Cette page a été validée par deux contributeurs.
les joues du colonel. Ses yeux, qui étaient restés entr’ouverts, brillèrent d’un éclat plus vif. Au même moment, le docteur Nibor, qui auscultait la poitrine, s’écria :
« J’entends les bruits du cœur. »
À peine avait-il parlé, que la poitrine se gonfla par une aspiration violente, les membres se contractèrent, le corps se dressa et l’on entendit un cri de : « Vive l’empereur ! »
Mais comme si un tel effort avait épuisé son énergie, le colonel Fougas retomba sur le canapé en murmurant d’une voix éteinte :
« Où suis-je ? Garçon ! l’annuaire ! »