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Page:Émilie Toulongeon - Lettres de la Vendée, 1801, I.djvu/48

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repos, et je fus même obligée de le dire deux fois.

Je t’écris pendant qu’il dort, et voilà, ma chère, tout ce que tu voulois savoir. Conviens que dans mon infortune, je dois encore bénir le ciel de n’être pas plus mal tombée. Il faut pourtant te quitter ; voici le jour qui commence à paroître ; j’appelle me reposer, m’entretenir avec toi ; mais comme je crois rester demain ici, je ne fermerai sûrement point ma lettre sans te parler encore.