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Vos pieds prendront racine dans la boue ;
Au même endroit planté vous restez trop longtemps,
Mon cher, et vous aurez des feuilles au printemps.
Valère.
Je venais pour…
Géronte.
C’est bien ; allez-vous-en !
Valère.
De grâce !
Géronte.
Pas de grâce !
Valère.
Mon oncle ! ah ! que je vous embrasse !
Géronte.
Non ! non ! — Quel embrasseur que monsieur mon neveu !
Valère.
Mon oncle, il faut qu’ici je vous fasse un aveu…
Géronte.
Je refuse l’ouïe à tout aveu !
Valère.
Mon oncle !
Géronte.
Au beau milieu du nez qu’il me pousse un furoncle,