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Page:Émilie Toulongeon - Lettres de la Vendée, 1801, I.djvu/22

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P. S. J’entends dire que nous irons à Parthenay ; à tout hasard, envoyes-y ta lettre, si les miennes te parviennent. Le nom du jeune homme est Maurice, gendarme à la dix-septième division.

LETTRE IV.

Parthenay, 2 fructidor, an 3 républicain.


Je te vois, chère cousine, encore dans le premier effroi que t’a causé ma lettre, et dans l’étonnement de la voir finir assez gaîment dans une pareille situation ; il faudroit, ma chère, avoir, comme moi, passé d’aussi horribles momens pour se trouver bien, au milieu d’une troupe,