Page:Œuvres politiques de Machiavel.djvu/616

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Chap. III. — Rome devint une ville puissante en ruinant les cités voisines, et en admettant facilement les étrangers aux honneurs.
309
Chap. IV. — Les républiques ont employé trois moyens pour s’agrandir.
313
Chap. V. — Des changements de religion et de langage, joints aux désastres causés par les inondations et le fléau de la peste, effacent la mémoire des événements.
317
Chap. VI. — Comment les Romains se comportaient dans la conduite de la guerre.
320
Chap. VII. — Quelle étendue de terrain les Romains accordaient à chaque colon.
323
Chap. VIII. — Des causes pour lesquelles les peuples s’éloignent du pays natal pour inonder des contrées étrangères.
324
Chap. IX. — Des causes qui donnent ordinairement naissance à la guerre entre les souverains.
328
Chap. X. — Malgré l’opinion générale, l’argent n’est pas le nerf de la guerre.
330
Chap. XI. — Qu’il est imprudent de s’allier avec un prince qui a plus de réputation que de forces réelles.
334
Chap. XII. — S’il vaut mieux, lorsqu’on craint d’être attaqué, porter la guerre chez son ennemi que d’attendre chez soi.
336
Chap. XIII. — La ruse sert plus que la force pour s’élever des derniers rangs au faite des honneurs.
341
Chap. XIV. — Les hommes se trompent souvent lorsqu’ils pensent adoucir l’orgueil par la modération.
343
Chap. XV. — Les gouvernements faibles ne prennent jamais que des résolutions ambiguës, et la lenteur dans les délibérations est toujours nuisible.
345
Chap. XVI. — Combien, de nos jours, les armées s’éloignent des institutions militaires des anciens.
349
Chap. XVII. — Jusqu’à quel point on doit faire cas de l’artillerie dans nos armées modernes, et si l’opinion qu’on en a généralement est fondée.
354
Chap. XVIII. — L’autorité des Romains et l’exemple de l’ancienne discipline militaire doivent faire accorder plus d’estime à l’infanterie qu’à la cavalerie.
363
Chap. XIX. — Les conquêtes faites par des républiques mal organisées, et qui ne sont pas le résultat d’une vertu semblable à celle des Romains, sont plutôt pour elles une cause de ruine qu’une source de grandeur.
368
Chap. XX. — À quels dangers s’expose un prince ou une république qui se sert de troupes auxiliaires ou mercenaires.
373
Chap. XXI. — Le premier préteur que, quatre cents ans après avoir commencé à faire la guerre, les Romains établirent hors de Rome, fut celui qu’ils envoyèrent à Capoue.
376