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Mémoires secrets de Bachaumont/1768/Septembre

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Texte établi par M. J. Ravenel, Brissot-Thivars éditeurs & A. Sautelet et Compagnie (Tome II (1766-1769)p. 325-336).
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Septembre 1768

1er Septembre. — Il parut a Londres, en 1704, un ouvrage du célèbre Toland, sous le titre de Letters to Serena. Quelques savans ont cru que cette Serena était la reine de Prusse. Quoi qu’il en soit, ce livre fit beaucoup de bruit dans le temps de sa publication, et a depuis été très-recherché par les curieux, étant devenu fort rare. On vient de le traduire en français, sous le titre de Lettres philosophiques sur l’origine des préjugés, etc.[1]. Elles sont au nombre de cinq.

Ce livre, très-savant et très-dangereux, est heureusement hors de la portée du commun des lecteurs. Les deux dernières lettres surtout sont remplies dune métaphysique sèche et abstraite, qui ne peut être entendue qu’avec la plus grande contention d’esprit, et qui exige un raisonnement très-exercé sur cette matière.

3. — Madame Bontems, auteur de quelques ouvrages, et entre autres d’une traduction en prose du poëme des Saisons[2] de Thompson, est morte, il y a quelques jours, des suites d’une maladie de femme, longue et douloureuse. Cette virtuose n’est point une grande perte pour la littérature. Cependant, en faveur de son sexe, on lui doit savoir gré de ses efforts, et elle mérite qu’on jette quelques fleurs sur son tombeau.

4. — La comparaison des différentes piéces imprimées qui ont concouru pour le prix de l’Académie, n’est point, au gré des connaisseurs, à l’avantage de celle de M. l’abbé de Langeac. Cela occasione une grande fermentation dans le peuple littéraire, et bien des gens taxent l’Académie de partialité. On sait combien la mère a de crédit aupres de M. le comte de Saint-Florentin, et l’intérêt vif que ce ministre prend aux enfans de madame de Langeac. Un caustique, s’imaginant que ces raisons n’avaient pas peu contribué a déterminer les suffrages des juges, a fait l’épigramme suivante :

De par le roi, ces vers soient trouvés beaux !
Signé Louis, et plus bas, Phelypraux.

— On cite plusieurs traits du roi de Danemark qui annoncent sa jeunesse aimable. Ils ne répondent point à la gravité dont quelques gens, qui ne connaissent point l’humanité, voudraient qu’un monarque fût toujours accompagné. Il y a quelques jours que dans un souper ou était l’ambassadeur de cette Majesté, on en parlait. Madame la marquise de Nicolai dit fort étourdiment à ce ministre : « On assure que votre roi est une tête… — Oui, Madame, une tête couronnée, » répliqua-t-il. Tout le monde applaudit à la manière honnête et polie avec laquelle cet étranger releva, dans la bouche d’une femme, l’indiscrétion et l’indécence du propos.

5. — M. De Parcieux, de l’Académie royale des Sciences, vient de mourir, le 2 de ce mois, d’une maladie de langueur, dans laquelle il a constamment soutenu la douceur de son caractère et la fermeté de son âme. Ce citoyen estimable et éclairé ne s’arrêtait pas à des spéculations vagues, propres seulement a exercer le génie d’un savant ; il mettait ses études en pratique, et ne formait que des projets utiles et d’une exécution dont l’avantage était sensible pour tout le monde.

6. — Le service pour le repos de l’âme de la reine s’est fait aujourd’hui à Notre-Dame en la manière accoutumée.

M. Poncet de La Rivière n’a pas été tout-à-fait aussi long que M. l’évêque du Puy, mais son Oraison funèbre n’a pas paru de beaucoup supérieure a la précédente. On a prétendu que les Jésuites étaient autrefois d’un grand secours à ce prélat dans ses compositions, et qu’on s’est aperçu qu’ils lui manquent aujourd’hui. Quoi qu’il en soit, elle ne répond point à ses autres ouvrages du même genre, et ce n’est assurément pas la matière qui manquait a l’orateur.

