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Page:Œuvres d’Éphraïm Mikhaël (Lemerre, 1890).djvu/51

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Et pourtant, maintenant, dans l’horreur languissante
D’un soir de pluie et dans la lente obscurité,
Je sens mon cœur que nul amour n’a déserté
Mélancolique ainsi qu’une chambre d’absente.