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Page:Émilie Toulongeon - Lettres de la Vendée, 1801, II.djvu/92

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mais ton indulgence, ton amitié, ta tendre amitié, sont devenues mon bien, et je les invoque du plus profond de mon cœur.

C’est un exprès qui te porte ma lettre ; si elle peut te décider, gardes-le ; il pourra t’être utile, pour tes arrangemens de voyage. Je compte qu’il te remettra un mot de ma mère. Puissent toutes nos prières, avoir du succès, et te faire remplir notre attente.