7. — Il paraît que la pièce du Huron, quoique ayant une sorte de succès, répudiée par différens auteurs auxquels on l’attribuait, reste enfin à M. Marmontel. C’est pour la troisième fois qu’il échoue dans ce genre. Aprés avoir travaillé deux fois sur son propre fonds, il a voulu essayer s’il serait plus heureux d’après la fiction ingénieuse d’un grand maître ; mais il n’a pas mieux réussi, et cette pièce ne doit la continuation de son existence qu’au musicien dont les connaisseurs applaudissent le talent naissant.

10. — On ne donnera plus Ernelinde à l’Opéra pendant le séjour du roi de Danemark à Paris. On croyait flatter ce monarque par un pareil drame, mais son ambassadeur a fait sentir que le prédécesseur de son maître ne jouait pas un assez beau rôle dans cette tragédie pour qu’un pareil spectacle pût lui être agréable. M. Marmontel comptait bien raccommoder tout cela, mais le sieur Poinsinet a trouvé mauvais que l’académicien voulût le corriger sans son aveu. Il a fait intervenir M. le comte de Saint-Florentin ; et pour remédier à ces tracasseries, il a été décidé qu’on laisserait Ernelinde dans l’obscurité et elle est rentrée.

11. — Les presses infernales de l’étranger ne cessent de gémir. Une production abominable vient d’en sortir encore. Elle a pour titre : Lettres a Eugénie, ou Préservatif contre les préjugés[3], avec cette épigraphe :

Relligionum animos nodis exoAretis
Relligionum animos nodis exsolvere pergo.


Il est aisé de juger par cette espèce de tocsin, quels principes ce livre doit contenir. Il est en douze lettres, faisant deux parties. Dans la première, on retrouve ce qu’on a dit cent fois sur les sources de la crédulité, sur la nécessité d’examiner la religion, sur les idées absurdes, affreuses même qu’elle donne de la Divinité. On examine les Écritures, l’économie du christianisme et les preuves sur lesquelles il se fonde, ses dogmes fondamentaux, celui de l’immortalité de l’âme, et celui de l’autre vie ; enfin les mystères, les sacremens, les cérémonies religieuses, les pratiques ou exercices de piété, les prières, les austérités, etc. L’auteur ne fait que remanier tous les raisonnemens employés par les incrédules ; mais ils sont ici développés, étendus, délayés en quelque sorte dans une infinité d’idées accessoires, qui, en leur faisant perdre sans doute de leur force, les mettent cependant plus à portée de l’héroïne à laquelle est dédié ce traité et de son sexe entier. Voilà ce qui caractérise particulièrement la méthode de cet ouvrage, et la rend plus dangereuse. Dans la seconde partie, qui offre des vues plus nouvelles, l’auteur, après avoir renversé les vertus évangéliques et ce qu’on appelle la perfection chrétienne, prétend prouver que le gouvernement n’a aucun besoin de la religion pour se soutenir ; quelle lui est même nuisible ; qu’elle n’est pas plus avantageuse a ceux qui la professent ; que la morale humaine ou naturelle est la seule véritable, la seule qui nous convienne, la seule par laquelle puisse exister la société. Il veut établir et confirmer l’assertion de Bayle : « qu’une république de vrais chrétiens ne saurait subsister. » Il termine par désirer la plus grande tolérance pour les opinions des hommes. Il paraît avoir une propension secrète a l’athéisme, sans cependant se déclarer tout-à-fait, mais en cherchant à prouver que ce système n’est point absurde, et peut facilement être le résultat de notre ignorance.

