No 2.
Extraits de la correspondance du duc de Choiseul sur les affaires d’Amérique (1766-1770).
M. Durand au duc de Choiseul (3 août 1766).
M. Durand au duc de Choiseul (7 août 1766).
Le duc de Choiseul à M. Durand (11 août 1766).
M. Durand au duc de Choiseul (20 août 1766).
M. Durand au duc de Choiseul (22 août 1766).
M. Durand au duc de Choiseul (24 août 1766).
M. Durand au duc de Choiseul (24 août 1766).
M. Durand au duc de Choiseul (27 août 1766).
Le duc de Choiseul à M. Durand (15 septembre 1766).
M. Durand au duc de Choiseul (30 septembre 1766).
Le duc de Choiseul au comte de Guerchy (24 novembre 1766).
Le duc de Choiseul au comte de Guerchy (14 mai 1767).
M. Durand au duc de Choiseul (21 juillet 1767).
Le duc de Choiseul à M. Durand (4 août 1767).
M. Durand au duc de Choiseul (11 août 1767).
Le duc de Choiseul à M. Durand (24 août 1767).
M. Durand au duc de Choiseul (30 août 1767).
M. Durand au duc de Choiseul (3 septembre 1767).
M. Durand au duc de Choiseul (22 novembre 1767).
M. Durand au duc de Choiseul (1er décembre 1767).
Le duc de Choiseul à M. Durand (13 décembre 1767).
Le comte du Châtelet au duc de Choiseul (12 mars 1768).
Le duc de Choiseul au comte du Châtelet (21 mars 1768).
Le comte du Châtelet au duc de Choiseul (30 mars 1768).
Le comte du Châtelet au duc de Choiseul (22 avril 1768).
Pièce jointe à la dépêche du 8 septembre (8 septembre 1775)
Le comte de Vergennes au comte de Guines (10 septembre 1775)
Le comte de Vergennes au comte de Guines (18 septembre 1775)
Le comte de Vergennes au comte de Guines (18 septembre 1775)
Le comte de Guines au comte de Vergennes (22 septembre 1775)
M. de Bonvouloir au comte de Guines (28 décembre 1775)
Réponse de M. de B… au billet de MM. du Conseil privé
No 5.
Mémoires rédigés aux affaires étrangères sur les affaires d’Amérique (mars 1776)
Réflexions sur la situation actuelle des colonies anglaises, et sur la conduite qu’il convient à la France de tenir à leur égard (Mémoire de M. de Rayneval)
Considérations. (Mémoire au Roi du comte de Vergennes.)
No 6.
No 7.
Extraits de la correspondance du citoyen Genet
Mémoire pour servir d’instruction au citoyen Genet, adjudant général colonel, Allan en Amérique en qualité de ministre plénipotentiaire de la République française près le congrès des États-Unis (1793)
Extrait des registres des délibérations du conseil exécutif provisoire (17 janvier 1793)
Le ministre des affaires étrangères au citoyen Genet (No 3) (24 février 1793)
Le ministre des affaires étrangères au citoyen Genet (No 4) (10 mars 1793)
Le citoyen Genet, ministre plénipotentiaire de la République française près les États-Unis d'Amérique, au ministre des affaires étrangères (No 1) (16 avril 1793)
Le ministre plénipotentiaire de la République française près les États-Unis, au ministre des affaires étrangères (No 2) (18 mai 1793)
Le citoyen Genet, ministre plénipotentiaire de la République française près les États-Unis, au citoyen Lebrun, ministre des affaires étrangères (No 3) (31 mai 1793)
Le citoyen Genet, ministre plénipotentiaire de la République française près les États-Unis, au citoyen Lebrun, ministre des affaires étrangères (No 4) (19 juin 1793)
Le ministre des affaires étrangères au citoyen Genet (No 12) (30 juillet 1793)
Le citoyen Genet, ministre plénipotentiaire de la République française près les États-Unis, au citoyen ministre des affaires étrangères (No 7) (31 juillet 1793)
Le ministre plénipotentiaire de la République française près les États-Unis au ministre des affaires étrangères (No 11) (15 août 1793)
Le citoyen Genet, ministre plénipotentiaire de la République française près les États-Unis, au ministre des affaires étrangères (No 12) (19 septembre 1793)
Le citoyen Genet, ministre plénipotentiaire de la République française près les États-Unis, au ministre des affaires étrangères (No 13 A) (7 octobre 1793)
Le citoyen Genet, ministre plénipotentiaire de la République française près les États-Unis, au ministre des affaires étrangères (No 13 B) (7 octobre 1793)
Rapport du citoyen Genet, ministre plénipotentiaire de la République française, sur son voyage et sa réception dans les États-Unis d’Amérique (pièce jointe au No 13 B)
Le citoyen Genet, ministre plénipotentiaire de la République française près les États-Unis de l’Amérique, au ministre des affaires étrangères (No 21 B) (7 octobre 1793)
Le ministre plénipotentiaire de la République française au citoyen ministre des affaires étrangères (pièce jointe au No 21 B) (25 juillet 1793)
Extrait de la lettre écrite par le général Clarke au citoyen Genet, ministre plénipotentiaire de la République française près les États-Unis (pièce jointe au No 21 B) (2 février 1793)
Lettre du citoyen Genet, ministre de la République française au général Clarke (pièce jointe au No 21 B) (12 juillet 1793)
Autorisation donnée au citoyen André Michaux par le ministre plénipotentiaire de la République française près les États-Unis de l’Amérique (pièce jointe au No 21 B)
Autorisation donnée par le ministre plénipotentiaire de la République française au général Clarke (pièce jointe au No 21 B)
Le citoyen Genet, ministre plénipotentiaire de la République française près les États-Unis, au ministre des affaires étrangères (No 27) (10 décembre 1793)
Samuel Adams au citoyen Genet (pièce jointe au No 27) (22 octobre 1793)
Arrêté du Comité de salut public (16 octobre 1793)
Rapport fait à la Convention nationale, au nom du Comité de salut public, par le citoyen Robespierre, membre de ce Comité, sur la situation politique de la République, le 27 brumaire, l’an II de la République
FIN DE LA TABLE.
PARIS. — IMPRIMÉ CHEZ BONAVENTURE ET DUCESSOIS,
55, QUAI DES GRANDS-AUGUSTINS.
55, QUAI DES GRANDS-AUGUSTINS.