Page:Œuvres philosophiques de Leibniz, Alcan, 1900, tome 2.djvu/147

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difficultés qu’on se peut faire, n’empêchent pas qu’on ne doive croire raisonnablement, quand on ne le saurait pas d’ailleurs démonstrativement, comme nous l’avons déjà montré, et comme il paraîtra davantage dans la suite, qu’il n’y a rien de si élevé que la sagesse de Dieu, rien de si juste que ses jugements, rien de si pur que sa sainteté, et rien de plus immense que sa bonté.