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Mémoires secrets de Bachaumont/1768/Juin

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Texte établi par M. J. Ravenel, Brissot-Thivars éditeurs & A. Sautelet et Compagnie (Tome II (1766-1769)p. 288-299).
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Juin 1768

2. Juin. — Le sieur Grandval, après avoir fait les beaux jours de la scène française, s’en était retiré assez à temps pour emporter les regrets du public. Obligé de rentrer depuis, par des raisons de fortune, il a insensiblement perdu toute sa célébrité, et s’est vu forcé de disparaître tout-à-fait à Pâques dernier. Pour mettre le comble à ses humiliations, il vient de s’enrôler dans la troupe de Lyon, et terminera probablement ainsi sa malheureuse carrière. Tel on a vu Bélisaire demandant l’aumône ; où plutôt, tel le roi de Syracuse devint maître d’école. 3. — Les Comédiens Italiens donnent demain la première représentation de Sophie ou du Mariage caché, comédie en trois actes, mêlée d’ariettes. L’original de la pièce est de Garrick et Colman. Le baron d’Holbach et le sieur Suard l’ont arrangée au théâtre pour la faire passer sous le nom de Panckoucke, libraire, et beau-frère de ce dernier, à qui ils voudraient faire avoir ses entrées ; enfin, Favart a mis la dernière main à cette besogne, qui ne peut être que très-mauvaise. Le sieur Kohaut, Allemand, a fait la musique[1].

4. — Le sieur Poinsinet a gagné sa cause en plein. Hier ses lettres de rescision ont été entérinées ; la demoiselle Le Blanc de Crouzol condamnée aux dépens, dommages et intérêts ; le Mémoire supprimé.

5. — M. Mercier de La Rivière, l’auteur du livre de l’Ordre naturel et essentiel des Sociétés politiques, est de retour à Paris depuis mercredi dernier. On sait qu’il avait été appelé en Russie pour présider à la rédaction du nouveau Code que l’Impératrice fait faire. Il paraît que ce voyage, prôné avec tant d’emphase dans les papiers publics, n’a pas satisfait l’amour-propre de ce magistrat autant qu’il l’espérait. Il est tombé malade en route, et n’est arrivé à Saint-Pétersbourg qu’au mois d’octobre. Sa Majesté Impériale était à Moscou ; il a trouvé cette capitale occupée par huit cents députés arrivés de toutes parts, à l’effet de travailler au grand ouvrage en question. Il a réprouvé une loi préliminaire, par laquelle Sa Majesté Impériale s’obligeait de ne punir jamais de mort aucun des membres de cette espèce de sénat de la nation ; et vraisemblablement cette opposition lui a fait des envieux. L’Impératrice, à son retour, l’a accueilli comme un nouveau sujet dont elle se félicitait. On lui avait fait entendre que M. de La Rivière, dans une sorte de disgrâce en France, ne serait pas fâché de s’expatrier ; il a déclaré qu’il n’était rien de tout cela, et qu’il ne comptait point rester en Russie ; en un mot, soit refroidissement de Sa Majesté Impériale, soit qu’il ait prévu son inutilité, il est reparti dès que la saison l’a permis. L’Impératrice lui a fait un présent de dix mille roubles, et de mille à son secrétaire. Peut-être la grande vénération que les étrangers avaient conçue pour lui sur son livre, s’est-elle un peu dissipée aux approches de sa personne.

6. — L’Opéra doit donner, vendredi 10 de ce mois, Daphnis et Alcimadure, pastorale languedocienne, avec un prologue, dont les paroles ont été traduites en français par le même poète. On sait qu’elles étaient originairement de Mondonville, auteur du patois et de la musique. On prétend que l’abbé de Voisenon doit lui prêter son secours. Quoi qu’il en soit, on doute que ce travestissement fasse un bon effet, et que toutes les grâces apprêtées de l’Académicien vaillent la naïveté de l’original. On a voulu mettre en défaut le spectateur qui a vu jouer autrefois ce drame par Jéliotte, La Tour, et mademoiselle Fel, tous trois Languedociens, et l’on a craint le parallèle avec les acteurs d’aujourd’hui. Il paraît à cette occasion une Lettre en gascon très-caustique et très-plaisante.

