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Page:Œuvres de Blaise Pascal, IX.djvu/81

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TRAITE DES SINUS

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���laire AC comme base ; soit D un point quelconque dans Tare, duquel soit mené le sinus DI sur le rayon AC ; et la touchante DE, dans laquelle soient pris les points E où l'on voudra, d'où soient menées les per- pendiculaires ER sur le rayon AC :

Je dis que le rectangle compris du sinus DI et de la touchante EE, est égal au rectangle compris de la portion de la base (enfer- mée entre les parallèles) et le rayon AB.

Car le rayon AD est au sinus DI comme EE à RR ou à EK : ce qui paroist clairement à cause des triangles rectangles et semblables DIA, EKE, l'angle EEK ou EDI estant égal à l'angle DAI.

Proposition^ I. La" somme des sinus d'un arc quelconque du quart

��statim eam attuli Hugenio; is miratus et subridens fassus est se cadem plane melhodo usum ad inveniendam superficiem conoidis parabolici circa axem « (cf infra p. 177 et i8i sqq,). — Cf. une lettre de Leib- niz au marquis de l'Hospital (1694), et divers fragments cités par Gerhardt : Leibniz und Pascal, npud Comptes Rendus de l'Académie de Berlin, 1891, T. II, p. 1057-1065.

1. Sur la définition des sommes de sinus, vide supra T. VIII, p. 354-

2. Appelons R le rayon du cercle, 9 l'angle DAI; le sinus DI a pour valeur R sin 9 et la proposition I exprime que la somme des sinus

/Rsin(p.d(R9) étendue aux valeurs de ç comprises entre deux valeurs données, ^q

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