Page:Œuvres poétiques de François de Maynard, 1885, tome 1.djvu/65

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Lecteur,

Ces vers sont les tableaux de mes affections. Amour en fut le peintre, et ma plume le pinceau : Si tu blasmes les traits de cest ouvrage, tu offence Amour, et coupable te rend indigne de ses faveur : toutefois je te crois avoir l’ame trop bien faicte pour en user ainsi.