D’un dernier trait couronnant son ouvrage
Il sçut encor embellir tant d’attraits,
Des deux côtés de ton charmant visage
Un joli…[1] fut placé tout exprès.
Alors certain d’un triomphe facile
Brisons ces traits, éteignons ce flambeau,
Dit-il, jettons ce carquois inutile
Je puis compter sur cet appui nouveau,
À l’Univers, je montrerai tes charmes
Chère Henriette, il subira ma loi.
On te verra, ce seront là mes armes
Et t’adorer sera tout mon emploi.
AUTRE CHANSON[2]
Tu veux, charmant objet,
Que mon esprit docile
Tire quelque couplet
De ma verve stérile
Fera-t-il bien ?
Je n’en crois rien,
Mais veut-on que je me défende.
Quand ta bouche commande
À mon cœur.
De ce premier couplet
Que faut-il que je pense ?
Verra-t-on cet essai
Avec quelqu’indulgence ?