Page:Œuvres d’Éphraïm Mikhaël (Lemerre, 1890).djvu/52

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LUEURS



À Jean Ajalbert.





C’est un soir calme, un soir de fête.
En bas, dans le noir, vers Paris
À peine encore quelque faîte
D’église perce le soir gris.

Puis les ombres amoncelées
Submergent les derniers clochers,
Et je pense aux mers contemplées
Autrefois du haut des rochers.