L’éditeur[4], dans un avertissement, insinue que ce manuscrit, fort rare, mais connu depuis long-temps, doit avoir été composé par quelqu’un de l’École de Sceaux[5], qu’Eugénie n’est vraisemblablement pas une femme supposée, mais quelque dame de la même école ou de celle du Temple[6]. Quoi qu’il en soit, le style annonce en effet un homme du grand monde. Il y règne, en général, un ton d’ironie qui n’est pas celui du genre, mais qui caractérise assez le courtisan. L’érudition y est cachée par toutes les tournures d’une conversation ordinaire, et l’auteur, après s’être bien rempli l’esprit des traités les plus savans sur cette matière, après les avoir bien digérés, semble se les être rendus propres, et en avoir formé un corps de doctrine à l’usage des moins lettrés, et pour l’intelligence duquel il ne faut que du bon sens et une logique naturelle. Il serait bien à souhaiter que la religion trouvât de son côté quelque courtisan savant et aimable, qui écrivit dans le même goût en sa faveur, et fit un contraste qui servit de contre-poison à celui-ci, pour les femmes, les faibles et les ignorans.

12. — Le Gouvernement, toujours en garde contre les livres prohibés, dont le commerce devient de plus en plus étendu, est alerte pour arrêter l’introduction qu’on pourrait faire de cette marchandise. On vient de surprendre un ballot d’une quantité très-grande d’exemplaires de la tragédie de Lothaire et Walrade, ou le Royaume mis en interdit[7]. On voit, à l’inspection seule du titre, combien il est sage à la police de ne point laisser pénétrer une pareille brochure dans les conjonctures critiques de ses divisions avec la cour de Rome[8].

13. — Les Comédiens Français, depuis quelques jours, nous promettaient sur leurs affiches la nouvelle comédie de Laurette en deux actes et en vers ; elle était annoncée le dimanche pour hier lundi. On a vu avec surprise que non-seulement il n’en était plus question pour ce jour même, mais : qu’elle avait absolument disparu. Tout Paris s’est intrigué pour savoir la véritable raison de cette suspension. Quelques gens ont eu l’absurdité de l’attribuer aux intrigues de la famille de M. Dudoyer, très-absorbée dans la dévotion, et vouée au jansénisme le plus outré ; d’autres ont prétendu que la pièce roulant sur un enlèvement, elle rappellerait une aventure qui a fait beaucoup de bruit cet hiver, et qui intéresse de prés un gentilhomme de la chambre, et qu’on avait cru lui devoir la déférence d’éviter les applications en ne la jouant pas. Il est des gens qui se sont imaginé que mademoiselle Doligny, véritable Laurette de ce drame romanesque, ayant subi un rapt momentané, on lui avait fait sentir l’indécence de se glorifier elle-même sur la scène, et le danger de ranimer contre elle la vengeance d’un seigneur accrédité, qui pourrait trouver mauvais d’être ainsi joué en plein théâtre. Les plus sensés ont voulu que la police se fût tout uniment opposée à la représentation, à cause de l’indécence des mœurs des personnages.

14. — Laurette a reparu sur l’affiche, et a été jouée aujourd’hui. Cette comédie, dans laquelle il n’y a aucune intelligence du théâtre, a été fort mal reçue. Rien de plus gauche que la manière dont l’auteur a transporte ce sujet sur la scène : bien loin d’améliorer le conte, il l’a gâté, rétréci, étranglé ; il a dégradé absolument tous les caractères. Laurette n’est plus naïve ; elle est niaise. Le comte n’est ni amoureux, ni petit-maître, ni scélérat ; c’est un froid débauché, un libertin révoltant ; le père même de la fille perd toute la dignité de son rôle par l’argent qu’il reçoit bassement, et par l’acceptation trop brusque du ravisseur de Laurette pour son gendre. L’article de l’enlèvement est traité de la façon la plus indigne. En un mot, excepté quelques tirades de force et de sentiment dans la bouche du vieillard, excepté une sortie vigoureuse contre les filles, ce drame aurait tombé sans le moindre applaudissement. Le style de l’auteur n’est pas non plus un style fait. Il y a quelquefois de la pureté et de la noblesse, quelquefois des incorrections et des expressions basses. On a trouvé son dialogue froid, triste, langoureux ; il aurait dû réserver pour les tête-à-tête avec mademoiselle Doligny, toutes ces petites scènes dolentes, si insipides pour les spectateurs, et s’appliquer a lui-même ce joli vers de sa pièce :

L’amour-propre est causeur et l’amour est discret.

