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Page:Émilie Toulongeon - Lettres de la Vendée, 1801, II.djvu/107

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LETTRE XXXVI.

Plouën, 6 frimaire, an 4 républicain.


En vérité, ma chère, je commence à croire que je suis née pour les circonstances extraordinaires ; et pour peu que cela continue, mon histoire deviendra tout-à-fait un roman ; mais il faut t’instruire de ce nouvel événement. Tu n’as, sans doute, pas oubliée ma bonne dévote à Parthenay, qui eut, pour Maurice et pour moi, des bontés dont le souvenir me restera toujours ; hé bien, cousine, par une généalogie trop longue à te détailler dans une lettre, elle se trouve notre parente ; c’est-à-dire, petite cousine