Aller au contenu

Mémoires secrets de Bachaumont/1769/Mars

La bibliothèque libre.
Texte établi par M. J. Ravenel, Brissot-Thivars éditeurs & A. Sautelet et Compagnie (Tome II (1766-1769)p. 410-421).
◄  Février
Avril  ►
Mars 1769

Ier Mars. — Les Comédiens Français, conformément aux ordres des gentilshommes de la chambre, ont remis aujourd’hui sur la scène le Siège de Calais, cette tragédie dont M. de Belloy ambitionnait la reprise avec tant d’ardeur. Il paraît qu’il n’a pas eu tort, comme le craignaient ses partisans. Sa pièce, quoique dans le même état où elle était, et accompagnée de tous les défauts de construction, de caractère et de style qu’on lui reprochait, a été reçue, non avec l’enthousiasme d’autrefois, mais avec des applaudissemens qui feraient le succès d’une tragédie ordinaire. C’est mademoiselle Dubois qui jouait le rôle d’Aliénor ; elle n’a pas aussi mal réussi qu’on l’imaginait ; elle a même été applaudie à toute outrance par certaines gens ; mais ceux qui se souviennent d’avoir vu mademoiselle Clairon dans ce drame ne peuvent en soutenir la comparaison ; ceux qui ne s’en souviennent pas et ne l’ont pas vue, mais dans qui le goût tient lieu de modèle, l’ont trouvée froide, sans noblesse, et jouant quelquefois à contre-sens. Du reste ses grands bras sont insoutenables, et détruisent toute l’illusion que pourraient causer son bel organe et sa figure.

M. de Belloy n’a pas encore été content de la manière dont les Comédiens ont repris le Siège de Calais ; il s’est imaginé, d’après les tracasseries précédentes, qu’il y avait de l’humeur de leur part, et qu’elle avait contribué à les faire mal jouer ; il en a porté ses plaintes à M. le maréchal de Richelieu, qui a vertement réprimandé les histrions. Ce nouveau trait ne met pas l’auteur en meilleure recommandation auprès d’eux, et ils le regardent comme leur fléau.

3. — Madame Vestris continue ses débuts dans le comique avec le même succès, ou plutôt avec encore plus de succès que dans le tragique. Les grands rôles qui exigent du sang-froid, de la finesse, de la noblesse, lui vont à merveille, et ce sera une très-bonne acquisition pour les deux genres.

4. — Le Déserteur, opéra comique du sieur Sédaine, dont le sieur Monsigny a fait la musique, annoncé depuis long-temps, et retardé par les soins et embarras qu’a donnés au musicien la place de maître d’hôtel de M. le duc d’Orléans, dont ce prince l’a revêtu, doit être enfin joué après-demain. Il y a eu hier une répétition presque aussi brillante que le sera la première représentation : M. le duc d’Orléans, M. le duc de Chartres, et quantité de seigneurs, y étaient. Ils ont trouvé cet ouvrage miraculeux.

5. — Outre le grand Nicolet, il y a à la Foire son frère, qui a aussi un jeu de marionnettes, qui vient d’acquérir une grande célébrité par une scène qui s’est passée dans son enceinte. Un conseiller au Parlement se trouvant présent à ce spectacle, a été apostrophé par le compère, qui l’a pris pour quelque clerc de notaire ou de procureur : il n’a pas tenu compte de l’injonction du personnage d’être plus circonspect, et de ne mettre aucun des spectateurs en scène. Celui-ci a fait de la rumeur au point que Nicolet est allé chercher la garde qui a arrêté le quidam, conseiller au Parlement, sous prétexte qu’il troublait le spectacle. Mené au corps-de-garde, il est venu un commissaire, qui, d’après les informations prises, a fait mettre au cabanon ledit compère ; et sur les plaintes subséquentes du magistrat à M. de Sartine, on était convenu que le soldat qui l’avait arrêté serait mis au cachot pour avoir fait sa charge avec une insolence dans laquelle il se croyait autorisé par l’incognito du personnage. Cette histoire est la matière des conversations sur laquelle on varie beaucoup suivant l’usage.

