Page:Œuvres mêlées 1865 III.djvu/89

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qui se trouvant un quart-d’heure de santé, ne croit pas qu’on puisse parler d’autre chose. Peut-être étiez-vous de mon humeur, quand vous aviez quelque relâche dans les douleurs de votre bras cassé et de toutes vos blessures. Aujourd’hui que vous êtes pleinement guéri, goûtez-en le plaisir, et me laissez faire de tristes réflexions sur la chanson que vous m’avez apprise.

Mais, hélas ! quand l’âge nous glace,
Nos beaux jours ne reviennent jamais.

S’il y a quelques airs aussi agréables que celui-là, dans la musique de la Fête de Versailles[1], je vous prie de me les envoyer notés, et vous obligerez un homme qui est plus que jamais, etc.

  1. Il s’agit ici du volume imprimé sous le titre de : Les Plaisirs de l’isle enchantée, etc. Paris, 1664, in-4º, chez Ballard, ou 1673 in-fol. impr. royale. On y trouve de la musique gravée.