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Page:Œuvres complètes de Condillac, VI.djvu/640

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Chap. vii. — Du levier.
Page 89.

Les machines sont pour les bras ce que les méthodes sont pour l’esprit. Fig. 12. Le levier, quant au fond, est la même machine que la balance. Les principes sont les mêmes pour l’un et l’autre. Fig. 12. Considération sur les leviers recourbés. Fig. 14. Il y a trois sortes de leviers. Fig. 15. Fig. 16. Fig. 17.

Chap. viii. — De la roue.
Page 92.

La roue est formée d’une multitude de leviers qui tournent autour d’un point d’appui. Fig. 18. La distance du poids est à la distance de la puissance, comme le demi-diamètre de l’essieu de la roue. Mais le poids s’éloigne du point d’appui à mesure qu’il s’élève.

Chap. ix. — De la poulie.
Page 93.

Le diamètre d’une poulie est une balance. Planche 11. Fig. 19. Par le moyen d’une suite de poulies, une petite puissance soutient un grand poids. Fig. 20.

Chap. x. — Du plan incliné.
Page 95.

Un poids sur un plan incliné est soutenu en partie par le plan. Fig. 22. Un poids est soutenu, sur un plan incliné, par la moindre puissance possible, lorsque la ligne de traction est parallèle au plan. Fig. 23. La puissance doit être au poids comme la hauteur du plan à la longueur. Fig. 23. Vitesse avec laquelle un corps descend d’un plan incliné. Fig. 24. Son mouvement s’accélère dans la proportion 1, 3, 5, 7. Comment on connaît l’espace qu’il doit parcourir sur un plan incliné, dans le même temps qu’il tomberait de toute la hauteur. Qu’un corps tombe perpendiculairement, ou le long d’un plan incliné, il acquiert la même force, toutes les fois qu’il tombe de la même hauteur.

Chap. xi. — Du pendule.
Page 101.

Un corps qui tombe le long des corps d’un cercle, les par-