10. — La pastorale de Daphnis et Alcimadure a eu plus de succès qu’on ne s’en promettait ; elle a été reçue avec des applaudissemens extraordinaires, et l’on y a observé ce qui ne s’était point encore passé à l’Opéra : les acteurs et la musique ont suspendu leur exécution pour donner un libre cours aux battemens de mains réitérés des spectateurs. Cet enthousiasme sera-t-il durable ? est-il bien fondé ? c’est ce que l’expérience prouvera.

11. — Extrait dune Lettre de Lyon du 5 juin.

« Nos comédiens ont joué vendredi sur leur théâtre Éricie ou la Vestale. Cette tragédie, proscrite par votre Sorbonne, a eu le plus grand succès à la représentation d’avant-hier. Malheureusement M. le prévôt des marchands a été obligé d’arrêter le cours de cette nouveauté. La cabale des dévots a crié contre un drame où la vie monastique est dépeinte sous les couleurs les plus effrayantes et les plus vraies. C’est devenu, comme à Paris, une affaire de religion, et il a fallu sacrifier à ces clameurs dangereuses les plaisirs du public. »

12. — Lettres à un Conseiller au Parlement de ***, pour servir de supplément a l’ouvrage qui est dédié à ce même magistrat, et qui a pour titre : Sur la Destruction des Jésuites en France, par un auteur désintéressé. On sait que cet auteur désintéressé est M. d’Alembert. Même fiel dans ces nouvelles Lettres, mêmes petits détails peu nobles et qui sentent plus l’auteur satirique que le véritable historien. Au reste, il tombe également d’estoc et de taille sur les Jésuites et sur leurs adversaires. S’il attaque les premiers à force ouverte et comme de véritables ennemis contre lesquels il n’y a rien à ménager, il prend une autre forme pour plaisanter les seconds ; il se travestit en arlequin, et les couvre, par ses lazzis, du plus grand ridicule. Les détails sur les convulsionnaires sont surtout fort curieux ; il apprend qu’ils se divisent en anti-convulsionistes décidés ; en Convulsionistes décidés, où mitigés, sous-divisés les uns et les autres en Vaillantistes, Augustinistes, Margoullistes, Secouristes, Anti-Secouristes, Mélangistes, Discernans, etc., etc.

13. — M. l’abbé de Bassinet, auteur du Panégyrique de saint Louis, roi de France, prononcé dans la chapelle du Louvre, devant l’Académie Française, le 25 août 1767, a su qu’on lui faisait un crime de son ouvrage : 1° parce qu’il n’y avait pas mis un texte, suivant l’usage ; 2° parce qu’il y fait l’éloge de la pragmatique sanction de saint Louis ; 3° parce qu’il y condamne les croisades ; 4° parce que dans Louis IX il considère plus l’homme que le saint. Pour se justifier, il passe par-dessus sa modestie, et publie son discours où il y a vraiment du neuf.

