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Page:Émilie Toulongeon - Lettres de la Vendée, 1801, I.djvu/164

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et je la lui donne pour la jetter à la boîte de la poste ; elle veut que je m’enferme dans le cabinet jusques à son retour. Oh ! ma Clémence, lève pour moi tes mains au ciel ! si cette lettre te parvient, que ta pitié…ta pitié, ah ! c’est elle dont j’ai besoin. Le désordre de ma lettre, celui de mon ame, lui sert trop d’excuse. Adieu, hélas ! peut-être pour jamais, adieu.