5. — M. Ferrein, médecin, professeur d’anatomie et de l’Académie royale des Sciences, vient de mourir[1] âgé de quatre-vingt-cinq ans. Il s’était fait une sorte de célébrité par une prétendue découverte que la voix était un instrument à vent et à cordes. Ses partisans même avaient nommé de son nom fides Ferrinei, certaines fibres qu’il regardait comme destinées à cet usage, et dont il voulait que la glotte fût l’archet. Il avait exécuté une machine artificielle, qui figurait assez bien son système, et répondait par diverses expériences aux objections qu’on pouvait faire ; mais le grand argument auquel il n’a pu résister, et qui a foudroyé absolument cette opinion nouvelle, c’est qu’il est démontré impossible en bonne physique que des cordes mouillées rendent du son. Depuis ce temps la réputation éphémère de ce docteur a de beaucoup diminué, et il est rentré dans une obscurité dont le brouhaha occasioné par ce système singulier l’avait fait sortir.

7. — Lettres cherakésiennes, mises en français de la traduction italienne, par J.-J. Rufus, sauvage européen[2]. Cet ouvrage mal fait et d’un style plus que médiocre n’a pas même le mérite du fonds. C’est un sauvage qu’on introduit sur la scène, et qu’on fait disserter sur notre religion, nos dogmes et notre morale. On sent que ce traité est calqué sur une infinité d’autres du même genre ; mais l’auteur n’a de commun avec ses confrères que l’envie d’infecter de son poison ses lecteurs, qui ne seront point en grand nombre, et conséquemment il ne fera pas grand mal.

8. — Épigramme.

Et susOn dit que Choiseul et Barry,
Et susAnimaux très-antipathiques,
Et susPartagent la cour aujourd’hui,
Et suspendent les vœux dé tous nos politiques.
Il faut opter des deux : c’est lé tout pour lé tout ;
Et susCar dé leur sort dépend lé nôtre.
Mais j’ai pris mon parti, Messieurs ; prenez lé vôtre :
Et susJé mé suis dit : lé roi la f… ;
Et susHé donc ! qué l’aze f… l’autre.

9. — On ne saurait trop faire connaître les actions patriotiques. Le sieur Le Comte, vinaigrier ordinaire du roi, vient de donner trois mille livres aux écoles royales gratuites de dessin. M. de Rozoi a publié un Essai philosophique[3] sur cette institution, et il a consacré au profit des jeunes élèves celui de l’édition de cet écrit. Si l’ouvrage n’a pas un mérite intrinsèque, bien propre à faire multiplier son débit, l’auteur a du moins le mérite d’avoir consacré son faible génie à l’utilité publique, espèce de gloire bien rare, et dont peu de ses confrères pourraient s’applaudir.

12. — Le Cri de l’honnête homme[4] est une brochure très-clandestine, composée, suivant le récit qu’elle contient, par le premier magistrat d’une ville de province du second rang, qui, ayant eu le malheur de faire un mariage mal assorti, après avoir épuisé tous les moyens de patience et de conciliation, a été obligé de se séparer d’une Messaline. L’état où l’a mis cette position ambiguë lui a fait faire sur la matière du divorce beaucoup de recherches dont ce livre est le résultat. Il établit, dans ce mémoire, que le divorce a pour lui un passage même de l’Écriture, très-formel, très-précis et très-clair ; qu’il est conforme aux usages de la primitive Église, et que la morale, le droit naturel et la politique concourent également à le rendre nécessaire. Cet ouvrage, écrit avec force, n’est pas moins appuyé de raisons : on y trouve une peinture des mœurs actuelles très-énergique, où l’on prouve que leur dépravation est une suite infaillible de l’indissolubilité des mariages. L’auteur s’est permis des plaisanteries et un style ironique, qui ne nuisent point à la dignité de la matière, et qui servent seulement à égayer le sujet avec noblesse ; elles n’empêchent pas qu’il ne règne dans tout l’ouvrage beaucoup d’onction et de sentiment, très-capables d’intéresser pour l’historien, et d’attendrir le lecteur sur son malheureux destin.

