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Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/304

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        Sur moi la nuit immense
        S’étend comme un linceul ;
        Je chante ma romance
        Que le ciel entend seul.
        Ah ! comme elle était belle
        Et comme je l’aimais !
        Je n’aimerai jamais
        Une femme autant qu’elle.
        Que mon sort est amer !
Ah ! sans amour, s’en aller sur lamer !