— Un événement à peu près semblable à celui du Tartuffe se réalise aujourd’hui, et cause beaucoup de rumeur dans la finance, en ce qu’il intéresse la famille des La Borde. Le sieur de Claustre, prêtre de Lyon, après avoir été quinze ans précepteur des enfans de M. de La Borde, ancien fermier-général, est resté dans cette maison depuis son éducation finie jusqu’en 1762. Sa longue habitude dans la famille lui en a fait connaître tous les tenans et aboutissans ; il a profité de la faiblesse, du dérangement et de l’espèce d’abandon de ses parens les plus proches, où était un La Borde Desmastres, neveu du premier, pour s’insinuer dans son esprit, se rendre nécessaire, et lui faire enfin épouser la demoiselle Boutaudon, sa nièce, le 18 avril 1766. Alors il a montré les dents, et se mettant à la tête des affaires du jeune homme, a fait des répétitions considérables contre le père et l’oncle de son neveu, capables de ruiner l’un et l’autre si elles étaient accordées dans leur totalité. Trois Mémoires très-volumineux sont déjà éclos dans cette contestation, vrai labyrinthe où l’on se perd, et d’où il résulte en général pour le lecteur des impressions fâcheuses contre toute cette famille. On y trouve de chaque part une aigreur capable de nuire aux meilleures causes, et les parties auraient infiniment mieux fait d’ensevelir dans l’oubli, à quelque prix que ce fût, un détail de faits peu honorables pour tous. On voit toujours avec peine un neveu provoquer son oncle, un fils son père, et un oncle et un père réduire le neveu et le fils à la cruelle nécessité de s’armer contre eux. La pièce la plus curieuse de tout ceci est un bout de Mémoire du sieur de Claustre qu’il a joint à celui de son neveu. Le ton cafard qui y règne, les versets de l’Écriture dont il est lardé, l’esprit de modération, de paix, de charité que ce prêtre affiche, sont une présomption forte contre lui, et le font passer, aux yeux de bien des gens, pour un monstre de chicane, revêtu de la peau d’un agneau. Il ne faut point confondre ce La Borde avec le La Borde, ancien banquier de la cour, souche d’une autre famille.

16. — Vers à Eglé, le jour de sa fête,

Par M. Colardeau.

Vers les antres du nord l’hiver fuit en courroux,
Et déjà le soleil lance un rayon plus doux :
Sur son humble buisson la rose renaissante
Développe l’éclat de sa pourpre brillante,
Et le dieu du printemps aux portes du matin
Vient sourire à la terre et parfumer son sein.
Églé, dans ces beaux jours, que la nature est belle !
Vous lui prêtez encore une grâce nouvelle,

Vous ajoutez un charme à de si doux instans :
Le jour de votre fête est un jour de printemps.
Eh ! qu’importe en effet, lorsque rien ne nous lie,
Que la nature expire ou renaisse embellie ?
Il faut qu’un intérêt plus vivement senti
Ouvre sur les beautés notre œil appesanti ;
Il faut que l’amitié, peut-être l’amour même…
Que sais-je ? rien n’est beau qu’autant que le cœur aime :
Nos passions, nos goûts, sont l’âme de nos sens,
Et la nature échappe aux yeux indifférens.
Elle me plaît par vous et m’en plaît davantage.
Églé ! j’aime les fleurs dont je vous fais hommage :
Sans le tendre intérêt d’en parer votre sein,
Leur fraîcheur, leur émail n’eût point tenté ma main ;
Elles ont plus d’éclat quand l’amour les moissonne,
Heureux qui les reçoit, plus heureux qui les donne !
Mais plaignez le mortel qui seul, dans son ennui,
Va cueillir une fleur et la garde pour lui.

19. — Histoire de l’Opéra Bouffon, contenant les jugemens de toutes les pièces qui ont paru depuis sa naissance jusqu’à ce jour, pour servir à l’histoire des théâtres de Paris (par M. Contant p’Orville). On trouve dans cet ouvrage des extraits de pièces très-bien faits. Cette histoire est un très-bon répertoire, parsemé d’anecdotes amusantes. Au reste, on sait que les Bouffons ont fait époque en France, et qu’on leur doit l’enthousiasme des Français pour la musique italienne.

20. — M. de Sauvigny, qui s’est déjà essayé dans le genre naïf par son roman de Pierre-le-Long[2], vient de nous donner l’Innocence du premier âge en France ; la Rose ou la Fête de Salency[3]. Dans cet ouvrage, l’auteur marie avec élégance les grâces et la vertu. 22. — Un Bénédictin vient de prendre en main la cause des moines, et la sagesse, la modération avec lesquelles il les défend, lui concilieraient beaucoup de lecteurs, s’il n’y avait encore de meilleures raisons à lui opposer. Son livre est intitulé : le Cénobitophyle, ou Lettres d’un religieux français a un laïque, son ami, sur les préjugés publics contre l’état monastique.

