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Page:Émilie Toulongeon - Lettres de la Vendée, 1801, II.djvu/135

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embarrassé ; vous lui en imposez, maman, et le respect ?… — Oh ! le respect ne fait pas marcher plus vite ; d’ailleurs, il doit nous connoître ; sans doute tu lui as sûrement parlé de nous ?… — Sans doute, maman, et c’est une raison pour qu’il vous respecte davantage. — Il ne paroît pas très à son aise, avec votre frère. — Ils se sont vus peu de jours. — À propos, je compte t’envoyer bientôt voir ta cousine Clémence ; tu seras charmée, j’imagine, de la revoir, si elle ne peut quitter sa mère ; pendant ce temps, nous verrons ici à arranger les affaires de ce jeune homme ; à ton retour, tu trouveras cela terminé. Eh bien ! est-ce que cela ne te convient pas ? nous retarderons. — Tout ce que vous déciderez de moi, maman, sera toujours ce qui me conviendra le mieux. —