13. — Des plaisans ont trouvé dans Nostradamus une centurie qu’ils ont adaptée aux circonstances, et dont ils infèrent une prédiction de l’élection de M. le cardinal de Luynes, archevêque de Sens, à la papauté. Voici ce bizarre quatrain, susceptible de toutes les interprétations qu’on voudra lui donner. Il est tiré de la centurie 86, édition petit in-8° de CIↃ.IↃC.LXVII.


Le grand prélat, un jour après son songe
Interprété au rebours de son sens,
De la Gascogne lui surviendra un monge
Qui fera élire le grand prélat de Sens.


Dans les premiers vers on croit trouver la mort du pape ; par le troisième on entend le cardinal de Bernis, archevêque d’Alby, et le quatrième paraît fort clair. M. le duc de Chevreuse[5] rit beaucoup de cette facétie, et porte depuis ce temps Nostradamus dans sa poche, qu’il montre à tout le monde.

14. — Le Parlement ne paraît pas encore entrer dans les vues de la brochure dont on a parlé, intitulée le Cri de l’honnête homme. Rempli de préjugés antiques, et d’ailleurs obligé à se conformer aux lois reçues et consacrées par une longue exécution, il a sévi, le 3 de ce mois, les chambres assemblées, contre un Traité sur la Population, où l’auteur établissait le divorce comme un des meilleurs moyens de la favoriser et de l’augmenter. Quoique ce livre ne soit pas écrit avec la même force que l’autre, ni soutenu de preuves aussi victorieuses, il a paru aux magistrats propre à occasioner une fermentation dangereuse, et il a été condamné à être brûlé par un arrêt qui ne se répand que depuis peu. Il est difficile de déraciner les erreurs si promptement ; mais on espère que cette flétrissure ne fera qu’encourager les bons patriotes à écrire sur cette matière importante, et à la prendre pour texte de leurs discours philosophiques.

17. — Quelques auteurs ne pouvant rien produire par eux-mêmes, ou pressés de vivre, ont imaginé depuis quelque temps de dresser une friperie littéraire, et de faire des livres des dépouilles des écrivains morts. C’est ainsi qu’ont paru successivement différentes compilations, abréviations, divers extraits, et surtout ces Esprits qu’a mis à la mode un certain abbé de La Porte, l’usurier du Parnasse qui sait le mieux placer à intérêt ces sortes de productions, et qui a tourné en commerce de finances lucratif un métier qui, jusqu’à présent, avait fait mourir de faim presque tous ses partisans. On ne sait si c’est lui qui avait mis depuis peu en lumière l’Esprit de M. de Marivaux[6] ; mais celui-ci a excité un procès entre le libraire ayant le privilège de ce dernier ouvrage, et celui qui est pourvu du privilège des Œuvres de Marivaux. Ce dernier s’oppose au débit de l’autre, prétendant que cet Esprit n’étant qu’une émanation du livre qu’il a en vente, on n’a pu accorder un privilège qu’il avait antérieurement, et qui ne roule que sur le même objet. Cette contestation est portée en justice, et jusqu’à la décision le livre de l’Esprit de M. de Marivaux est arrêté.

18. — M. de Voltaire, dont la Muse semblait assoupie depuis quelque temps, vient de se réveiller par une Épître à Boileau, fort longue, fort diffuse, et qui n’est qu’une espèce de satire dans le goût de celles de cet auteur, où M. de Voltaire, qui a tant blâmé ce genre, s’abandonne lui-même à son génie très-caustique, et tombe à droite et à gauche sur une infinité de choses et sur une multitude de gens. Tout cela n’est qu’un rabâchage, une répétition fastidieuse des injures qu’il a déjà débitées ailleurs et d’une façon au moins plus passable.