23. — M. Pigalle, cet artiste célèbre chargé de terminer les travaux de la statue équestre de Louis XV, commencée par Bouchardon[4], doit élever à M. de Montmartel un monument, témoignage de la douleur de sa famille. Il a imaginé de représenter un vase antique, contenant les cendres de ce citoyen estimable. Madame de Montmartel, sous la figure de la Piété, jette des fleurs sur cette urne précieuse. Un Génie, de l’autre côté, dans l’attitude de la plus grande tristesse, exprime les regrets dont tous les honnêtes gens ont honoré un financier bienfaisant. Il semblerait naturel que le personnage de la Piété étant représenté par madame de Montmartel, on eût reconnu M. de Brunoy dans la seconde figure. Malheureusement ce dernier ne paraît pas assez agréable au public pour avoir permis au compositeur de le mettre en scène. Quoi qu’il en soit, ce dessin sage et simple est proportionné au sujet, et marque dans M. Pigalle un homme de goût, capable de différens genres. On sait qu’il est l’auteur du mausolée de M. le comte de Saxe. 25. — Épître a M. le marquis de ***,

Par M. Fumars, de Marseille.

À toi, l’enfant gâté de la coquetterie,
À toiQui d’un air gai, libre et charmant
À toi, Sais dans le même instant
ÀBaiser la main de la tendre Sylvie,
Enflammer d’un coup d’œil la sensible Égérie
À toiEt presser le genou tremblant
À toi, De la douce Isménie ;
À toiToi qui soupires en riant,
À toiQui traites l’Amour en enfant.
À ton système enfin me voilà plus docile ;
À toiDes Céladons, des Amadis,
À toiJ’abjure l’exemple imbécile,
À toiC’est toi, fripon, qui m’as appris
Qu’il n’est qu’un seul plaisir pour les cœurs trop épris,
Et que le vrai bonheur est pour les infidèles,
À toi, Ah ! que l’Amour n’a-t-il quatre ailes !
À toiUn seul objet peut-il nous rendre heureux ?
J’aime à voir une fleur que je trouve jolie ;
À toiMais quel plaisir de promener mes yeux
Sur l’émail varié d’une belle prairie !
À toi, J’aime, à la fraîcheur du matin,
À toiÀ caresser l’incarnat d’une rose,
À toi, Qu’en secret je vois éclose
Dans un vase isolé de mon petit jardin ;
À toiJaime à sentir le parfum qu’elle exhale ;
À toi, Mais jamais ce plaisir n’égale
À toi, La vivacité, les douceurs,
Le charme que j’éprouve aux champs de la Provence,
Quand le soleil ornant avec magnificence
Et la terre et les cieux des plus belles couleurs,
La troupe des Zéphyrs que guide l’Inconstance
Ravit par ses baisers l’esprit de mille fleurs

Et me flatte à la fois des plus douces odeurs.
Ah ! qu’un autre languisse auprès de sa Climène !
Que je serais heureux de voir une inhumaine
En proie à des tourmens justement mérités,
Humble enfin à mes pieds et répandant des larmes,
Rougir de ses soupirs froidement écoutés,
Et moi d’un fier souris dédaignant ses alarmes
Venger d’un seul regard mille amans maltraités.
À L’amour folâtre est l’amour que j’adore.
J’aime du papillon les légères ardeurs ;
Volage adorateur des filles de l’Aurore,
Joyeux, il en quitte une, et mouillé de ses pleurs,
Guidé par le Zéphire, il vole vers ses sœurs,
À Pour les charmer et les quitter encore.
Je laisse la constance et ses fades douceurs ;
À Oui, s’asservir est d’une âme commune.
Quand on ose y prétendre, on soumet tous les cœurs,
À toiLes papillons, toujours vainqueurs,
À toiSont aimés de toutes les fleurs,
À toiEn ne se fixant sur aucune.

