Page:Émilie Toulongeon - Lettres de la Vendée, 1801, II.djvu/106

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le déjeûner, et me força de me reposer ; je crois cependant que de longtemps je ne serai assez tranquille. Il faut que je respire encore la joie et l’inquiétude, ton sein seul, ma chère Clémence, peut me rendre à moi-même ; mon cœur t’appelle ; mon impatience t’accuse ; pardonnes les torts de l’une, qui ne viennent que des besoins de l’autre.