15. — On prétend que M. de Voltaire ne marche jamais sans la Bible, sous prétexte que lorsqu’on a un procès, il faut toujours avoir sous les yeux le factum de ses adversaires. Quoi qu’il en soit, il est certain qu’il possède parfaitement ce livre ; il s’en est pénétré, il en est plein, il le retourne sans cesse, il le dépèce pour enrichir ses ouvrages, mais à sa manière, et non sans doute comme le prédicateur, le théologien, ou le défenseur de la religion. On sait que l’Écriture-Sainte veut être lue dans la simplicité du cœur et de l’esprit ; qu’aux génies superbes elle offre souvent des ridicules, des absurdités, des barbaries, des impiétés même, et c’est ce que M. de Voltaire ne manque pas d’y trouver. On voit surtout son genre de travail dans sa Profession de foi des théistes, par le comte d’A… au R.D.P., traduit de l’allemand, opuscule où, non content de ressasser ce qu’il a répété cent fois, il cite ses propres écrits et en remet des pages entières sous les yeux du lecteur.

M. De Lisle, fameux astronome, vient de mourir le 11 de ce mois, âgé de quatre-vingt-un ans. Il était pensionnaire vétéran de l’Académie des Sciences et professeur au Collège royal. Son ardeur pour l’astronomie lui avait fait entreprendre différens voyages. Il avait été jusqu’en Sibérie. Il avait professé a Pétersbourg, et avait en conséquence prêté serment de fidélité à l’Impératrice. De retour à Paris, on lui en fit un grief : il essuya des dégouts à l’Académie, où l’on ne le regardait plus que comme pensionnaire étranger. Il demanda sa retraite. Cette espèce de disgrâce, la jalousie de ses rivaux, les tracasseries qu’ils lui suscitèrent, empoisonnèrent sa vieillesse, d’ailleurs malaisée : il est mort dans une sorte d’indigence.

M. le duc de Nevers[9] vient de s’éteindre, âgé de prés de quatre-vingt-douze ans. C’était un seigneur de beaucoup d’esprit, mais dont les mœurs ont passé quelquefois à la cour pour trop philosophiques. On prétend qu’il avait épousé la demoiselle Quinault, excellente comédienne, et sœur du fameux Dufresne. Le présent qu’il a fait à la France de M. le duc de Nivernois, est le plus beau trait de sa vie.

22. — Il s’est élevé depuis quelques années en France une secte de philosophes audacieux qui semblent avoir eu le système réfléchi de porter une clarté fatale dans les esprits, d’ébranler toute croyance, de renverser la religion et de la saper jusque dans ses fondemens. Les uns, troupes légéres du parti, armés du sarcasme et de l’ironie, ont d’abord, sous des allegories sensibles, des fictions ingénieuses, couvert d’un ridicule indélébile ses ministres, ses dogmes, sa lithurgie et sa morale même. D’autres, spéculateurs profonds, cuirassés d’érudition, hérissés de métaphysique, se sont présentés le front découvert, l’ont attaqué a force ouverte, ont déployé contre elle les raisonnemens les plus formidables, et ne trouvant point d’athlètes dignes d’eux, sont malheureusement restés maîtres du champ de bataille. Aujourd’hui, que ces incrédules regardent leur ouvrage comme bien avancé, qu’ils attendent du bénéfice du temps, que la lumière gagnant de proche en proche, dissipe totalement la nuit des préjugés, de l’ignorance et de la superstition, ils attaquent leurs adversaires dans leurs derniers retranchemens : ils prétendent prouver que la politique n’a aucun besoin de la religion pour le soutien et le gouvernement des États. C’est contre cette assertion si ancienne, si répandue, et que les défenseurs du christianisme, poussés à bout, opposent pour dernier argument, qu’ils réunissent aujourd’hui leurs forces, et qu’ils semblent préparer un corps d’ouvrages dont plusieurs pénètrent déjà dans ce pays-ci. Tel est le livre intitulé la Contagion sacrée, ou Histoire naturelle de la superstition[10]. On le prétend traduit de l’anglais d’un M. Jean Trenchard, qui le publia en 1709, sans nom d’auteur. Le résultat de ce traité est que la crainte fut l’origine des religions ; qu’on remarque dans toutes un génie superstitieux, mélancolique, sinistre, apocalyptique, qui, de leurs sectateurs, ne peut faire que des citoyens mous, tristes, lâches, sans énergie ; qu’elles ne sont bonnes qu’a favoriser le despotisme, et à le détruire ensuite, s’il veut secouer le joug de la servitude des prêtres ; que leur morale est tout-à-fait étrangère, opposée même à celle de la nature, la seule sur laquelle puisse se fonder et se maintenir une société. En un mot, qu’elles sont toutes par essence fausses et intolérantes, et qu’un monarque qui veut travailler à son bonheur et à celui de ses peuples, ne doit