20. — Il court aussi une Épître en vers de M. de Voltaire à l’auteur du livre des trois Imposteurs. Ce grand homme s’y élève avec force contre l’athéisme, en détruit, en poète, tous les raisonnemens qu’il fait ailleurs, en philosophe, en faveur du même système ; mais on sait qu’il est accoutumé à prêcher le pour et le contre. Cette pièce, où il y a de temps à autre de beaux vers, est en général lâche, prosaïque, et se sent de la décrépitude du faiseur. Il a entremêlé un sujet aussi grave de mille plaisanteries, dont il ne peut s’abstenir, et qui donnent un air de farce à ses ouvrages les plus sérieux. Il finit par prêcher le tolérantisme, et après avoir fait manger du porc à un Juif avec un Français, et boire du vin à un Turc avec un docteur de Sorbonne, il s’écrie :


Mais qui pourra jamais souper avec Fréron ?


et laisse le lecteur sur ce bon mot.

22. — Deux nouveaux livres infernaux percent à Paris, dans ce saint temps où l’Église redouble de ferveur et de prières pour la conversion des incrédules ; l’un a pour titre : Opinion des anciens sur les Juifs, par feu M. de Mirabaud, secrétaire perpétuel de l’Académie Française ; l’autre est intitulé : Réflexions importantes sur l’Évangile. Ces deux ouvrages, connus comme manuscrits depuis long-temps, et gardés dans l’obscurité des portefeuilles des curieux ou des esprits forts, sont dans le goût de ceux attribués à Fréret. Il y a autant de méthode, de logique et de clarté ; mais ils sont écrits avec beaucoup plus de force, et sont aussi énergiques dans le style que dans le raisonnement. Le débordement de ces brochures scandaleuses est si grand, que le sage magistrat qui préside à la police ne peut que le suspendre, encore n’est-ce que par intervalle ; tandis qu’il est occupé à l’arrêter d’un côté, il gagne de l’autre successivement. Il serait à craindre qu’il n’entraînât tout ce qu’il rencontrera, si nous n’étions rassurés par les saintes paroles, qui annoncent que les portes de l’enfer ne pourront prévaloir contre l’Église[7].

24. — Les adversaires infatigables de la religion ne cessent de tirer des ténèbres tous les livres qui peuvent contribuer à leur projet, et jeter dans l’esprit des lecteurs des lumières dangereuses : au défaut d’écrivains qui, par des ouvrages nouveaux sur cette matière, entretiennent la curiosité publique, ils reproduisent d’anciens écrits. Les Anglais étant très-féconds en dissertations de ce genre, ils ne tarissent jamais, et trouvent toujours chez les philosophes de cette nation, même chez leurs théologiens, des armes propres à leur genre de combat. Tel est un recueil intitulé : Examen des prophéties qui servent de fondement à la religion chrétienne, avec un Essai critique sur les prophètes et les prophéties en général[8]. La première pièce est un ouvrage célèbre de M. Antoine Collins, auteur du fameux Discours sur la liberté de penser. Celui-ci a paru à Londres en 1724. M. Collins y donne un sens purement allégorique aux prophéties de l’Ancien-Testament, qui avaient Jésus-Christ pour objet, ce qui détruit les titres les plus forts de la mission divine. Aussi ce discours fut-il en peu de temps assailli de trente-cinq critiques : les Clarke, les Whiston, les Sherlock, les Chandler, les Sykes, etc., se mirent sur les rangs. L’Essai critique est un développement philosophique de cette même matière très-bien fait, et qui ne peut que jeter un ridicule complet sur les prophètes et les prophéties. Tous ces ouvrages, si propres à ébranler la foi des fidèles, sont sagement proscrits par le Gouvernement.

25. — Avant le mariage de M. le comte de Fitz-James, M. le duc de Chartres lui donna, à sa petite maison, un souper, appelé le Souper des Veuves. On y avait réuni les maîtresses de ce prince et de différens seigneurs mariés, ou sur le point de se marier. Tout était tendu de noir. Les femmes étaient dans le costume du deuil ; les hommes de même. Les flambeaux de l’Amour s’éteignaient, et se trouvaient remplacés par les flambeaux de l’Hymen. Ces deux dieux étaient dans une rivalité continuelle à cette fête : en un mot, tout y caractérisait le tombeau des plaisirs et l’empire de la raison. On assure qu’il est question de renouveler cette farce d’une façon plus solennelle encore, à l’occasion du mariage prochain de M. le duc de Chartres.

