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Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/371

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De fatigue à la fin, les bras frêles et blancs
Laissèrent, tout meurtris, choir leurs glaives sanglants
Trop faibles ouvriers pour de si fortes âmes ;
Et, dans l’eau, jusqu’au soir, il plut des corps de femmes !