Page:Émilie Toulongeon - Lettres de la Vendée, 1801, I.djvu/183

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Mauléon. Je t’écrirai encore en chemin, de quelque lieu où nous aurons trouvé à reposer nos têtes, si Dieu nous les conserve ; sinon, prie le pour le repos de mon ame, mon corps, au moins, alors, reposera en paix.