28. — Il paraît déjà quatre Lettres manuscrites sur la Compagnie des Indes, historique précieux de tout ce qui se passe dans cette société, et qui doit servir un jour à constater les efforts multipliés du ministère et de ses

suppôts pour la détruire. Il est fâcheux que la liberté et l’énergie de ces écrits en empêchent la publicité et l’impression.
29. Extrait d’une lettre de Rome du 7 mars.

« J’ai vu les obsèques de Sa Sainteté[9], qui étaient misérables. De tous les ordres religieux, il n’y avait à son convoi que quelques pauvres diables de Jésuites. Du reste sa mémoire n’est pas ici en bonne odeur. On a fait parler Pasquin, qui a dit qu’à l’ouverture de son cadavre on avait trouvé au feu pape ses neveux dans la tête, les Jésuites dans le cœur, le corps plein de trésors, et les rois à ses pieds. On s’est servi pour la cérémonie d’un cénotaphe du feu cavalier Bernin, et comme il y avait aux quatre angles quatre places propres à recevoir les vertus du défunt, on n’a su comment les remplir ; et ne trouvant à louer que sa dévotion pour les cérémonies religieuses, on l’a représenté, dans un coin, à genoux devant une chapelle ; dans un autre, recevant le plan d’une église ; d’un autre côté, faisant la canonisation d’un saint, et enfin fondant un hôpital. »

30. — Dans ce pays-ci l’émulation des faiseurs de projets enchérit sans cesse sur les derniers, et le public gagne toujours à cette concurrence. Le sieur Torré, qui, l’an passé, avait ébauché un Wauxhall où l’on courait en foule, a donné au sieur Ruggiéri l’idée d’en établir un à la Foire Saint-Germain, plus petit, à cause de l’emplacement qui l’a gêné, mais d’une magnificence singulière, et telle qu’on croit être dans un de ces châteaux enchantés, dont les anciens romans nous donnent des descriptions si merveilleuses. De nouveaux artistes s’empressent d’effacer ce spectacle, et une compagnie entière a formé le projet d’établir aux Champs-Élysées un Wauxhall perpétuel, dont l’étendue et la richesse surpasseront infiniment tout ce qu’on a vu en ce genre. On en peut juger par la mise de fonds que ces gens-là se proposent de faire, et qui doit, dit-on, monter jusqu’à douze cent mille livres. Il ne s’ouvrira que dans un an, au mariage de M. le dauphin. À la tête de ce projet est un nommé Corbie, créature attachée à M. le duc de Choiseul, versé depuis long-temps dans tous les genres de spéculation, et qui, par les facilités que lui donne son maître, est à même de procurer à ses confrères tous les secours et toute la protection dont ils peuvent avoir besoin.

  1. Le 5 mars, suivant le Mercure de France, et le 28 février selon la Biographie universelle. — R.
  2. Rome, 1769, in-8°. C’est une réimpression des Lettres Iroquoises, de Maubert, qui avaient paru en 1752. — R.
  3. Paris, L’Esclapart, 1769, in-8°. — R.
  4. Il est probablement question de l’écrit intitulé : Cri d’un honnête homme qui se croit fondé à répudier sa femme. 1768, in-12. Barbier l’attribue à un nommé Philibert, prêteur à Landau. « M. de Voltaire a travaillé à cet ouvrage, dit Wagnière, mais le fond ou le canevas du mémoire lui avait été envoyé. — R.
  5. Frère du cardinal. — R.
  6. Par de Lesbros ; Paris, Pierres, 1769, in-8°. — R.
  7. Et portæ inferi non prævalebunt adversus eam. Matt. XVI, 18. — R.
  8. Traduits de l’anglais par le baron d’Holbach. Londres (Amsterdam, M.-M. Rey), 1768, in-8°. — R.
  9. Charles Rezzonico (Clément XIII) était mort presque subitement, le 3 février 1769. — R.