Page:Œuvres de Blaise Pascal, XII.djvu/158

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il saigne sous les pointes de sa ceinture de fer. La croix qu’il trace en tête de ses fragments n’est pas une arme pour appeler au combat les fidèles, pour menacer les mécréants ou les hérétiques ; c’est la propre croix du Christ sous laquelle il a succombé au chemin du calvaire : « Jésus sera en agonie jusqu’à la fin du monde, il ne faut pas dormir pendant ce temps-là. »