Page:Œuvres de Descartes, éd. Cousin, tome V.djvu/513

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Que ceux de divers points s’y doivent assembler en divers points. 44
Comment les couleurs se voient au travers d’un papier blanc qui est sur le fond de cet œil. ibid.
Que les images qui s’y forment ont la ressemblance des objets. ibid.
Comment la grandeur de la prunelle sert à la perfection de ces images. 45
Comment y sert la réfraction qui se fait dans l’œil, et comment elle y nuirait étant plus grande ou plus petite qu’elle n’est. 46
Comment la noirceur des parties intérieures de cet œil et l’obscurité de la chambre où se voient ces images y sert aussi. ibid.
Pourquoi elles ne sont jamais si parfaites en leurs extrémités qu’au milieu. 47
Comment on doit entendre ce qui se dit que visio fit per axem. ibid.
Que la grandeur de la prunelle rendant les couleurs plus vives rend les figures moins distinctes, et ainsi ne doit être que médiocre. 48
Que les objets qui sont à côté de celui à la distance duquel l’œil est disposé, en étant beaucoup plus éloignés ou plus proches, s’y représentent beaucoup moins distinctement que s’ils en étaient presque à pareille distance, ibid.
Que ces images sont renversées. ibid.
Que leurs figures sont changées et raccourcies à raison de la distance ou situation des objets. ibid.
Que ces images sont plus parfaites en l’œil d’un animal vivant qu’en celui d’un mort, et en celui d’un homme qu’en celui d’un bœuf. 49