Page:Œuvres politiques de Machiavel.djvu/617

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  • Chap. XXII. — Combien souvent sont fausses les opinions des hommes dans le jugement qu’ils portent des grandes choses. 378
  • Chap. XXIII. — Combien Rome, lorsqu’un événement quelconque la contraignait a statuer sur le sort de ses sujets, évitait avec soin toutes les demi-mesures. 382
  • Chap. XXIV. — Les forteresses sont en général plus nuisibles qu’utiles. 387
  • Chap. XXV. — Vouloir profiter de la désunion qui règne dans une ville pour s’en emparer est un parti souvent nuisible. 398
  • Chap. XXVI. — Le mépris et l’injure engendrent la haine contre ceux qui s’en servent, sans leur procurer aucun avantage. 399
  • Chap. XXVII. — Il doit suffire aux princes et aux gouvernements sages d’obtenir la victoire ; ceux qui veulent aller au delà y trouvent ordinairement leur perte. 400
  • Chap. XXVIII. — Combien il est dangereux pour un prince ou pour une république de ne point venger une injure faite soit au gouvernement, soit à un particulier. 403
  • Chap. XXIX. — La fortune aveugle les hommes lorsqu’elle ne veut pas qu’ils s’opposent à ses desseins. 406
  • Chap. XXX. — Les républiques ou les princes dont la puissance est réelle n’achètent point des amis à prix d’argent, mais les acquièrent par leur courage et la réputation de leurs forces. 409
  • Chap. XXXI. — Combien il est dangereux de se confier aux bannis. 414
  • Chap. XXXII. — Des divers moyens qu’employaient les Romains pour s’emparer d’une ville. 418
  • Chap. XXXIII. — Les Romains laissaient les généraux de leurs armées entièrement libres dans leurs opérations. 420


  • Livre Troisième.


  • Chapitre Premier. — Pour qu’une religion et un État obtiennent une longue existence, ils doivent être souvent ramenés à leur principe. 423
  • Chap. II. — Combien il y a de sagesse à feindre pour un temps la folie. 429
  • Chap. III. — Combien il est nécessaire, pour consolider une liberté qu’on vient d’acquérir, d’immoler les fils de Brutus. 431
  • Chap. IV. — Un prince ne peut vivre en sécurité sur son trône tant que vivent encore ceux qu’il en a dépouillés. 432
  • Chap. V. — Ce qui fait perdre un royaume à un roi héréditaire. 434
  • Chap. VI. — Des conjurations. 436
  • Chap. VII. — D’où vient que le passage de la liberté à la servitude, et de la servitude à la liberté, est parfois paisible et quelquefois sanglant. 464
  • Chap. VIII. — Quiconque veut introduire des changements dans une république doit bien considérer à qui il a affaire. 468
  • Chap. IX. — Comment il est nécessaire de changer avec les temps, si l’on veut toujours avoir la fortune propice. 469
  • Chap. X. — Un général ne peut éviter la bataille quand son adversaire veut à tout prix l’y contraindre. 471