Aller au contenu

Page:Émilie Toulongeon - Lettres de la Vendée, 1801, II.djvu/155

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

jeunesse ; et la seconde mère de mes enfans n’auroit qu’un titre de plus, qui resserreroit encore des nœuds si chers. Adieu, ma bonne cousine, ange de mes affections ; que le ciel veille sur toi, comme je t’aime.

LETTRE XLI.

Plouën, 17 frimaire, an 4 républicain.


Tiens, cousine, il se trouve ici quelque chose contre moi, et je ne sais quel instinct me dit que tu es complice ; qu’est-ce, je te prie, qu’un gros paquet que ma mère a reçu de toi ? j’ai très-bien reconnu ta main sur l’enveloppe, malgré tes lettres majuscules. Maman a mis le paquet dans