_ affermir son trône que par la liberté et la vérité. Il règne en général dans ce livre un esprit républicain, une antipathie contre le sacerdoce, une force de raisonnement, une véhémence de style, qui le caractérisent parfaitement anglais.

27. — On vient de décocher encore un trait à M. l’abbé de Langeac, ou plutôt à l’Académie. Il y a apparence que c’est le dernier effort des mécontens. Voici l’épigramme :

L’Académie, et ab hoc et ab hac,
À tes vers plats, sans raison et sans rime,
Donnant le prix, te prouve bien, Langeac,
Plus fortuné qu’un enfant légitime.

28. — On vient d’imprimer une Lettre du Parlement de Normandie au roi. Elle est en date du 19 du mois dernier. Son objet est de revenir à la charge sur l’affaire de Bretagne, que les magistrats ne perdent point de vue. Ils sollicitent la justice de Sa Majesté de faire cesser les maux qui tourmentent la Bretagne ; de rappeler de leur exil les six magistrats reconnus innocens par les réponses mêmes du roi, et de rendre aux vœux de toute cette province le Parlement, tel qu’il était avant l’édit du mois de novembre 1765. On ne peut lire cet écrit sans attendrissement sur les peintures affligeantes qu’il contient, et sans se sentir l’âme élevée par l’éloquence mâle dont il est animé. Il enchérit, s’il est possible, sur tout ce qui a paru dans ce grand procès. Cette brochure n’est répandue que depuis deux jours.

30. — Les directeurs de l’Académie royale de Musique ont proposé aux curieux de chercher une devise[11] pour la salle de l’Opéra qui n’est pas encore finie. Cette devise doit être en français et en deux vers. On n’en a encore vu que de mauvaises. M. Le Clerc de Montmerci propose les deux suivantes :

Les arts dans ce palais prodiguent leurs merveilles,
Pour enchanter les cœurs, les yeux et les oreilles.

Ou

Dans ce palais brillant des beaux-arts et des fées,
Héros, dieux et démons, tous les êtres divers,
Dociles aux accords des modernes Orphées,
Sont le tableau mouvant de ce vaste univers.

Quoique celle-ci soit contre les conditions établies, que ce soit même plutôt une description qu’une inscription, les amis de l’auteur l’ont trouvée si belle, qu’ils lui ont conseillé de la rendre publique.

  1. Traduites par d’Holbach. Londres (Amsterdam, M.-M. Rey), 1768, in-8°. — R.
  2. 1760, in-12. — R.
  3. Par d’Holbach, Londres (Amsterdam, M.-M. Rey), 1768, in-8°. — R.
  4. Naigeon. — R.
  5. Maison de Plaisance de la duchesse du Maine. — R.
  6. Demeure du duc de Vendôme. — R.
  7. Par Gudin de La Brenellerie. — R.
  8. V. 28 juillet 1768. — R.
  9. Philippe-Jules-Francois Mazarini-Mancini, mort le 14 septembre. — R.
  10. Composé par le baron d’Holbach, Londres (Amsterdam, M.-M. Rey), 1768, 2 vol. in-8°. — R.
  11. Diderot avait anciennement propose celle-ci : Hic Marsyas Apollinem, V.5 octobre 1768. — R.