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construct a crooked line, so as lo be equal to a straight, by a certain séries of numbers after the method of Dr. Wallis.)»
S'il faut en croire les biographes de Wren, les relations scientifiques du savant anglais et de Pascal ne se seraient pas bornées à l'échange des communications qui sont mention- nées par Pascal dans ses écrits sur la roulette. Vers l'époque à laquelle il obtint la rectification de la cycloïde (juillet i658), dit Seth Ward (TAe lives of the prof essors of Gresham Col- lège, Londres 1740, p. 97), Wrenrésolut aussi le problème « pro- posé à tous les mathématiciens anglais par le célèbre Mon- sieur Pascal, sous le pseudonyme àeJean de Montfert », — et il proposa à son tour aux mathématiciens de France un nouveau problème (jadis énoncé par Kepler) dont ils ne donnèrent jamais la solution. Le même fait est rapporté dans les Parentalia^ de 1760. Le placard imprimé qui contient la solution de Wren a d'ailleurs été récemment retrouvé, et publié en fac-similé dans un ouvrage récent'^. Nous le repro- duisons en appendice. Bien que nous n'ayons aucune preuve à l'appui de l'allégation de Seth Ward, d'après laquelle Jean de Montfert serait un pseudonyme de Pascal, nous ne pouvons dire cependant qu'elle manque de vraisemblance.
1. Vide supra p. i3/j.
2. Lena Milman: Sir Christopher Wren, Londres 1908, p. 38
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