Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/111

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plus près, rue du Bac, et il n’était pas mal tombé : M. Bernier, s’il ne va point de pair avec les Velpeau, les Manec et les Huguier, occupe immédiatement au-dessous d’eux un rang très honorable.

— Qu’il vienne ! s’écria M. L’Ambert. Pourquoi n’est-il pas encore ici ? Croit-il donc que je sois fait pour attendre ?

Il se reprit à pleurer de plus belle. Pleurer devant ses gens ! Se peut-il qu’un simple coup de sabre modifie à tel point les mœurs d’un homme ? Assurément, il fallait que l’arme du bon Ayvaz, en tranchant le canal nasal, eût ébranlé le sac lacrymal et les tubercules eux-mêmes.