27. — Extrait d’une lettre du Vexin-Français, le 18 juin 1768.

« Il est très-vrai ; Rousseau est ici depuis près d’un an, c’est-à-dire depuis son retour d’Angleterre. Il est sous un nom étranger, et dans le ressort du parlement de Normandie. C’est le prince de Conti qui lui donne un asile à Trye. Quand il y vint, malgré la recommandation du prince, ses gens n’eurent pas beaucoup d’égards pour un homme simple, sans mine, et qui mangeait avec sa gouvernante.

« L’inconnu eut la délicatesse de ne point se plaindre ; mais il écrivit à son protecteur de ne point trouver mauvais qu’il quittât ce lieu, et de lui permettre de se soustraire à ses bienfaits. Le prince de Conti se douta de ce qui était ; il arrive chez lui, arrache son secret à Rousseau, le fait manger avec lui, assemble sa maison, et menace de toute son indignation, dans les termes les plus énergiques, celui qui manquera à cet étranger.

« Du reste, il paraît faux que ce grand homme fasse imprimer à présent ses mémoires, comme on a dit ; sa gouvernante assure même qu’il a tout brûlé. Il est revenu de la vanité d’auteur : à peine a-t-il une plume et de l’encre chez lui. Il botanise depuis le matin jusqu’au soir, et forme un herbier considérable ; il a très-peu de relations, ne lit rien, aucun papier public, et ne saura peut-être jamais que M. de Voltaire ait fait une épître où il le plaisante, »

28. — On vient de traduire en français le Marchand de Venise, un des drames les plus vantés du célèbre Shakspeare. Les Anglais le regardent encore comme le chef-d’œuvre de leur théâtre, où cette pièce a aujourd’hui tout autant de succès qu’elle en eut lors des premières représentations. Pour nous autres qui mettons d’autres conditions à un chef-d’œuvre, en convenant des beautés de détail de cette pièce, nous la regarderons dans son ensemble comme un vrai monstre dramatique. Le traducteur a conservé, autant qu’il a pu, le mérite de l’original dans sa prose forte et harmonieuse.

30. — M. l’abbé Baudeau, qui était appelé en Pologne et devait partir au mois de mai pour y mettre en pratique le système des Économistes, a changé de projet ; il se rend aux instances de M. le duc de Choiseul, qui lui fait assurer par M. l’évêque d’Orléans un bénéfice de vingt mille livres de rentes, tel que celui qu’on lui offrait dans les pays étrangers. En attendant, ce ministre veut lui procurer une pension, soit sur les postes, soit sur les économats ; ce qui n’est pas encore décidé. Cet auteur ne reprend pas la plume au journal des Éphémérides, et M. Dupont en reste en possession. Il s’occupe aujourd’hui à répandre dans le public différens écrits toujours relatifs aux principes de la société, et se fait à lui-même des réponses sous des noms anonymes, afin d’avoir occasion de répliquer. On sent bien qu’il se ménage dans cette controverse, et ne se propose jamais d’objections qu’il ne puisse résoudre. Il se croit cette petite charlatanerie permise pour le bien de la chose et pour l’utilité générale.

  1. Madame Riccoboni a donné une traduction de cette pièce sous ce titre : Le Mariage clandestin, comédie. Amsterdam et Paris, Lejay, 1768, in-8°. L’auteur de l’article Riccoboni de la Biographie universelle paraît avoir confondu la traduction de cette dame avec l’imitation dont parlent les Mémoires.
  2. V. 31 mars 1765. — R.
  3. 1768, in-8°. On trouve à la suite l’Ile d’Ouessant, Une réimpression de l’Histoire amoureuse de Pierre-le-Long, faite en 1768, est également précédée de ce titre : l’Innocence du premier âge en France. — R.
  4. V. ier août 1762. — R.