Page:Œuvres complètes d’Apulée (éd. Garnier), tome 2, 1883.djvu/206

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n'est pas accablée par l'excès de travaux extérieurs, par la trop grande abondance d'une nourriture immodérément répandue et distribuée dans tout l'individu. Alors en effet les membres et les organes conservent dans son activité et dans ses proportions la force qui leur est nécessaire ; tout ce qui doit contribuer à la conservation du corps entier présente une fusion homogène, un équilibre parfait ; mais quand cette régularité n'existe plus, la destruction du corps s'ensuit toujours infailliblement.